Vidage de crâne : Pourquoi l’Homme n’influe pas sur le climat par le CO2
B : EXPLICATIONS
Introduction
On a longtemps cru que les planètes étaient des divinités, que l’avenir pouvait être prédit par un examen des configurations astrales, que la Terre était au centre de l’univers ou, plus récemment encore, que les continents étaient immobiles. Non seulement la science remet perpétuellement en question les connaissances passées, mais cette évolution n’est possible que si les scientifiques sont libres de toutes influences politiques ou économiques. En matière de climat, de puissants mécanismes impliquant des intérêts immenses se sont mis en marche pour « sauver la planète » sous l’égide d’un réseau de personnalités qui tiennent à conserver leurs rôles de guides éclairés.
Les sommes d’argent en jeu sont colossales, que ce soit pour les investissements en vue de produire des biens « neutres en CO2 », pour le coût démesuré de « l’inéluctable transition énergétique » ou encore pour les droits d’émission de CO2. Une telle croisade contre le CO2 engendrerait des dépenses pharamineuses d’énergie et des acquisitions mirobolantes de ressources minérales rares, si rares qu’elles ne suffiront jamais.
La question qu’on peut alors se poser est de savoir si les lanceurs d’alerte climatique, dont le GIEC, ne se seraient pas éloignés de la rigueur scientifique.
Il s’agit ici d’examiner trois aspects de la question :
– Le réchauffement actuel est-il considérable ?
– Quelles sont des failles scientifiques de cet alarmisme ?
– La transition énergétique et ses applications les plus diverses pourraient-elles être franchement contre-productives au regard des problèmes environnementaux qu’elles prétendent résoudre ?
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