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Tout ce qui a été posté par ptitepao
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Je comprends bien le cas particulier de la Suisse, mais, comme tu le dis toi-même, il s'agit plus d'un suicide assisté (reste à décider qui assiste), que d'une réelle euthanasie... Le problème, c'est lorsque la personne n'est plus capable d'énoncer sa décision en toute connaissance de cause...
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Désolée, de même, mais vivre l'agonie d'autrui par procuration est extrêmement différent de la réalité du véritable ressenti de la personne qui la vit concrètement. Et oui, quoi que le romantisme en pense, nous parlons bel et bien de personnes vivantes, dont on parle au présent, ne serait-ce que pour respecter cette peut-être fin de VIE et dont on doit respecter les souhaits du moments, pas seulement ceux qui ont été (ou pensé être) anticipés. Je trouve qu'oser considérer les personnes en fin de vie comme des "déjà morts" est à la limite de l'ignominie (et j'hésite à penser que cette "limite" est franchie)...
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En même temps, il est certain qu'une fois mort, tu ne pourras plus donner aucun avis. Je suppose que tu parles justement de l'anticipation qui pose le problème d'une possible rétraction... "de son vivant" aussi, mais le moment venu, si on eN est capable, bien sûr, autre point à soulever...
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Ce qui ME gène (et, encore une fois je ne suis ni "pour", ni "contre"), c'est que la majorité parle effectivement d'un choix, mais a priori : avant que la personne concernée ne soit réellement confrontée au problème de sa survie et d'une souffrance éventuelle ou avérée. Et personne ne peut deviner quelle sera alors sa réaction, même parmi les plus fervents défenseurs de ce "droit". C'était le sens de ma réponse ici. J'ajouterai un point qu'Ocytocine a soulevé plus haut : celui du choix de ceux ou celui qui devra/ont concrètement passer à l'acte et "faire mourir" le patient... éthiquement, il est extrêmement problématique de conférer ce droit/devoir de tuer, quelles que soient les circonstances. Mais il me semble que cette discussion a déjà eu lieu sur ce même topic il y a quelques mois, des arguments intéressants avaient été donnés, il faudrait remonter les posts pour les retrouver...
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Tout comme un jour, peut-être certaines personnes qui sont farouchement pour l'euthanasie, etc... se retrouveront dans un lit d'hôpital et refuseront soudain la mort qu'on leur proposera, toute "miséricordieuse" que semble celle-ci. Une chance qu'"on" leur demande leur avis. Une chance, encore, qu'elles soient capables de choisir et de le donner... Je ne suis ni "pour", ni "contre", je demande simplement une réflexion plus en profondeur que le "moi, je" a priori. Cette question soulève des problèmes éthiques auxquels Monsieur et Madame Tout le monde (dont je fais partie) n'ont peut-être pas l'envie ou la capacité de se confronter...
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Non, le thème de ce topic est l'euthanasie. Et nous ne "dévions" aucunement du sujet puisque tu réponds par la négative en arguant justement qu'il existe le moyen de guérir tout et tout le monde, il est donc normal que l'on te questionne sur ce moyen qui, si tu as raison, nous ramènerait à ton opinion.
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J'aimerais une réponse plus complète : quel "remède" conseilles-tu à un patient atteint d'un mal incurable par la médecine conventionnelle ? Quelles sont ces "autres actions et soins" dont tu parles ? Si tu veux que je te crois, il va falloir me convaincre avec de vraies preuves, les assertions gratuites ne suffisent pas.
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Je remets mes questions, si, à tout hasard, je pouvais recevoir les réponses qui m'intéressent au plus haut point. Merci.
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Et ça suffit à guérir ? Et si on passe, par exemple, à la tumeur pulmonaire, les fruits sont la panacée aussi ? Et le cancer de la prostate ? Et celui de la peau ? Et le cerveau ? Le sein ? Les os ? Alouette.... J'aime bien les charlatans, ils me confortent dans mes choix.
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HS assumé : je sens que je vais me faire frugivore... merci, ô Ezîa d'avoir éclairé l'ignorante que je suis !
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Je dirais plutôt qu'il a conscience de la subjectivité de ces notions de "bien" et de "mal". Et ça rend les choses bien plus difficiles d'appréhender un monde qui ne soit pas manichéen... mais c'est aussi tellement plus intéressant !
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En finir avec le RSA et revenir au RMI. Impératif !
ptitepao a répondu à un(e) sujet de LudwigVonRafal dans France
Du peu d'intérêt de la polémique... -
Si tu l'dis...
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Je crois qu'il y a ici une énorme incompréhension dont on ne sortira pas, je cède donc la place. Je me permettrai cependant de te conseiller de relire notre échange calmement, tu comprendras peut-être mieux ce que j'ai tenté d'exprimer...
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Je commence à comprendre que tu prends ce sujet d'une manière personnelle et donc que mes réponses, qui se veulent plus généralistes, ne correspondent pas du tout à tes attentes. Je vais quand même tenter de reformuler mon point de vue en espérant que tu le comprennes mieux : dans mon optique, la frustration fait partie intégrante de la vie, plus simplement : "on n'obtient pas toujours ce qu'on veut", alors on a le choix : on refuse et on trépigne (peu constructif à mon sens), ou bien on prend acte et on accepte et assume. Cette dernière solution a ma préférence parce qu'elle permet de conserver sa tranquillité d'esprit au maximum, aussi j'assimile cette manière de faire à l'accès au stade adulte (simplement parce que l'enfant, lui, n'a pas cette capacité d'acceptation). Note cependant que ça ne signifie pas qu'il ne faut pas se battre pour obtenir ce que l'on veut, bien au contraire, il ne s'agit pas ici de soumission : simplement : on change ce que l'on peut changer, pour le reste, on "fait avec". Je ne me permettrai pas de porter jugement sur le comportement de ta soeur, je te conseille cependant d'ouvrir un topic sur ce sujet en "vie quotidienne" afin d'obtenir conseils et soutien des forumeurs....
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Du tout, c'est la même chose : quand on choisit de vivre en communauté, on en assume les conséquences, dont les interactions, qu'elles nous soient agréables ou non. Pour répondre à ton hors sujet : aucune"méchanceté" dans mes propos qui répondent à ton post de manière tout à fait impersonnelle, rien d'autre.
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Ah non, justement, l'adulte est celui qui ne rejette pas la cause de ses déceptions sur les autres, mais les assume seul, comme un grand, sans pleurnicher sur les "méchants qui l'empêchent"...
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Mais la question ici n'est pas "que permettez-vous ou pas aux "gens" ?", ni même la hauteur ou les "grandes choses", mais bel et bien "qu'est-ce qu'un bon philosophe ?". Ce qui ne signifie nullement que ledit philosophe doit posséder uniquement les qualités requises par l'exercice de sa fonction, mais qu'ici on ne parlera que de ce requis, justement, le reste pouvant s'assimiler à l'ail de basse cuisine de feu Verlaine, au regard de la matière qui nous occupe...
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Ne pas confondre philosophe et professeur. ni philosophie et morale, comme plus haut... A mon sens le philosophe reste avant tout un théoricien, quel que soit son domaine de réflexion. Celui-ci peut, bien sûr porter sur des sujets touchant à l'éthique et/ou la morale, l'éducation et/ou la pédagogie (entre une infinité d'autres), mais il ne sera pas tenu de les expérimenter... le philosophe est la "tête", pas "les mains"... Se souvenir aussi de la différence entre "bon" et "parfait"...
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Tu m'étonnes ! Son esprit vient me visiter quand il veut, aussi !
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Tu crois que tu serais possédée par un esprit musicien ?
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Des qui ne comprennent pas l'auto-dérision, même chez les autres... et qui, en plus s'en plaignent allègrement. Marre des couinent sur les autres plutôt que de se regarder deux minutes le nombril en face... ou plutôt non, je n'en ai pas marre, j'observe et j'apprends...
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Lucy, la reine de l'illustration musicale !
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Et moi j'ai tenté le "coupage de sein", ça ne marche pas... Bonjour ici !
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Je ne suis pas certaine que l'adulte se résume aux relations avec le sexe opposé...