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ptitepao

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Tout ce qui a été posté par ptitepao

  1. On se rassure comme on peut, en effet. Bref, tu désires plus que tout être conforté dans tes certitudes, eh bien, si celles-ci sont si confortables, restes-en donc bien pétri...
  2. S'il n'y avait réellement aucun problème, tu n'aurais certainement pas ouvert ce topic pour déplorer qu'aucune femme ne t'aime pour ton intelligence, non ?
  3. Tu cherches donc une relation virtuelle "pas compliquée", c'est ça ?
  4. As-tu au moins conscience que "le net" ça n'a parfois (voire souvent) rien à voir avec la "vraie vie" ?
  5. Si l'orthographe et la grammaire sont, comme tu le prétends, preuves de l'intelligence de celui qui les maîtrise... (et je n'ai pas pris la peine de lire l'entièreté de ta prose...)
  6. Parce que tu as choisi l'exemple de ta soit-disant marginalité le moins probant qui soit.
  7. Marginal, absolument pas, mais caricatural, certainement.
  8. C'est peut-être parce que nous sommes des femmes ?
  9. Il était intelligent, Balzac, tu crois ? Et créatif, aussi ?
  10. Surtout que la pratique du trapèze demande le respect d'un tas de "règles" (ne serait-ce que celles de sécurité) et donc de rester dans un "cadre" très bien défini, à moins qu'on ne désire voir son cou se rompre... à moins que le "sans cadre" ne soit aussi "avec filet", ce qui, certes, assombrirait quelque peu l'aura dont il se pare lui-même, mais pourrait avoir le grand avantage de sauver sa vie "hors cadre"... Tu as oublié que Lesfemmes "aseptisent la société" (quoi que puisse bien signifier cette expression...)
  11. Je me suis un peu ennuyée à la lecture, un style un peu trop froid pour moi. Mais pas mal du tout quand même... Et cet après-midi j'entame : Et, en fil rouge entre 2, je poursuis :
  12. ptitepao

    Les meilleurs conseils

    Donc Voltaire a commis un guide du jardinage et la culture des carottes est une preuve de grand courage quand celui qui ne s'y adonne pas (on précise pourtant dans ton texte que cet homme a "perdu" son travail, c'est donc bien qu'il avait lui aussi une activité, mais n'était pas jardinier, alors ça ne compte pas, passons) doit être catalogué comme oisif. Dubitative je reste... et je ne vois pas non plus le rapport entre "morale" (bien moralisante, celle-ci, bravo !) et "conseil", mais je suis et resterai sans doute toujours aussi ignorante...
  13. Je ne l'ai pas encore terminé, mais ça ressemble un peu trop à un livre pour enfant pour que j'accroche vraiment, même si c'est plutôt bien fait et pas mal écrit du tout... Bonne(s) lecture(s) !
  14. ptitepao

    Les meilleurs conseils

    J'aurais plutôt dit que la qualité première du "bon conseil" est qu'il laisse à celui qui le reçoit la possibilité de ne pas le suivre. Il ne devrait donc en aucun cas se conjuguer au conditionnel...
  15. Eh bien, pour une fois que je cède à la lassitude et réponds un peu (ok, beaucoup) n'importe quoi, les réponses fusent, merci donc de me remettre "à ma place", c'est parfois nécessaire ! Je préciserai juste que, bien que ma dernière réponse puisse passer pour une plainte personnelle, je réagissais surtout à certains propos lus dans cette section et adressés à d'autres que moi qui m'ont choquée par le ton que j'ai jugé agressif et ironique à peu de frais. Personnellement je suis suffisamment consciente de mes lacunes pour accepter et assumer la critique, notamment en philosophie où je lis et apprends beaucoup plus que je ne participe. Autre point qu'il faut peut-être éclaircir : j'ai, sur un autre sujet, suffisamment donné mon avis sur "ceux qui pensent malheureusement la philosophie réservée à une soit-disant élite" pour ne pas tomber moi-même dans ce travers, même si certains propos ici me donnent parfois envie de m'y laisser aller. Il me semble qu'on ne parle pas ici d'élite mais bien de culture et, à mon sens, et c'est à nouveau une redite, la mission du "cultivé", s'il doit en avoir une, est de transmettre ses connaissances plutôt que d'en faire étalage. C'est peut-être là mon erreur qui est induite par mon besoin d'apprendre... En me relisant je sens que mon post peut être compris totalement à l'inverse de ce que je souhaitais exprimer, parce que mal écrit, je laisse cependant tel quel et assume l'imperfection de mes propos.
  16. Personnellement, j'ai laissé tomber toute "discussion" en voyant que toujours les mêmes font toujours les mêmes réponses, ne prenant en compte que leur propre avis d'experts auto-proclamés. Je n'ai aucun temps à perdre dans des "débats" qui tournent en rond sur eux-même tout en s'admirant le nombril. Ni smiley, ni gras, ni souligné, ni réponse ultérieure.
  17. ptitepao

    Ce qui ne vous manquera pas

    La mort est l'état dans lequel le manque existe le moins... j'oserai même affirmer qu'il est totalement absent des non préoccupations de la personne clamsée sus-mentionnée..
  18. Finalement pas d'humeur à "pingouiner", je rattrape un retard immense : Et bonjour et bonne lecture par ici !
  19. Comme dit plus haut j'ai juste réalisé que ma mort sera tout aussi normale et "dans l'ordre des choses" que celle de n'importe qui d'autre. Sans y penser plus que ça. Je ne parlerai pas de ma vie ici (sur un sujet sur la mort, ce serait un comble, admets-le ! Ou peut-être le meilleur des endroits, d'ailleurs...) aussi me contenterai-je de prétendre que tu as raison : je vis dans la plus grande béatitude, aucun papillon aux couleurs moins vives que celles de ses comparses ne vient jamais polluer ma vision et j'ai la grande chance de n'avoir jamais été confrontée à ma propre fin, qu'elle soit proche et prématurée serait d'ailleurs la plus incroyable incongruité !
  20. J'ai fait la paix avec cette fin qu'on me promet en restant pourtant bassement matérielle et concrète. Pour simplifier : tout ce qui est a une fin, je suis donc je mourrai un jour. Et alors ? Ca n'a rien d'extraordinaire ! Je laisse les doutes et la peur pour le moment de l'agonie, il sera alors temps de m'en inquiéter.
  21. Affronter, pour se débarrasser une bonne fois pour toute de la peur de l'inconnu. Je parle bien sûr de la peur a priori, puisque celle du moment sera bien présente quoi qu'on y fasse. Par affronter, j'entends prévoir, préparer, apprivoiser peu à peu l'idée de notre propre mort pour qu'elle devienne aussi banale et naturelle qu'elle le sera effectivement. Rien à philosopher, simplement du terre à terre.
  22. Un petit bijoux de poésie, tout en délicatesse qui laisse à la lecture le goût des épices orientales, le croisement de langues inconnues, la blessure d'une dague, certaine lumière inaccessible et les esquisses de Michel Ange... Et je retourne à ma lecture d'ado... bien moins "tout", mais distrayante néanmoins...
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