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Boulevard de l'avenir

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À propos de Boulevard de l'avenir

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  1. Boulevard de l'avenir

    Le pass sanitaire.

    Euh non... La majorité a plus de 60 ans. Il y a beaucoup de 50-60 ans mais seulement 8% en dessous de 40 ans (chiffres au 20 juin 2021) La violence, qu'elle soit physique ou lexicale n'est jamais une solution. Et être d'accord avec ces changements laisse la porte ouverte à quoi. Jusqu'où serez-vous d'accord ? Quelle est votre limite ?
  2. Boulevard de l'avenir

    Le pass sanitaire.

    Bonsoir...J'viens de lire quelques pages (non : je me suis pas tapé les 296...)Petites précisions importantes (D'où tu parles camarade ? comme on disait à une époque) : je n'y connais absolument rien en épidémiologie, je suis vacciné (2 doses), j'ai eu le COVID une fois (Octobre dernier). J'allais écrire "je pense que le vaccin protège" mais je vais plutôt écrire "le vaccin protège". Je ne reprends pas tous les chiffres qui ont été cités mais globalement, c'est 10 fois moins de chance d'aller en réa et/ou d'en mourir et 2 à 5 fois moins de chance de l'attraper/le refiler. Ce sont des faits.Dire l'inverse suppose donc, pour les gens qui nient l'efficacité du vaccin à sauver des vies que potentiellement :- Ils pensent que les chiffres de TOUTES les institutions sont faux et qu'"on" nous cache la vérité. Qui est ce "on" ?? Je qualifie ce doute nihiliste de complotisme.- Ils ne savent pas lire des courbes/des chiffres de niveau élémentaire. Ou ne veulent pas. Je qualifie cette torpeur de manque de rigueur ou de mauvaise foi.- Reste une troisième possiblité, assez rarement évoquée, c'est qu'ils pensent que le coût bénéfice/risque ne justifie pas les mesures d'exception. Grosso modo, accepter d'avoir 1000 à 2000 morts par jour au lieu de 200 disons. Cette idée peut être jugée monstrueuse. Ou cynique. Mais alors, il faudrait mettre des curseurs (quid du nombre des décès dûs à la grippe si toute la population était vaccinée par exemple ? Le coût et le nombre de personnes qui meurent de l'alcool chaque année - les cancers ne sont pas des maladies tranmissibles pour le coup mais au niveau des conséquences pour la société, sont tout aussi calamiteuses). Pour la grippe, le curseur, c'est : encourager les personnes à risque. Pour l'alcool de la prévention. Mais ni le vaccin contre la grippe n'est obligatoire ni l'alcool interdit. Ce sont des choix.Comparer la mortalité dûe au COVID à la mortalité dûe à la grippe (ou pire à l'alcool) a-t-il du sens ? Au niveau scientifique, aucun. Au niveau philosophique en revanche : pour ces trois fléaux, la société se choisit un point de tension acceptable nombre de décès/contrainte.Qu'une personne défende ce point de vue en estimant que le nombre de personnes sauvées ne justifie pas la dérive démocratique et législative est une opinion. Me concernant, je ne la partage pas. Mais je comprends qu'on puisse la défendre. J'ai bien l'impression d'être le seul.C'est ici que je veux en venir. Juger qu'une personne qui réfute les chiffres ou sombre dans le complotisme est à côté de la plaque, je le comprends. Séparer la société en deux et ostraciser une partie de la population, je ne peux m'y résoudre.Oublions un instant le contexte et prenons les choses froidement. Absolument froidement, sur une ligne historique. Nous constaterons alors que les sociétés se trouvent dans des états très singuliers de leur fonctionnement. Aurait-on imaginé être tous masqués partout, ne plus voir les visages ? Aurions-nous imaginé devoir bipper partout pour rentrer, aurions-nous imaginé refuser le monde social à une partie de la population, aurions-nous imaginé couper l'accès à la santé à 6 millions de personnes ? Aurions-nous imaginé un article d'un grand quotidien poser explicitement la question de laisser mourir les non vaccinés et de voir éclore cet article dans la rubrique "idées" ???https://www.lemonde.fr/idees/article/2021/12/21/la-solution-de-ne-pas-...Aurions-nous imaginé que certains aient une puce sous la peau pour entrer dans un musée, manger avec des amis, laissant dehors ceux qui n'auraient pas le précieux sésame ?https://www.lci.fr/international/video-covid-19-coronavirus-pandemie-e...Aurions-nous imaginé masquer tous nos bambins en dépit des risques pédopsychiatriques évidents pour toute une génération ? Et risquer des scènes inimaginables à cause de cette injonction?https://www.liberation.fr/debats/2020/11/01/port-du-masque-a-6-ans-avo...https://www.ouest-france.fr/region-occitanie/toulouse-31000/toulouse-u...Aurions-nous imaginé un conseil constitutionnel servile et validant hypocritement des textes de plus en plus liberticides allant jusqu'à couper de vie sociale à 10% de sa population ? L'état d'urgence - La loi séparatisme et maintenant la fuite en avant vaccinale. Aurions-nous imaginé, le numéro un du gouvernement, notre premier ministre monter explicitement une partie de sa population contre une autre ? Aurions-nous sincèrement imaginé un premier ministre désigner un ennemi intérieur commun à sa population ? Sincèrement ? Honnêtement, moi non. Et encore moins venant d'un gouvernement démocrate, modéré, technocrate et plutôt cultivé... Imaginez les mêmes outils juridiques/Constitutionnels/législatifs dans d'autres mains ?Suis-je le seul à percevoir un niveau de haine et de fracture de la société aussi immense ? Il suffit de lire ce forum pour voir fuser d'hallucinantes insultes, ad hominem, ad personnam des trucs que j'avais jamais lu ici en fait. Et surtout, ce besoin de trouver des coupables, des boucs émissaires. Nous sommes plus que jamais dans l'air de l'explication démiurge. De l'ennemi Deus ex machina. Le monde est simple. Si quelque chose ne va pas, c'est de la faute de quelqu'un, ce n'est pas compliqué.Ca a d'abord été les musulmans. S'il y avait des attentats, c'était quand même de leur faute. Hein, le voile, c'est une forme séparatisme... Puis les Gilets jaunes, des ploucs qui roulent en diesel. Le tout dans l'Etat d'urgence... Puis on a eu l'extrême opposée qui a déboulonné les statues. Si les gens en chient aujourd'hui, c'est parce qu'il y a une statue de Richelieu dans la rue. Et maintenant les antivax Tous ces morts, c'est de leur faute. Si le COVID tue, ce n'est pas parce que la maladie fait son office : c'est parce que des dégénérés refusent de se faire vacciner.Vous ne sentez pas cette petite musique ? La haine qui monte dans les coeurs ? Des jeunesses revendiquées fascistes qui tapent dans des meetings, de l'autre côté, des "antifas" qui veulent empêcher de s'exprimer, des complotistes qui se radicalisent parce que jetés à la vindicte populaire.En prenant de la hauteur, en étant froid et en prenant du recul on croirait relire la prose révolutionnaire sur les prêtes réfractaires. Remplacez "antivax" par "prêtre réfractaire" et vous y êtes. Hallucinant. Ou par "Koulak". Le processus s'il ne doit pas générer d'anachronismes s'appuie sensiblement sur les mêmes ressorts sociétaux : un fléau s'abbat. Les moyens de lutter sont très complexes, trop complexes pour que tout le monde puisse comprendre, épouser accepter cette complexité et le fait qu'il ne peut y avoir de solutions rapides et immédiates.L'impossibilité de résolution n'est pas acceptée par le cerveau humain quand il s'agit de problèmes de groupes. Alors c'est qu'il y a un coupable. Les troupes françaises du printemps 1792 en déroute contre l'armée autrichienne : ce n'était pas parce que les troupes étaient vieillissantes, qu'une partie des gradés avaient émigré à Coblence ou que notre cavalerie n'était pas au niveau des armées autrichiennes. C'est parce que les "prêtres réfractaires" ou "les nobles" pourtant enfermés en prison (!) conspiraient. Nos défaites leur était due. Les problèmes agraires et les famines de la Russie stalinienne n'étaient pas dûs au niveau catastrophique des approvisionnement, de l'inflation galopante et la désorganisation : non c'est que les Koulaks voulaient voler le peuple....Bon, vous voyez où je veux en venir... Les attentats ? Un problème extrêmement complexe (sécurité intérieure, politique internationale, RG...) Plus simple à faire ? Ben on va dire que c'est de la faute des musulmans.Et le COVID ? Ben tout est de la faute des antivax.Il y a un tension extraordinaire et multifactorielle entre différents groupes de la population. Et on atteint des points de crispation particulièrement inquiétants. Alors que des forumers insultent est une chose. Que des journalises complotistes disent que le vaccin ne marche pas est une chose. Que des politiciens d'extrême droite montent les uns contre les autres n'est pas une nouveauté. Qu'une frange de l'extrême gauche choisisse parfois l'homme blanc comme source de tous les maux, c'est naturel.Mais qu'un premier ministre, dans une république démocrate-libérale monte explicitement, je dis bien explicitement une partie de la population contre une autre, qu'il en appelle à leur faire porter tous les maux, je pense là qu'il y a une dérive absolument dangereuse. Et je suis sincèrement inquiet pour les prochaines présidentielles vu le climat général.Alors qu'est ce que je propose on va me dire ? Concernant le COVID. Je n'ai malheureusement pas le savoir pour répondre et je pense qu'il faut écouter les scientifiques. Mais deux choses :- Selon les métriques de transmissibilité des jeunes s'ils n'étaient pas vaccinés, il serait intéressant d'étudier les conséquences sur le nombre de morts. Pourquoi ne pas avoir rendu obligatoire la vaccination pour les plus de 60 ans ? En dessous la mortalité est quasi nulle.https://www.franceinter.fr/societe/infographies-age-sexe-repartition-g...https://fr.statista.com/statistiques/1104103/victimes-coronavirus-age-...Si c'est parce que les jeunes deviendront plus contagieux et donc le transmettraient plus aux personnes âgées et donc en tueraient plus, c'est discutable. Si c'est pour des raisons constitutionnelles, c'est du foutage de gueule vu comment on passe par dessus toutes les lois....- S'il s'avère que le système actuel est le meilleur, en tous cas le moins pire (après tout, personne n'a trouvé mieux), il conviendrait tout de même : de changer de communication, de ne pas ostraciser une partie de la population, et surtout, sur ce sujet comme tant d'autres, de refaire "société"...
  3. Curieux lys et intéressante personnyme....

  4. J'ajouterai, pour terminer, qu'il est très étrange de s'indigner des prostituées, sachant que le système de capitalisme-performance dans lequel nous existons fait de nous (évidemment à degrés très divers) des prostitués. Donner de notre temps, de notre existence, de notre esprit, de notre sueur, de notre labeur, en un mot des pans entiers de notre vie pour de l'argent. Ce qui choque avec les prostitués, c'est que justement, elles réalisent à la lettre l'adage populaire de : vendre son cul. En les considérant ainsi, chacun se sent mieux et rejette ses frustrations de petit mouton lui aussi prostitué sur une catégorie sociale jugée dégradée et dégradante. Cependant, il faut nuancer ce dernier propos par la montée en puissance des réseaux de proxénétisme. Il va de soi que l'esclavagisme de ces femmes est un non sens et une variété de délit contre l'humanité. Il faut donc lutter sine die contre ces mafias. Enfin, j'avoue ne pas comprendre les hommes qui vont aux putes. Tout angélisme mis à part, je ne comprends pas comment on peut être excité dans des conditions aussi glauques. D'ailleurs, je ne connais personne qui s'y rend et je pense que les chiffres d'affluence sont en large baisse (à confirmer cependant). Surtout qu'aujourd'hui, avec Internet, tous les sites de séduction et cetera, même les plus moches et les plus timides et frustrés peuvent trouver leur Juliette. Il y en a pour tous les goûts et pour toutes les frustrations chers personnymes.
  5. Dommage. Bien alors déjà "défends". Ensuite, je n' "écrase " personne, je participe humblement au débat. Vous souhaitez censurer mes propos ? Je n'oblige personne à me lire et sûrement peu le feront. C'est un forum public, chacun donne son avis, j'en fais autant. Sur ce, je vous souhaite une bonne soirée.
  6. Bien... Etant modestement versé dans l'Histoire et plus particulièrement l'histoire des institutions européennes, j'aimerais éclaircir certains points ou quelques fausses idées reçues qu'on a lues dans ce débat. Pour ne rien vous déguiser de mon opinion (qui ne concerne que moi), je recopie ici ce que j'ai pu dire auparavant, de façon très résumée, à savoir que : Je ne vois pas du tout l'intérêt de remettre un roi sur le trône en France. La France a guillotiné l'un de ses derniers monarques et a finit par chasser les autres. Me semble-t-il que c'est assez évocateur comme sortie de route.... D'autre part, la Constitution actuelle (1958) stipule que : La forme républicaine du gouvernement ne peut faire l'objet d'une révision. Quant à l'accession au pouvoir, il n'existe que trois états : - Transmissif (Par la naissance comme les rois, empereurs, élites, oligarchies, cooptations... et cetera) - Electif (Par les urnes) - Révolutionnaire (Changement brutal de pouvoir) Or clairement, le pouvoir par transmission sanguine est une aliénation puisqu'elle ne repose ni sur un choix de ses citoyens, ni même sur un mérite quelconque. Donc, seule une longue mythologie, parsemée de symboles, de souvenirs et d'histoire dans un pays justifie la présence d'un roi-pantin. C'est le cas de nombreux pays, très fiers de leur monarchie, et cela fonctionne. Disons qu'il doit y avoir un pacte entre un pays, son histoire, son peuple et sa monarchie. Mais en France, ce pacte n'existe pas, le symbole de la fleur de lys est suranné et évoque un retour en arrière. Par conséquent, je pense qu'il faut plutôt se poser la question du parlementarisme dans notre Constitution et de la possibilité d'éliminer le Sénat et de le remplacer par une Assemblée vraiment populaire plutôt que de songer à rajouter une personne inutile de plus dans nos institution. Maintenant, je me permets de reprendre certains simplismes, qui dans un sens ou dans l'autre, selon l'idéologie des opinants n'en sont pas moins faux, ou du moins très flous : Absurde. Il ne faut pas confondre système économique et système institutionnel. Les monarchies ont connu autant de systèmes économiques différents que les républiques (féodalité, capitalisme, agriculture... et cetera). Rappelons au demeurant que monarchie n'appelle pas forcément ni aristocratie, ni féodalité. C'est d'ailleurs Louis XIV, cent cinquante ans avant la Révolution qui a commencé à ôter tous les pouvoirs à la noblesse française. 1789 n'a qu'entériné cet élan anti-féodal. Non. C'est exactement l'inverse. Alors que le président doit se faire élire et donc se lier à une coterie, des partis, des financiers et doit user de tous les intérêts possibles pour se faire connaître, un roi, usant d'un pouvoir que je nomme transmissif serait, dans l'absolu, moins dirigé par ses intérêts personnels puisqu'il en bénéficie déjà. Ibid, même raisonnement. Là encore il y a confusion dans les termes. Il ne faut pas confondre république et démocratie. La république est une forme de gouvernement (comme la monarchie) tandis que la démocratie est un système politique. En d'autres termes, la république est une forme d'Etat dans lequel on remet la souveraineté du pouvoir à une Assemblée, un Sénat, généralement un parlement et/ou des commissions. La démocratie elle, est un système politique qui signifie que c'est le peuple qui gouverne. Aussi, on peut très bien avoir une monarchie démocratique (cas des pays européens actuels) et une république dictatoriale (URSS des années Staline, voire république élitiste, le sénat romain). Là, le raccourci est ridicule. Je ne pense pas que les anglais ou les espagnols se prennent des balles dans la tête s'ils parodient leur monarque... Faux. Louis Napoléon Bonaparte a été élu Président de la république au suffrage. Mais il s'est proclamé empereur suite au coup d'Etat du 2 décembre 1851. Pas vraiment démocratique. Quant à Hitler, même si ce "contre-exemple" n'est pas mauvais, a-t-il été élu dans ces prérogatives ? A-t-il été élu pour faire la Nuit de cristal, le génocide....? Enfin, il semblerait que son ascension soit surtout due à la décomposition des institutions et non à l'inverse. L'exemple est donc à caution. Et tendrait plutôt à montrer l'intérêt d'instituions républicaines très contraignantes, comme par exemple le conseil constitutionnel pour éviter cela. Hormis le fait que comparer Le pen à Hitler sanctionne une mauvaise foi intellectuelle et démagogique, je reprends ce que j'ai dit plus haut : les institutions républicaines empêchent que ce parti soit représenté en écartant par exemple de ses lois constitutionnelles organiques la proportionnelle aux législatives. Après, cela est-il juste, c'est un autre débat. Si tu sors de la "mythologie" historique et de l'historiographie vingtièmiste, cela est très discutable et nécessiterait une argumentation. Je passe les fautes d'orthographe et la énième confusion entre démocratie et république, mais cette assertion est très imprécise. On parle de quels pays là ? Beaucoup n'avaient déjà plus de rois, et ceux qui avaient conservé leur monarque en ont encore un. Certes la première guerre mondiale a accéléré le processus de républicanisation de certains pays mais la remarque est à modérer. Quant à la vidéo d'Ardisson... Cet homme est un histrion pour rester poli, qui a tout sauf des idées originales. Il a repris vulgairement les idées de Furet et Tocqueville, travestissant les premières et oubliant ce que l'on doit à la Révolution. Etre en désaccord avec la croisade jacobine de 93 est compréhensible mais nier l'élan de 89 est ridicule. N'accordons pas de crédits à ce type de personnes. Pour terminer, je dirai qu'il ne faut pas diaboliser la monarchie mais qu'elle n'apporterait rien à un pays tel que le notre. Et j'insiste encore pour que les gens, justement se posent les bonnes questions et revoient le droit constitutionnel. Le vrai problème aujourd'hui est la démocratie représentative en ce sens où la représentation perd son essence qui est de comprendre, suivre et légiférer en fonction des électeurs à qui appartient la véritable souveraineté, si encore nous sommes en démocratie.... Il s'agirait donc peut-être de remplacer le sénat par une assemblée populaire à session d'un an disons, avec des députés non rééligibles et qui ne pourraient appartenir à un parti ou un syndicat. Car si ce sujet était lancée à la manière d'une blague par une fan de Sissi, la discussion a tourné vers une problématique terrible aujourd'hui : le problème des partis, desquels on ne peut se libérer. Et l'on ne trouve pas forcément dans l'un d'eux réponse à ses attentes..... Bien à vous.
  7. 93 messages en 2 ans et demi ;) t pas un bavard:) ha ha ha ha :)

    a pluche

  8. J'aime bien celle de Danton, très méritocratie à la française : Après le pain, l'éducation est le premier besoin du peuple On peut d'ailleurs la voir en live sur sa statue, place de l'Odéon.
  9. Intéressant de rencontrer des personnymes passionnés par l'histoire. Bien le bonsoir.

  10. Bon Anniversaire

    Boulevard de Paris, je te souhaite en ce jour de passer une bonne journée et t'embrasse

  11. Profil humaniste, plein de vie. Je ne peux qu'en féliciter son auteure.

  12. Bienvenue ici... Et continue de rêver... C'est une nourriture délicieuse pour l'art...

  13. Première visite sur ta page... Salutations sucrées miss chocolat.

  14. Passionnée par l'Egypte ancienne ?

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