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Membre+, Chercheur de saveur et rimeur de gout, 41ans Posté(e)
bibi07 Membre+ 5 261 messages
41ans‚ Chercheur de saveur et rimeur de gout,
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Promets-moi


30 Janvier 2008

Titre original : Zavet

Réalisateur: Emir Kusturica
Pays: Film serbe, français
Genre: Comédie
Duré©e: time.jpg 2h 6min
Acteurs: Marija Petronijevic, Uros Milovanovic, Ljiljana Blagojevic

Synopsis Au sommet d'une colline isolée au fond de la campagne serbe vient Tsane, son grand-père et leur vache Cvetka. Avec leur voisine l'institutrice, ce sont les seuls habitants du village.
Un jour, le grand-père de Tsane lui annonce qu'il va bientôt mourir et lui fait promettre qu'il franchira les trois collines pour rejoindre la ville la plus proche et vendre Cvetka au marché. Avec l'argent récolté, il devra acheter une icône religieuse et un souvenir. Enfin, il lui faudra trouver une épouse.
Arrivé en ville, Tsane n'a aucune difficulté à exaucer les premiers voeux de son grand-père. Mais comment faire pour trouver une fiancée et la convaincre de le suivre au village avant que son grand-père ne disparaisse ?

En attendant Notre Avis Jolie histoire en perspective :snif:

Notre Note : /5

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VIP, Mangeur de fromage, 44ans Posté(e)
Belizarius VIP 22 812 messages
44ans‚ Mangeur de fromage,
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"Promets-moi" : les noces de Fellini et de Keaton


Mercredi 30 janvier - 11:16

Conte endiablé, le nouveau film d'Emir Kusturica (deux fois Palme d'or à Cannes, pour Papa est en voyage d'affaires en 1985, et pour Underground en 1995) se situe dans la campagne serbe où un adolescent orphelin vit avec son truculent grand-père. A l'heure où il sent la mort venir, l'aïeul charge son petit-fils d'aller vendre une vache dans la ville avoisinante, au meilleur prix. Avec le pécule obtenu, le gamin doit accomplir trois missions : acquérir une icône, ramener un souvenir et se trouver une fiancée.



Emir Kusturica est un cinéaste qui divise. Quand on ne lui reproche pas sa partialité dans le conflit des Balkans, on se plaint de le voir rabâcher les mêmes rengaines visuelles. Irréductiblement baroque et carnavalesque à une époque où ce style semble suspect, il est de ces créateurs qui ont imposé leur univers une fois pour toutes et en déclinent de nouveaux épisodes, des variantes à l'infini. Promets-moi est, plus que jamais, placé sous le signe de la dévotion à Federico Fellini.


Suite de l'article...
Source: LE MONDE | 29.01.08
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