La citation du jour

Elles sont à quelle sauce vos pâtes , socio ou psycho ?

J'aurais aimé m'faire la belle,
Que la belle ce soit oit
Dans une nuit éternelle
Que l'on baise, que l'on boive
Que je lèche ton écume
Dans un cunnilingus
Qu'on s'endorme sur les plumes
Des cumulonimbus

(Dooz kawa )

Citation :

Je ne te demande pas de m embrasser

Je ne te demande pas de me prendre dans tes bras quand j en ai le plus besoin,

Je ne te demande pas de me dire à quel point tu me trouves belle, même si c est un mensonge

Ni de m écrire quoique ce soit de beau

Je ne te demanderai même pas de m appeler pour me demander comment s est passé ma journée 

Ni de me dire que je te manque

Je ne te demanderai rien !

Je ne te demanderai pas de me remercier pour tout ce que je fais pour toi

Ou que tu t inquiètes pour moi quand je vais mal

Et bien sûr  je ne te demanderai jamais de me soutenir dans mes décisions

Je ne te demanderai même pas de m écouter quand je te parle

Je ne te demanderai rien,  même pas de rester à mes côtés 

Parce que si je dois te le demander, je n en veux plus, rien ne se réclame (surtout pas l amour) , parce que si ce n est pas fait naturellement, avec le cœur, c est que rien n est à la bonne place !!

Là  où  tu ne peux être  aimée et ou tu ne peux aimer,  ne t attarde jamais !

Frieda Kahlo

GRANDIOSE et tellement évident.. 

Si l'olive se souvenait de son planteur 

Son huile se transformerait en larmes

Mahmoud Darwich

Le féminisme n’est pas un mode de vie, mais un projet de société

Résister à la culpabilisation-Mona Chollet

Ce monde me suffit. Je suis athée et content de l'être. Mais d'autres ne sont pas moins satisfaits d'avoir la foi. C 'est peut-être qu'ils ont besoin d'un Dieu pour se consoler, pour se rassurer, pour échapper à l'absurde et au désespoir, ou simplement pour donner une cohérence à leur vie. Notre besoin de consolation est impossible à rassasier, notre besoin d'amour aussi, de protection, et chacun face à ces besoins, se débrouille comme il peut. Miséricorde à tous. Epicure enseignait que la mort n'est rien, ni pour les vivants, parce qu'elle n'est pas là tant qu'ils vivent, ni pour les morts, puisqu'ils ne sont plus. Avoir peur de la mort c'est donc avoir peur de rien. Reste la mort des autres, et elle est autrement réelle, autrement douloureuse, autrement insupportable. C 'est là que l' Athée est le plus démuni. Cet être qu'il aimait plus que tout, son enfant, son parent, son conjoint, son meilleur ami, voilà que la mort le lui arrache. Comment n'en serait-il pas déchiré ? Aucune consolation pour lui, aucune compensation, juste ce petit peu d'apaisement parfois: l'idée que l'autre au moins, ne souffrira plus, qu'il n'a pas , lui, à supporter cette horreur, cet arrachement, cette atrocité..

Il faudra beaucoup de temps pour que la douleur s'atténue peu à peu, pour qu'elle devienne supportable, pour que le souvenir de celui que l'on a perdu, de plaie ouverte qu'il était d'abord, se transforme progressivement en nostalgie, puis en douceur, puis en gratitude, presque en bonheur.. on se disait : "comme c'est atroce qu'il ne soit plus !" Puis les années passent et voilà qu'on se dit : " comme c'est bien qu'il ait vécu, que nous nous soyons rencontrés, connus, aimés !"
Travail du deuil : travail du temps et de la mémoire, de l'acceptation et de la fidélité. Mais sur le coup c'est évidemment impossible, il n'y a que l'horreur, il n'y a que la souffrance, il n'y a que l'inconsolable. Comme on aimerait alors croire en Dieu ! Comme on envie, parfois ceux qui y croient !

Reconnaissons-le : c'est le point fort des religions où elles sont à peu près imbattables. Est-ce une raison de croire ? Pour certains sans doute. Pour d'autres, dont je suis, c'en serait plutôt de s'y refuser, tant la ficelle, comme on dit, est grosse, ou simplement par fierté, par rage, par désespoir. Ceux-là en sont, malgré la douleur, comme renforcés dans leur athéisme. La révolte, face au pire, leur paraît plus juste que la prière. L'horreur plus vraie que la consolation. La paix pour eux, viendra plus tard.
Ce que la religion apporte, lorsqu'on a perdu un être cher, ce n'est pas seulement une consolation possible, c'est aussi un rituel nécessaire, un cérémonial, même sans faste, comme une politesse ultime face à la mort de l'autre qui aiderait à l'affronter, à l'intégrer, enfin à l'accepter.
Une veillée funèbre, une oraison, des chants, des prières, des symboles, des attitudes, des rites, des sacrements...C 'est une façon d'apprivoiser l'horreur, de l'humaniser, de la civiliser.
"Je crois en Dieu.." me dit un jour cette femme, "parce qu'autrement , ça serait trop triste.."

La démocratie c'est le pouvoir pour les poux de manger les lions

Clémenceau

L'amour est une vie de l'esprit qui cherche à prendre corps. L'amour de la démocratie est d'abord un état d'esprit. Nourris ton coeur d'amour, ton esprit de sagesse et ta personne de principes. L'amour est dans le coeur et l'esprit de l'homme.

Antonin Artaud

Même l'avenir n'est plus ce qu'il était 

Paul Valery

Nous abordons le XXIème siècle avec des pouvoirs de démiurges et des instincts de primates

Thierry Gaudin