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'Faut pas rêver ! Il n'y aura JAMAIS d'état palestinien

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azed1967

Messages recommandés

Membre, 75ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)

.....Tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir...............Pour tous les Peuples

L’état Palestinien seras être un état comme tout état du monde........Libre Indépendant et Souverain par le faite même qu'il y a un PEUPLE qui le Revendique et que la Majorité des états de la CI l’exige

L’état Israélien en est le dernier "Exemple" ce qui est possible pour l'un l'est pour TOUS

Israël sans la Palestine ne sera jamais un État Libre..........et Inversement

Un seul peut-il avoir raison contre tous ?

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Membre, 43ans Posté(e)
forum03 Membre 29 messages
Baby Forumeur‚ 43ans‚
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la nature humaine est pleine de vices .

pourquoi penser a l'exclu et non pas a vivre ensemble en paix?

l'humanité doit faire face a des problèmes plus importants; réchauffement climatique ,l’augmentation de la population mondiale / ressources , prolifération des idéologies terroristes ......

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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

tant que les usa soutiendront israel, il n'y aura rien

Ce sont toutes les grandes démocraties qui soutiennent Israël, même si celles-ci se montrent critiques voire, très critiques vis à vis de ce pays.

La raison est simple, Israël est un petit et étroit pays adossé à la mer d'un côté et de l'autre, il est entouré de pays potentiellement ennemis, créer un nouvel Etat dirigé par des terroristes du Hamas qui de surcroit sont des islamistes vindicatifs qui affichent leur ambition d'anéantir Israël, cela ne sera jamais accepté même par les pays les plus critiques.

Au plus le temps passe, au plus l'éventualité d'un Etat palestinien s'éloigne et on ne voit vraiment pas qui chasserait militairement les israéliens des territoires qu'ils occupent, donc...

De plus pour les occidentaux, dans cette région Israël est la seule démocratie et le seul allié fort et fiable, on ne s'en passera pas !

Dans ces conditions, pas demain que les palestiniens auront leur Etat, sinon ce serait déjà fait depuis longtemps.

.....Tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir...............Pour tous les Peuples

L’état Palestinien seras être un état comme tout état du monde........Libre Indépendant et Souverain par le faite même qu'il y a un PEUPLE qui le Revendique et que la Majorité des états de la CI l’exige

L’état Israélien en est le dernier "Exemple" ce qui est possible pour l'un l'est pour TOUS

Israël sans la Palestine ne sera jamais un État Libre..........et Inversement

Un seul peut-il avoir raison contre tous ?

Euh le seul Etat libre et démocratique de la région c'est Israël, tous les autres sont des Etats autoritaires ou des dictatures.

Un Etat palestinien serait dirigé par qui, le Hamas, le Fatah ou les deux ?

Tout le monde sait très bien que cela ne marchera pas, ils s'entretueront entre eux à défaut de faire des attentats en Israël ou ailleurs.

Modifié par Murat1949
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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

.....Tant qu'il y a de la vie il y a de l'espoir...............Pour tous les Peuples

L’état Palestinien seras être un état comme tout état du monde........Libre Indépendant et Souverain par le faite même qu'il y a un PEUPLE qui le Revendique et que la Majorité des états de la CI l’exige

L’état Israélien en est le dernier "Exemple" ce qui est possible pour l'un l'est pour TOUS

Israël sans la Palestine ne sera jamais un État Libre..........et Inversement

Un seul peut-il avoir raison contre tous ?

Euh le seul Etat libre et démocratique de la région c'est Israël, tous les autres sont des Etats autoritaires ou des dictatures.

Un Etat palestinien serait dirigé par qui, le Hamas islamique, le Fatah ou les deux ?

Tout le monde sait très bien que cela ne marchera pas, ils s'entretueront entre eux à défaut de faire des attentats en Israël ou ailleurs.

Israël est le seul Etat démocratique, puissant et fiable de la région, les occidentaux ne s'en priveront pas !

Les palestiniens ont fait le choix de la guerre, du terrorisme, c'était le pire des choix !

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Membre, Désintégrateur de trolls, Posté(e)
poussiere666 Membre 2 941 messages
Désintégrateur de trolls,
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L'état d'iSrael s'est vu donné une terre dans le but qu'elle vive en paix et que cette paix soit un exemple pour l'humanité

Mais Israel n'a semé que violences, morts et désolations et se comporte comme ceux qui l'on décimée pendant la shoa

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Membre, 46ans Posté(e)
Maxence22 Membre 8 792 messages
Forumeur accro‚ 46ans‚
Posté(e)

faut savoir que ce qui est en jeu en palestine et israel c'est la bible qui dirige tout ce bazar là bas

et aux usa "en dieu nous croyons", il y a des sionistes bien chrétiens et qui croient à la bible plus que les israeliens eux mêmes,

Tu racontes n'importe quoi... comme d'habitude.

D'une, pour être sioniste, faut déjà être juif. Ensuite, il y a beaucoup d'Israël contre le sionisme.

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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

no_comment_martin_buber_01.JPG

Ce n'est pas Israël qui a créé Israël, mais l'ONU !

Un Etat palestinien avait aussi été créé, pourquoi les palestiniens l'ont-ils refusé préférant la guerre, le terrorisme odieux et un cortège de défaites ?

Peut-on vraiment avoir une âme de martyr à ce point ?

Pourquoi ces mêmes palestiniens n'ont-ils pas revendiqué au moment de leurs créations, des pays comme la Jordanie, une partie de la Syrie, du Liban, etc, car après tout ces terres sur lesquelles ces pays sont nés étaient considérées comme étant palestiniennes, c'est à dire à tout le monde et à personne ?

Et les nombreux palestiniens qui vivent en Jordanie, revendiquent-ils un Etat palestinien et quitteraient-ils la Jordanie pour aller y vivre si celui-ci devait voir le jour ?

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Membre, 57ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
Posté(e)

Tu racontes n'importe quoi... comme d'habitude.

D'une, pour être sioniste, faut déjà être juif. Ensuite, il y a beaucoup d'Israël contre le sionisme.

c'est plutot toi qui ne le sait pas

Sionisme chrétien

Le sionisme chrétien est le nom donné à la croyance d'un certain nombre de chrétiens, en particulier des protestants fondamentalistes, que la création de l'État d'Israël en 1948 est en accord avec les prophéties bibliques, et prépare ainsi le retour de Jésus sur Terre comme Christ en gloire de l'Apocalypse (Christ Pantocrator).

Cette croyance se distingue des présentations « non religieuses » du sionisme par son ancrage dans une tradition théologique et biblique. Les chrétiens sionistes considèrent comme un commandement divin d'aimer et soutenir le peuple juif élu par Dieu et l'État d'Israël. Le sionisme chrétien rassemble différents groupes, généralement fondamentalistes, croyant que la judaïsation de la Palestine historique, couvrant l'actuel État d'Israël et les territoires palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza, est une obligation divine qui ramènera Jésus sur terre, le fera définitivement reconnaître comme Messie et assurera le triomphe de Dieu sur les forces du mal à l'issue de l'apocalypse.

Cette croyance se distingue du soutien traditionnel et non messianique à Israël et au sionisme de nombreux chrétiens, pour lesquels ce soutien résulte d'un engagement moral et politique, et non religieux.

Le sionisme chrétien s'est progressivement développé aux États-Unis où il est devenu une composante de la droite évangélique et bénéficie de la bienveillance du mouvement néoconservateur1.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sionisme_chr%C3%A9tien

SIONISTES CHRETIENS

06 juillet 2012 | Par fxavier

Le conflit israélo-palestinien dépend de multiples facteurs d’ordre historique et géopolitique. En marge des puissants lobbies liés aux intérêts pétroliers et militaro-industriels des États-Unis, d’autres groupes de pression socioéconomiques et idéologiques exercent une influence déterminante sur les stratégies au Moyen-Orient. Parmi ces derniers, le sionisme chrétien assure à l’État hébreu un soutien quasi inconditionnel et des plus efficaces, et ce au nom d’une théologie à fortes implications politiques relevant du néoconservatisme. Évangélique de type pentecôtiste ou charismatique, souvent fondamentaliste, ce mouvement revêt des formes si variées et si fluctuantes qu’il existe, à en croire la spécialiste Célia Belin, « presque autant de sionismes chrétiens qu’il y a de chrétiens sionistes » - ce qui rend malaisé d’en rendre compte1.

L’étonnante suprématie d’une vision religieuse

Adeptes d’une lecture littérale de la Bible et fascinés par les prédictions apocalyptiques, les évangéliques américains ont tendance à se considérer comme le dernier bastion des témoins de Dieu dans une humanité en perdition. Ils croient la fin du monde imminente et attendent avec impatience que le Christ revienne en gloire pour juger les vivants et les morts. Parmi les signes précurseurs de cet événement, ils citent non seulement les catastrophes naturelles et sociales de notre temps, mais aussi et surtout le regroupement du « peuple élu » sur la «T erre promise » et l’amorce d’un courant de conversion à Jésus parmi les Juifs2. La création de l’État hébreu en 1948 et l’apparition d’un christianisme messianique juif prouvent, à leurs yeux, que les ultimes desseins de Dieu sont en train de s’accomplir selon les Écritures.

D’où, pour les sionistes chrétiens, l’impératif devoir de collaborer activement au programme divin visant à restaurer Israël en Palestine. Le sionisme chrétien a pris forme avant le sionisme politique moderne lancé par Theodor Herzel. La culpabilité causée par les persécutions antisémites survenues en Russie et en Allemagne l’a renforcé, mais il ne se réclame en définitive que de la volonté divine. Les plus radicaux de ses adeptes professent l’instauration prochaine sur terre, pour mille ans conformément aux prophéties, du royaume eschatologique de Jésus-Christ qui est présenté comme l’unique sauveur de l’humanité. Il en découle un fervent prosélytisme en direction du peuple de la première Alliance : Dieu lui offre une ultime possibilité de se convertir au Messie qu’il a fait crucifier par le procurateur Ponce Pilate. Les fils d’Israël qui accepteront cette offre seront sauvés, les autres seront damnés avec le reste de l’humanité infidèle. Chargée d’un fort relent d’antisémitisme, cette croyance a très tôt été dénoncée par les Juifs et continue à leur déplaire, mais les avantages tangibles véhiculés au bénéfice d’Israël par la collaboration avec le sionisme chrétien l’emportent.

Un appui politique et financier décisif pour Israël

Les Juifs américains, dont près des deux tiers déclarent s’intéresser de près au devenir d’Israël, n’ont pas les pouvoirs exorbitants qu’on leur prête souvent. Leur poids démographique est faible - moins de 2% de la population, soit environ 5 millions de personnes -, ce qui limite d’emblée leurs capacités d’intervention sociale. Mais surtout, ce milieu est loin d’être homogène au plan de ses convictions et de ses aspirations. De tradition plutôt libérale et progressiste, les Juifs installés aux États-Unis n’ont accueilli qu’avec réticence les perspectives politiques du sionisme juif au départ, ont eu tendance à s’intéresser davantage aux luttes sociales qu’aux questions ethno-religieuses, et beaucoup d’entre eux restent réservés sur les positions inflexibles de l’État hébreu face aux Palestiniens et aux autres protagonistes des conflits du Moyen- Orient. Pour réelle qu’elle soit, leur solidarité avec Israël n’est pas inconditionnelle comme celle de la plupart des sionistes chrétiens, et leur influence politique est nettement moindre. Les évangéliques ont, par contre, un poids démographique et politique prépondérant aux États-Unis. Ils représentent près du tiers de la population – soit autour de 90 millions de personnes, pro-israéliennes par motivation religieuse à 50%, et sionistes entre 20 et 25%. Partageant assez largement les idées conservatrices communes dans la Bilble Belt du Sud et du Moyen-Ouest, ils forment une proportion significative du parti républicain et disposent d’une force électorale conséquente.

Leurs télévangélistes sont à la tête d’un empire audiovisuel d’une incomparable puissance médiatique et financière. Des mécanismes de collecte performants permettent aux Églises et autres organisations évangéliques de drainer des fonds considérables pour les causes qu’elles défendent, et notamment pour Israël. Aussi n’est-il pas surprenant que le ralliement d’une partie croissante de la mouvance évangélique à la cause d’Israël soit considéré comme particulièrement précieux par les leaders de l’État hébreu : face aux adversaires arabes, l’alliance judéo-chrétienne s’impose en dépit de ses ambiguïtés.

Les Palestiniens abandonnés à leur sort

Bien que les sionistes chrétiens proclament que Dieu a irrévocablement attribué à Israël un droit prééminent sur l’ancien pays de Canaan, ils n’ont pas toujours été indifférents ou hostiles aux Palestiniens dont la composante chrétienne a été très influente. Quand les Juifs foulaient trop brutalement aux pieds les droits des Palestiniens, jusqu’à recourir à des actes qualifiables de terroristes, certains de ces sionistes rappelaient que les Arabes sont eux aussi issus d’Abraham en qui Dieu a promis de bénir toutes les nations, et que l’épreuve de la Shoah n’a pas aboli la justice. Mais à mesure que l’antagonisme entre les deux peuples a progressé et que l’islam a dynamisé la résistance palestinienne, ces bons sentiments se sont érodés. Le délitement des régimes arabes laïcs et marxisants a contribué à durcir les clivages religieux. Puis le développement du terrorisme islamique a fini par éloigner le sionisme chrétien de la cause palestinienne accusée de collusion avec le Hezbollah libanais et l’islamisme iranien. Les Intifada de 1987 et 2000 ont scellé la rupture.

Les victoires d’Israël qui ont conclu la guerre des Six Jours puis celle du Kippour, en 1967 et en 1973, sont apparues comme des miracles directement opérés par Dieu en faveur de son peuple. Nombre de sionistes chrétiens en ont déduit qu’il ne faut rien céder aux Palestiniens dans le cadre des négociations de paix. Par fidélité à la volonté divine, les plus radicaux d’entre eux appuient les extrémistes juifs partisans du Grand Israël, incluant la Judée et la Samarie qui forment la Cisjordanie, et soutiennent financièrement les colonies implantées illégalement en territoire palestinien. Proclamée « capitale éternelle » d’Israël, Jérusalem doit rester sous le contrôle exclusif de l’État hébreu, et il est question d’y reconstruire le Temple de Salomon à la place de la mosquée Al-Aqsa. L’histoire est refaçonnée pour rejeter comme indues et sacrilèges les revendications des Palestiniens. Les violences qui ponctuent leur résistance font l’objet d’une intense propagande anti-arabe tandis que les exactions d’Israël, comme celles intervenues lors de la sanglante opération menée à Gaza en 2008-2009, ne sont pas condamnées…

De la religion à la « guerre des civilisations »

Le sionisme chrétien prône un moralisme très éloigné de la « Bonne Nouvelle » annoncée par Jésus. À la merci de Satan selon la doctrine évangélique prédominante, le monde court à sa perte : hors de « L a Vérité » révélée par les Écritures, il n’y a que mensonge et péché. De la Création à la Parousie, l’histoire du salut est dominée par la faute originelle et appelle la répression. Dans le sillage du conservatisme patriarcal et esclavagiste du Sud des États-Unis, c’est la soumission à l’ordre social traditionnel qui constitue la pierre de touche de la vraie foi : acceptation des doctrines fondamentalistes telles que le créationnisme, restauration de la famille et exaltation du travail, défense des prérogatives individuelles comme le port des armes à feu, refus des revendications féministes et du mariage homosexuel, lutte contre l’avortement, interdiction de l’euthanasie et de la recherche sur les cellules souches, rejet des dérives actuelles de la sexualité, etc. Ces positions correspondent globalement à celles du parti républicain qui, sous couvert de défense des valeurs de l’Occident, privilégie les intérêts d’une Amérique vouée à l’ultralibéralisme et qui se méfie des régulations internationales. Pour servir ces visées au Moyen-Orient, Israël s’avère un allié quasi indispensable.

Au plan religieux, le sionisme chrétien partage avec les évangéliques la volonté de conquérir le monde à Jésus-Christ. Mais ce projet, autrefois en butte au communisme, est maintenant concurrencé par l’islam indûment identifié à l’islamisme. La « guerre mondiale contre la terreur islamiste » déclarée par Georges Bush après l’attentat contre le World Trade Center en 2001 traduit un antagonisme frontal irréductible. Avec le judaïsme et le christianisme, c’est tout l’Occident qui risque d’être submergé par la barbarie islamiste qu’un complot mondial est censé vouloir instaurer. L’Antéchrist a changé de visage : ce ne sont plus les armées soviétiques à la solde de l’athéisme qui sont les suppôts du diable, mais Al-Qaïda, le Hezbollah, le Hamas, et l’Iran. La guerre s’est déplacée d’Irak en Afghanistan, et elle menace désormais du côté de l’Iran. Les sionistes chrétiens sont parmi les plus zélés des dizaines de milliers de missionnaires évangéliques qui, à travers le monde, prêchent la « croisade » en mêlant gloire de Dieu et hégémonie américaine.

Condamnation du sionisme chrétien par les Églises en Orient

Les dignitaires locaux des quatre principales Églises implantées au Moyen- Orient ont solennellement condamné le sionisme chrétien dans la Déclaration de Jérusalem du 22 août 20063. Ce texte dénonce la lecture apocalyptique de la Bible qui pervertit la compréhension du message évangélique et induit des comportements sectaires : au lieu d’aider les hommes et les peuples à reconnaître l’égale dignité de tous et leur imprescriptible droit à la justice, la religion est dévoyée et génère la haine et la violence. Opposer les humains entre eux au nom du Bien et du Mal comme le fait l’idéologie du sionisme chrétien est contraire à l’amour du Christ. Plutôt que de vouer le monde à sa perte en invoquant l’affrontement final entre Dieu et Satan à Armageddon, l’évangile promeut une fraternité qui rejette les exclusions et les hiérarchies entre les peuples, et qui permet de surmonter les conflits dans la réconciliation.

Concrètement, cette Déclaration affirme que la sécurité et la paix ne sont accessibles qu’au prix de la justice, et que le refus de cette incontournable exigence condamne le peuple israélien à être lui-même victime de la violence qu’il inflige aux Palestiniens. Ne se contentant pas d’énoncer des principes, elle appelle à la reconnaissance de l’identité et de l’unité du peuple palestinien par l’État hébreu, à la fin de la politique de colonisation qui se traduit par la confiscation des terres et de l’eau, et par l’enfermement des Palestiniens dans des ghettos. Les murs qui inscrivent dans le paysage l’implacable dureté de la politique d’apartheid pratiquée par Israël ne peuvent produire que le malheur de part et d’autre, mettant en péril la sécurité de ceux qui les érigent en même temps que la stabilité de la région, voire celle du monde entier. En invitant les chrétiens à combattre la politique trompeuse qui mène à l’iniquité actuelle et à ses dangers, les Églises préconisent le recours à la non-violence prêchée par Jésus en estimant qu’elle représente la seule voie vraiment humaine et efficace.

Jean-Marie Kohler

1 Cet article s’appuie très largement sur les analyses présentées par Sébastien Fath dans Le poids géopolitique des évangéliques américains : le cas d’Israël, in Hérodote n° 119, 2005 ; et sur le remarquable ouvrage de Célia Belin, Jésus est juif en Amérique, Droite évangélique et lobbies chrétiens pro- Israël, Fayard, 2011. Le sionisme chrétien est peu répandu en Europe ; ceux qui s’en réclament en France se recrutent surtout dans les milieux d’extrême- droite qui ont substitué une islamophobie obsessionnelle à leur anticommunisme originel.

2 « Voici, je les ramène du pays du septentrion. Je les rassemble des extrémités de la terre… Celui qui a dispersé Israël le rassemblera, et il le gardera comme le berger garde son troupeau. » Jr 31, 8-10 ; voir aussi Jr 23, 7-8, Ez11, 16-17 - réf. C. Belin. C’est vers la fin des années 1960 que s’est organisé ce mouvement de conversion ; près d’un demi-siècle plus tard, il compte autour de 10 000 fidèles.

3 Mgr Michel Sabbah, patriarche catholique de rite latin, l'archevêque Swerios Malki Mourad de l'Eglise othodoxe syrienne, le très Rév. Riah Abu El-Assal, évêque anglican de Jérusalem et le très Rév. Munib Youman, évêque Luthérien.

http://blogs.mediapart.fr/blog/fxavier/060712/sionistes-chretiens

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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

no_comment_martin_buber_01.JPG

L'état d'iSrael s'est vu donné une terre dans le but qu'elle vive en paix et que cette paix soit un exemple pour l'humanité

Mais Israel n'a semé que violences, morts et désolations et se comporte comme ceux qui l'on décimée pendant la shoa

Ah bon, et qui a attaqué sans cesse Israël via le terrorisme, la guerre, les attentats odieux, etc ?

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Membre, 57ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
Posté(e)

Ah bon, et qui a attaqué sans cesse Israël via le terrorisme, la guerre, les attentats odieux, etc ?

,

israel un seul état parmis des états musulmans et arabes.

tu en te pose pas la bonne question, est ce que c'est pas israel l'intrus au proche orient ?

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Membre, 57ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
Posté(e)

Autant pour moi.

Mais mets des sources bordel !

la source a toujours été connue, JESUS un juif d'où le soutient des chrétiens(nouveaux juifs) à israel

c'est aussi con que ça ! mais c'est surtout les musulmans qui l'oublient , une grave erreur.

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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

c'est plutot toi qui ne le sait pas

Sionisme chrétien

Le sionisme chrétien est le nom donné à la croyance d'un certain nombre de chrétiens, en particulier des protestants fondamentalistes, que la création de l'État d'Israël en 1948 est en accord avec les prophéties bibliques, et prépare ainsi le retour de Jésus sur Terre comme Christ en gloire de l'Apocalypse (Christ Pantocrator).

Cette croyance se distingue des présentations « non religieuses » du sionisme par son ancrage dans une tradition théologique et biblique. Les chrétiens sionistes considèrent comme un commandement divin d'aimer et soutenir le peuple juif élu par Dieu et l'État d'Israël. Le sionisme chrétien rassemble différents groupes, généralement fondamentalistes, croyant que la judaïsation de la Palestine historique, couvrant l'actuel État d'Israël et les territoires palestiniens de Cisjordanie et de la bande de Gaza, est une obligation divine qui ramènera Jésus sur terre, le fera définitivement reconnaître comme Messie et assurera le triomphe de Dieu sur les forces du mal à l'issue de l'apocalypse.

Cette croyance se distingue du soutien traditionnel et non messianique à Israël et au sionisme de nombreux chrétiens, pour lesquels ce soutien résulte d'un engagement moral et politique, et non religieux.

Le sionisme chrétien s'est progressivement développé aux États-Unis où il est devenu une composante de la droite évangélique et bénéficie de la bienveillance du mouvement néoconservateur1.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Sionisme_chr%C3%A9tien

SIONISTES CHRETIENS

06 juillet 2012 | Par fxavier

Le conflit israélo-palestinien dépend de multiples facteurs d’ordre historique et géopolitique. En marge des puissants lobbies liés aux intérêts pétroliers et militaro-industriels des États-Unis, d’autres groupes de pression socioéconomiques et idéologiques exercent une influence déterminante sur les stratégies au Moyen-Orient. Parmi ces derniers, le sionisme chrétien assure à l’État hébreu un soutien quasi inconditionnel et des plus efficaces, et ce au nom d’une théologie à fortes implications politiques relevant du néoconservatisme. Évangélique de type pentecôtiste ou charismatique, souvent fondamentaliste, ce mouvement revêt des formes si variées et si fluctuantes qu’il existe, à en croire la spécialiste Célia Belin, « presque autant de sionismes chrétiens qu’il y a de chrétiens sionistes » - ce qui rend malaisé d’en rendre compte1.

L’étonnante suprématie d’une vision religieuse

Adeptes d’une lecture littérale de la Bible et fascinés par les prédictions apocalyptiques, les évangéliques américains ont tendance à se considérer comme le dernier bastion des témoins de Dieu dans une humanité en perdition. Ils croient la fin du monde imminente et attendent avec impatience que le Christ revienne en gloire pour juger les vivants et les morts. Parmi les signes précurseurs de cet événement, ils citent non seulement les catastrophes naturelles et sociales de notre temps, mais aussi et surtout le regroupement du « peuple élu » sur la «T erre promise » et l’amorce d’un courant de conversion à Jésus parmi les Juifs2. La création de l’État hébreu en 1948 et l’apparition d’un christianisme messianique juif prouvent, à leurs yeux, que les ultimes desseins de Dieu sont en train de s’accomplir selon les Écritures.

D’où, pour les sionistes chrétiens, l’impératif devoir de collaborer activement au programme divin visant à restaurer Israël en Palestine. Le sionisme chrétien a pris forme avant le sionisme politique moderne lancé par Theodor Herzel. La culpabilité causée par les persécutions antisémites survenues en Russie et en Allemagne l’a renforcé, mais il ne se réclame en définitive que de la volonté divine. Les plus radicaux de ses adeptes professent l’instauration prochaine sur terre, pour mille ans conformément aux prophéties, du royaume eschatologique de Jésus-Christ qui est présenté comme l’unique sauveur de l’humanité. Il en découle un fervent prosélytisme en direction du peuple de la première Alliance : Dieu lui offre une ultime possibilité de se convertir au Messie qu’il a fait crucifier par le procurateur Ponce Pilate. Les fils d’Israël qui accepteront cette offre seront sauvés, les autres seront damnés avec le reste de l’humanité infidèle. Chargée d’un fort relent d’antisémitisme, cette croyance a très tôt été dénoncée par les Juifs et continue à leur déplaire, mais les avantages tangibles véhiculés au bénéfice d’Israël par la collaboration avec le sionisme chrétien l’emportent.

Un appui politique et financier décisif pour Israël

Les Juifs américains, dont près des deux tiers déclarent s’intéresser de près au devenir d’Israël, n’ont pas les pouvoirs exorbitants qu’on leur prête souvent. Leur poids démographique est faible - moins de 2% de la population, soit environ 5 millions de personnes -, ce qui limite d’emblée leurs capacités d’intervention sociale. Mais surtout, ce milieu est loin d’être homogène au plan de ses convictions et de ses aspirations. De tradition plutôt libérale et progressiste, les Juifs installés aux États-Unis n’ont accueilli qu’avec réticence les perspectives politiques du sionisme juif au départ, ont eu tendance à s’intéresser davantage aux luttes sociales qu’aux questions ethno-religieuses, et beaucoup d’entre eux restent réservés sur les positions inflexibles de l’État hébreu face aux Palestiniens et aux autres protagonistes des conflits du Moyen- Orient. Pour réelle qu’elle soit, leur solidarité avec Israël n’est pas inconditionnelle comme celle de la plupart des sionistes chrétiens, et leur influence politique est nettement moindre. Les évangéliques ont, par contre, un poids démographique et politique prépondérant aux États-Unis. Ils représentent près du tiers de la population – soit autour de 90 millions de personnes, pro-israéliennes par motivation religieuse à 50%, et sionistes entre 20 et 25%. Partageant assez largement les idées conservatrices communes dans la Bilble Belt du Sud et du Moyen-Ouest, ils forment une proportion significative du parti républicain et disposent d’une force électorale conséquente.

Leurs télévangélistes sont à la tête d’un empire audiovisuel d’une incomparable puissance médiatique et financière. Des mécanismes de collecte performants permettent aux Églises et autres organisations évangéliques de drainer des fonds considérables pour les causes qu’elles défendent, et notamment pour Israël. Aussi n’est-il pas surprenant que le ralliement d’une partie croissante de la mouvance évangélique à la cause d’Israël soit considéré comme particulièrement précieux par les leaders de l’État hébreu : face aux adversaires arabes, l’alliance judéo-chrétienne s’impose en dépit de ses ambiguïtés.

Les Palestiniens abandonnés à leur sort

Bien que les sionistes chrétiens proclament que Dieu a irrévocablement attribué à Israël un droit prééminent sur l’ancien pays de Canaan, ils n’ont pas toujours été indifférents ou hostiles aux Palestiniens dont la composante chrétienne a été très influente. Quand les Juifs foulaient trop brutalement aux pieds les droits des Palestiniens, jusqu’à recourir à des actes qualifiables de terroristes, certains de ces sionistes rappelaient que les Arabes sont eux aussi issus d’Abraham en qui Dieu a promis de bénir toutes les nations, et que l’épreuve de la Shoah n’a pas aboli la justice. Mais à mesure que l’antagonisme entre les deux peuples a progressé et que l’islam a dynamisé la résistance palestinienne, ces bons sentiments se sont érodés. Le délitement des régimes arabes laïcs et marxisants a contribué à durcir les clivages religieux. Puis le développement du terrorisme islamique a fini par éloigner le sionisme chrétien de la cause palestinienne accusée de collusion avec le Hezbollah libanais et l’islamisme iranien. Les Intifada de 1987 et 2000 ont scellé la rupture.

Les victoires d’Israël qui ont conclu la guerre des Six Jours puis celle du Kippour, en 1967 et en 1973, sont apparues comme des miracles directement opérés par Dieu en faveur de son peuple. Nombre de sionistes chrétiens en ont déduit qu’il ne faut rien céder aux Palestiniens dans le cadre des négociations de paix. Par fidélité à la volonté divine, les plus radicaux d’entre eux appuient les extrémistes juifs partisans du Grand Israël, incluant la Judée et la Samarie qui forment la Cisjordanie, et soutiennent financièrement les colonies implantées illégalement en territoire palestinien. Proclamée « capitale éternelle » d’Israël, Jérusalem doit rester sous le contrôle exclusif de l’État hébreu, et il est question d’y reconstruire le Temple de Salomon à la place de la mosquée Al-Aqsa. L’histoire est refaçonnée pour rejeter comme indues et sacrilèges les revendications des Palestiniens. Les violences qui ponctuent leur résistance font l’objet d’une intense propagande anti-arabe tandis que les exactions d’Israël, comme celles intervenues lors de la sanglante opération menée à Gaza en 2008-2009, ne sont pas condamnées…

De la religion à la « guerre des civilisations »

Le sionisme chrétien prône un moralisme très éloigné de la « Bonne Nouvelle » annoncée par Jésus. À la merci de Satan selon la doctrine évangélique prédominante, le monde court à sa perte : hors de « L a Vérité » révélée par les Écritures, il n’y a que mensonge et péché. De la Création à la Parousie, l’histoire du salut est dominée par la faute originelle et appelle la répression. Dans le sillage du conservatisme patriarcal et esclavagiste du Sud des États-Unis, c’est la soumission à l’ordre social traditionnel qui constitue la pierre de touche de la vraie foi : acceptation des doctrines fondamentalistes telles que le créationnisme, restauration de la famille et exaltation du travail, défense des prérogatives individuelles comme le port des armes à feu, refus des revendications féministes et du mariage homosexuel, lutte contre l’avortement, interdiction de l’euthanasie et de la recherche sur les cellules souches, rejet des dérives actuelles de la sexualité, etc. Ces positions correspondent globalement à celles du parti républicain qui, sous couvert de défense des valeurs de l’Occident, privilégie les intérêts d’une Amérique vouée à l’ultralibéralisme et qui se méfie des régulations internationales. Pour servir ces visées au Moyen-Orient, Israël s’avère un allié quasi indispensable.

Au plan religieux, le sionisme chrétien partage avec les évangéliques la volonté de conquérir le monde à Jésus-Christ. Mais ce projet, autrefois en butte au communisme, est maintenant concurrencé par l’islam indûment identifié à l’islamisme. La « guerre mondiale contre la terreur islamiste » déclarée par Georges Bush après l’attentat contre le World Trade Center en 2001 traduit un antagonisme frontal irréductible. Avec le judaïsme et le christianisme, c’est tout l’Occident qui risque d’être submergé par la barbarie islamiste qu’un complot mondial est censé vouloir instaurer. L’Antéchrist a changé de visage : ce ne sont plus les armées soviétiques à la solde de l’athéisme qui sont les suppôts du diable, mais Al-Qaïda, le Hezbollah, le Hamas, et l’Iran. La guerre s’est déplacée d’Irak en Afghanistan, et elle menace désormais du côté de l’Iran. Les sionistes chrétiens sont parmi les plus zélés des dizaines de milliers de missionnaires évangéliques qui, à travers le monde, prêchent la « croisade » en mêlant gloire de Dieu et hégémonie américaine.

Condamnation du sionisme chrétien par les Églises en Orient

Les dignitaires locaux des quatre principales Églises implantées au Moyen- Orient ont solennellement condamné le sionisme chrétien dans la Déclaration de Jérusalem du 22 août 20063. Ce texte dénonce la lecture apocalyptique de la Bible qui pervertit la compréhension du message évangélique et induit des comportements sectaires : au lieu d’aider les hommes et les peuples à reconnaître l’égale dignité de tous et leur imprescriptible droit à la justice, la religion est dévoyée et génère la haine et la violence. Opposer les humains entre eux au nom du Bien et du Mal comme le fait l’idéologie du sionisme chrétien est contraire à l’amour du Christ. Plutôt que de vouer le monde à sa perte en invoquant l’affrontement final entre Dieu et Satan à Armageddon, l’évangile promeut une fraternité qui rejette les exclusions et les hiérarchies entre les peuples, et qui permet de surmonter les conflits dans la réconciliation.

Concrètement, cette Déclaration affirme que la sécurité et la paix ne sont accessibles qu’au prix de la justice, et que le refus de cette incontournable exigence condamne le peuple israélien à être lui-même victime de la violence qu’il inflige aux Palestiniens. Ne se contentant pas d’énoncer des principes, elle appelle à la reconnaissance de l’identité et de l’unité du peuple palestinien par l’État hébreu, à la fin de la politique de colonisation qui se traduit par la confiscation des terres et de l’eau, et par l’enfermement des Palestiniens dans des ghettos. Les murs qui inscrivent dans le paysage l’implacable dureté de la politique d’apartheid pratiquée par Israël ne peuvent produire que le malheur de part et d’autre, mettant en péril la sécurité de ceux qui les érigent en même temps que la stabilité de la région, voire celle du monde entier. En invitant les chrétiens à combattre la politique trompeuse qui mène à l’iniquité actuelle et à ses dangers, les Églises préconisent le recours à la non-violence prêchée par Jésus en estimant qu’elle représente la seule voie vraiment humaine et efficace.

Jean-Marie Kohler

1 Cet article s’appuie très largement sur les analyses présentées par Sébastien Fath dans Le poids géopolitique des évangéliques américains : le cas d’Israël, in Hérodote n° 119, 2005 ; et sur le remarquable ouvrage de Célia Belin, Jésus est juif en Amérique, Droite évangélique et lobbies chrétiens pro- Israël, Fayard, 2011. Le sionisme chrétien est peu répandu en Europe ; ceux qui s’en réclament en France se recrutent surtout dans les milieux d’extrême- droite qui ont substitué une islamophobie obsessionnelle à leur anticommunisme originel.

2 « Voici, je les ramène du pays du septentrion. Je les rassemble des extrémités de la terre… Celui qui a dispersé Israël le rassemblera, et il le gardera comme le berger garde son troupeau. » Jr 31, 8-10 ; voir aussi Jr 23, 7-8, Ez11, 16-17 - réf. C. Belin. C’est vers la fin des années 1960 que s’est organisé ce mouvement de conversion ; près d’un demi-siècle plus tard, il compte autour de 10 000 fidèles.

3 Mgr Michel Sabbah, patriarche catholique de rite latin, l'archevêque Swerios Malki Mourad de l'Eglise othodoxe syrienne, le très Rév. Riah Abu El-Assal, évêque anglican de Jérusalem et le très Rév. Munib Youman, évêque Luthérien.

http://blogs.mediapart.fr/blog/fxavier/060712/sionistes-chretiens

Ce type est aussi illuminé que les djihadistes et il représente quoi au juste ?

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Membre, 57ans Posté(e)
azed1967 Membre 4 597 messages
Forumeur expérimenté‚ 57ans‚
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Ce type est aussi illuminé que les djihadistes et il représente quoi au juste ?

une bonne partie des usa

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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

la source a toujours été connue, JESUS un juif d'où le soutient des chrétiens(nouveaux juifs) à israel

c'est aussi con que ça ! mais c'est surtout les musulmans qui l'oublient , une grave erreur.

Et si tu te contentait de parler de ta religion ou de celle que tu défends, à savoir l'islam ?

Car quand tu parles des chrétiens tu es totalement à côté de la plaque, à te lire on a l'impression que les occidentaux vivent dans un monde chrétien où l'église règne en maître et impose sa loi morale et politique à tous, cela est totalement faux, tu confonds avec avec l'islam qui veut tout gérer.

Tu vis en Belgique, est-ce-que l'église domine ou dirige le peuple belge ?

Qui parles encore de Jésus, qui connait encore la significations des fêtes religieuses cathos, qui va à la messe, c'est quoi vivre à la mode "chrétienne" ?

Ce qui est dingue, c'est que certains musulmans parlent sans cesse du christianisme en lui faisant dire et faire n’importe quoi afin de justifier leur propres comportements, impossible pour eux d'imaginer que l'on peut vivre dans un monde où la religion ne gère pas la vie des citoyens comme c'est le cas en terre d'islam.

Je me souviens d'un voyage en Égypte et de conversations passionnées avec un commerçant sympa et qui parlait bien le français, il ne cessait de dire à tous propos, "vous les chrétiens", ce qui était assez agaçant.

Impossible de lui faire comprendre que notre façon de vivre (Europe) ne dépendait pas du christianisme, pour lui on vivait tous obligatoirement en fonction de la religion !

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Membre, 46ans Posté(e)
Maxence22 Membre 8 792 messages
Forumeur accro‚ 46ans‚
Posté(e)

Et si tu te contentait de parler de ta religion ou de celle que tu défends, à savoir l'islam ?

Car quand tu parles des chrétiens tu es totalement à côté de la plaque, à te lire on a l'impression que les occidentaux vivent dans un monde chrétien où l'église règne en maître et impose sa loi morale et politique à tous, cela est totalement faux, tu confonds avec avec l'islam qui veut tout gérer.

Ce fut une réalité pendant plus de 1000 ans en Occident; mais il est vrai que ce n'est plus le cas aujourd'hui (du moins, en France).

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Membre, 75ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)

Ce qui est Dingue, c'est que certains Athées qui se disent non Croyants parlent sans cesse du Christianisme ou de L'islam (des religions en générale) en leurs faisant Dire et faire n’importe quoi afin de Justifier leur propres "Croyances" par des comportements d'autres "Adorations"

impossible pour eux d'imaginer que l'on peut vivre dans un monde où la religion peut aider a gérer la vie des citoyens comme c'est le cas en Toute Terre

Modifié par Pales
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Membre, 75ans Posté(e)
Murat1949 Membre 3 616 messages
Baby Forumeur‚ 75ans‚
Posté(e)

Ce qui est Dingue, c'est que certains Athées qui se disent non Croyants parlent sans cesse du Christianisme ou de L'islam (des religions en générale) en leurs faisant Dire et faire n’importe quoi afin de Justifier leur propres "Croyances" par des comportements d'autres "Adorations"

impossible pour eux d'imaginer que l'on peut vivre dans un monde où la religion peut aider a gérer la vie des citoyens comme c'est le cas en Toute Terre

"Ce qui est Dingue, c'est que certains Athées qui se disent non Croyants parlent sans cesse du Christianisme ou de L'islam (des religions en générale) en leurs faisant Dire et faire n’importe quoi afin de Justifier leur propres "Croyances" par des comportements d'autres "Adorations"

Dans le genre, "je raconte n'importe quoi....", tu fais fort !!!

Des athées qui se disent non croyants", forcément, puisqu'ils sont athées...

"...parlent sans cesse du Christianisme ou de L'islam (des religions en générale) en leurs faisant Dire et faire n’importe quoi..."

Logique, le christianisme et surtout l'islam ne cessent de nous casser les burnes avec leurs salades, pourquoi ne pourrait-on pas en parler ?

Quand on voit ce qui se passe dans le monde avec la religion qui se dit une religion de paix et de tolérance, on a de quoi dire, d'autant qu'un pays musulman tolérant, on ne connait pas !!!

Quand à dire "n'importe quoi", il me semble que dans le domaine les religions et plus précisément l'islam aujourd'hui, s'y connaissent pour radoter les pires des conneries, au plus c'est gros et stupide, au plus ils croient :smile2:

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Membre, 75ans Posté(e)
Pales Membre 23 646 messages
Maitre des forums‚ 75ans‚
Posté(e)

"Ce qui est Dingue, c'est que certains Athées qui se disent non Croyants parlent sans cesse du Christianisme ou de L'islam (des religions en générale) en leurs faisant Dire et faire n’importe quoi afin de Justifier leur propres "Croyances" par des comportements d'autres "Adorations"

Dans le genre, "je raconte n'importe quoi....", tu fais fort !!!

Des athées qui se disent non croyants", forcément, puisqu'ils sont athées...

"...parlent sans cesse du Christianisme ou de L'islam (des religions en générale) en leurs faisant Dire et faire n’importe quoi..."

Logique, le christianisme et surtout l'islam ne cessent de nous casser les burnes avec leurs salades, pourquoi ne pourrait-on pas en parler ?

Quand on voit ce qui se passe dans le monde avec la religion qui se dit une religion de paix et de tolérance, on a de quoi dire, d'autant qu'un pays musulman tolérant, on ne connait pas !!!

Quand à dire "n'importe quoi", il me semble que dans le domaine les religions et plus précisément l'islam aujourd'hui, s'y connaissent pour radoter les pires des conneries, au plus c'est gros et stupide, au plus ils croient :smile2:

Si un Athée ne crois en Rien a quoi Croit-il?

Aux moins a ses Conneries quand même?:smile2:

Tu te rend Compte que c'est Toi qui nous radote tes "Croyances" d'Athée :hehe:

Et TOI Plus tu te Répète et plus personne ne TE Croit :acute:

"On a plus de croyance a 60ans qu'a 6ans car on a de la Mémoire"

Modifié par Pales
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Membre, Posté(e)
Zelig Membre 5 446 messages
Baby Forumeur‚
Posté(e)

Et TOI Plus tu te Répète et plus personne ne TE Croit :acute:

Pales,

Personne ne te lit plus, tu t'en rends compte ?

Tu te répètes sans cesse et personne ne te croit, justement. Qu'est-ce que tu fous encore là à parler tout seul dans le vide ?

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