Découverte d'ondes dites « magnéto-Coriolis » ou « magnétohydrodynamiques » au sein du noyau terrestre

Je n'ai pas compris grand chose au sujet mais j'ai néanmoins saisi qu'il est désormais possible de mieux comprendre les variations du champ magnétique sur de courtes périodes.

https://www.futura-sciences.com/planete/actualites/geodynamo-noyau-terrestre-parcouru-ondes-rapides-tres-speciales-97554/?utm_source=nl_quotidienne&nl_optin=optin_sciences&utm_content=20220326&utm_campaign=general&utm_medium=email&xtor=EREC-49-QUOTIDIENNE20220326&uid=764ef07b3448df899811f2ac37624226

Si je fais complètement fausse route, n'hésitez pas à me le dire...

Cava dans le sens de ma théorie de générer l'énergie électrique grâce au perturbation qui existe dans le champ magnétique de la terre 0 par induction électromagnétique du système perturber par un câble entre pôle sud et nord magnétique, même si le champs magnétique a un faible tension l'énergie qui se cache derrière fait tourner la terre... 

Et grâce à ce câble en peux se cacher et rester invisible à la terre 9 et 6 comme des Djin et arrêter l'inversion du pôle et avec l'énergie à gogo on peut rendre l'univers un humain qui commence à naître avec deux état l'état de réalité ou il unique et l'état complexe de rêve et pensé (Djin) .. 

Les forces de Coriolis se traduisent par des torsions de trajectoire qui résultent de l'addition vectiorielle des différentes composantes du mouvement. Ainsi sur la Terre, toutes les trajectoires d'un mouvement rectiligne uniforme sont "tordues" par les forces de Coriolis. Il suffit de voir la carte des courants marins ou la trajectoire des dépressions atmosphériques et des cyclones. Dans le noyau extérieur de la Terre  (il est liquide) les courants de convection qui transportent la chaleur du centre vers l'extérieur subissent eux aussi l'action des forces de Coriolis. Mais puisque des courants électriques circulent dans ces mouvements de fer liquide, il en résulte, selon la loi de Laplace, un champ magnétique. Si tout était bien régulier, le champ magnétique global serait rigoureusement constant en direction sens et intensité. Hélas, c'est plus complexe et donc le champ magnétique terrestre est fluctuant.

Le sujet évoqué s'adresse à des experts en champ magnétique terrestre !

Je me souviens dans ma jeunesse qu'il fallait tenir compte de la déclinaison (différence entre le pôle magnétique et le pôle géographique) pour la navigation. Car les cartes sont géographiques bien évidemment, alors que les instruments mesurent le nord magnétique. Les instruments sont le compas de route pour barrer le bateau en suivant un cap donné d'une part et d'autre part le compas de relèvement pour mesurer l'angle entre le nord et un amer (un phare par exemple) que l'on voit depuis le bateau. Il suffit de deux amers pour que le tracé de deux droites nous placent sur la carte.

Il faut faire attention à ajouter ou retrancher la déclinaison pour passer de la carte aux instruments. Comme la déclinaison était ouest (la boussole vise à gauche du nord géographique), il fallait ajouter cette déclinaison au cap à suivre. Si on vise un cap à 4°, on va pile au nord géographique. A l'inverse, quand on relevait un phare dont on voulait reproduire l'azimut sur la carte, il fallait retirer cette déclinaison de 4°.

Bien sûr si on se gourait dans le sens de la correction, on faisait une erreur de 8°, de quoi finir sur des cailloux la nuit. L'école des Glénans enseignait un moyen mnémotechnique simple : quand je monte sur le pont, je mets ma casquette, donc je mets la déclinaison en plus. Quand je descend dans la cabine, je retire ma casquette donc je retire la déclinaison.

Aujourd'hui les jeunes marins d'eau douce méconnaissent l'affaire car actuellement il n'y a plus de déclinaison ou presque en France.

Oui moi aussi j'i passéle permis bateau B où il faut maîtriser les additions algébrique des dérives magnétiques et les additions vectorielles des vents, des courants et la polaire des voiles !

En ce qui concerne le sujet du jour il semble que les spécialistes du magnétisme terrestre on un "os à ronger" pour tenter d'expliquer certaines variations du magnétisme terrstre au cours du temps.

Personne ne peut donc traiter Répy et VladB de marins d'eau douce !!!!

Il y a 3 heures, Pratika a dit :

Personne ne peut donc traiter Répy et VladB de marins d'eau douce !!!!

J'aurais bien aimé collectionner le permis de navigation fluviale mais je n'en ai jamais eu l'occasion ou la motivation. Peut-être qu'à la retraite j'en prendrai le temps... !

ce qui m'intéressait en mer c'est d'utiliser la force du vent et pas celle d'un moteur pétaradant. Ruser avec la direction changeante, régler ses voiles continuellement, tenir compte des courants de marée, c'est un sport qui fait fonctionner le cerveau et les muscles !

Pour revenir à la force de Coriolis, tous ceux qui sont allés en Afrique sous l'équateur ont eu droit à la démonstration (touristique) du sens de rotation de l'eau d'un lababo plein d'eau qui se vide. Le guide fait l'expérience d'un côté de l'équateur puis la refait 10 ou 20 m plus loin dans l'autre hémisphère. Bien sûr le touriste voit toujours un changement de sens de rotation de l'eau dans le lavabo. Mais ça c'est pour le public ignare en physique !

La force de Coriolis qui dévie la trajectoire des courants marins ou atmosphériques  change bien se sens dans chaque hémisphère, ce que montrent toutes les cartes. En revanche le public ignore la formule mathématique qui fait intervenir le sinus de la latitude. Or à l'équateur, la latitude =0 et le sinus de zéro = zéro. Donc il n'y a pas de force de Coriolis à l'équateur et le sens de vidage du lababo est totalement aléatoire. D'autant plus que cette force est faible par rapport aux divers frottements et qu'elle n'est perceptible que sur les projectiles très rapides ou sur de grandes trajectoires.

Si le touriste a vu un changement de sens de rotation de l'eau du lavabo c'est grâce à une astuce du manipulateur.

Merci infiniment Répy !!!!  Tu viens de me faire comprendre pourquoi je n'ai jamais observé de différence d'un côté et de l'autre de l'équateur quand je vivais en Afrique !!!

il y a 23 minutes, Répy a dit :

J'aurais bien aimé collectionner le permis de navigation fluviale mais je n'en ai jamais eu l'occasion ou la motivation. Peut-être qu'à la retraite j'en prendrai le temps... !

ce qui m'intéressait en mer c'est d'utiliser la force du vent et pas celle d'un moteur pétaradant. Ruser avec la direction changeante, régler ses voiles continuellement, tenir compte des courants de marée, c'est un sport qui fait fonctionner le cerveau et les muscles !

Pour revenir à la force de Coriolis, tous ceux qui sont allés en Afrique sous l'équateur ont eu droit à la démonstration (touristique) du sens de rotation de l'eau d'un lababo plein d'eau qui se vide. Le guide fait l'expérience d'un côté de l'équateur puis la refait 10 ou 20 m plus loin dans l'autre hémisphère. Bien sûr le touriste voit toujours un changement de sens de rotation de l'eau dans le lavabo. Mais ça c'est pour le public ignare en physique !

La force de Coriolis qui dévie la trajectoire des courants marins ou atmosphériques  change bien se sens dans chaque hémisphère, ce que montrent toutes les cartes. En revanche le public ignore la formule mathématique qui fait intervenir le sinus de la latitude. Or à l'équateur, la latitude =0 et le sinus de zéro = zéro. Donc il n'y a pas de force de Coriolis à l'équateur et le sens de vidage du lababo est totalement aléatoire. D'autant plus que cette force est faible par rapport aux divers frottements et qu'elle n'est perceptible que sur les projectiles très rapides ou sur de grandes trajectoires.

Si le touriste a vu un changement de sens de rotation de l'eau du lavabo c'est grâce à une astuce du manipulateur.

Oui, à noter que même loin de l'équateur, chez nous par exemple, si on donne l'impulsion au tourbillon dans l'évier, alors le mouvement initial est bien plus important que les forces de Coriolis et c'est l'opérateur qui choisit le sens du tourbillon.

Ce qui est sympathique dans la navigation a voile, c'est l'idée que l'on peut se rendre là d'où vient le vent.

Concernant le courant et son influence sur le vent (effet non négligeable si le vent est faible), ce qui compte n'est pas tant le courant mais plutôt sa variation, variation qui va provoquer un changement de la force et de la direction du vent apparent. Un truc prévisible donc et important lorsque l'affaire va durer plusieurs heures.

Je me souvient d'un équipage qui pensait que s'il attaquait le courant de face et non de travers (lors d'un louvoyage, cad les zigzags lorsque l'on remonte au vent, on a donc pendant un temps le choix d'une direction ou d'une autre), alors de face le bateau allait moins subir le courant (lol).