Le 04/04/2024 à 17:54, G2LLOQ a dit :

Ils sont mis en retrait  , a leur place je me vengerais  en balançant les petites combines tous azimuts  !  dans la presse de caniveau , celle qui aime ça !  ou de bas niveau si vous préférer  !  pour foutre le bouzin    ah ah ah     

tu te ferais traiter de pervers et d'anti parti comme au temps du stalinisme !

En URSS et dans les "démocraties dites populaires" du bloc soviétique, tu aurais été envoyé en camp de "redressement mental" par -30°C. ça refroidi vite les contestations !

Julien Bayou innocenté mais pas réhabilité

Éjecté de la vie politique sur un simple soupçon de harcèlement moral, l’ex-député de Paris attend des excuses publiques des Verts.

Comment continuer à faire l'autruche quand tout vous donne à penser que vous vous êtes fourvoyé et que la moindre des choses serait de vous excuser auprès de celui dont vous avez brisé la carrière politique ?

Sandrine Rousseau accusait publiquement Julien Bayou, secrétaire national d'EELV, député de la 3^e circonscription de Paris, un des ténors du parti, d'avoir exercé des « violences psychologiques » sur son ancienne compagne.

En quelques heures, la vie de l'élu Vert basculait en Absurdie. La meute se déchaînait sur lui. Devant la violence disproportionnée des réactions, malgré ses dénégations, Bayou était livré en pâture, sans la moindre preuve, à la vindicte néoféministe. Bayou au rencard, viré, suspendu pour une simple suspicion. Marine Tondelier avait même lancé une forme d'appel à délation, à travers un questionnaire auprès des militants, leur recommandant de signaler des agissements douteux du « monstre virtuel ». Devant ce déchaînement, Bayou avait été alors contraint de démissionner de tous ses mandats. La guillotine politique. Dérive inquisitoriale d'un mouvement qui ne jure que par la défense de la démocratie et de la présomption d'innocence ?

les conclusions du cabinet, qui viennent de tomber le mois dernier, sont accablantes pour les Fouquier-Tinville écolos. Rien « n'a permis de déterminer si des faits contraires aux règles de droit et aux textes internes […] ont été commis »,

Et comment la direction des Verts réagit-elle ? Elle botte en touche. Elle joue les Ponce Pilate. Pas un mot de repentir. Pas de droit de grâce. Pour ne pas réhabiliter l'homme déchu, elle s'en remet, cette fois, à la vraie justice, celle de la République, celle qui fait appliquer les lois, celle qui ne comptait pas deux ans auparavant. Pour traîner un peu plus des pieds, elle propose d'attendre la fin d'éventuelles poursuites qui auraient été déposées auprès du parquet de Paris, poursuites, selon nos informations, tellement abracadabrantes qu'elles n'auraient que peu de chances d'être retenues.

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