Nos rêves les plus marquants .

Bonjour,

Et si on parlait de nos rêves, ceux qui traînent dans notre tête toute la journée, ceux qui reviennent souvent, ceux qui nous font réfléchir....bref, nos rêves les plus marquants .

Édit. Impulsivité 

 Un de cette nuit.

Dans des situations bizarres, notamment un mariage où je voulais passer inaperçue (perruque et grand chapeau  ), un homme fort, grand, protecteur me venait sans cesse en aide. Puis la relation est devenue plus affectueuse, puis câline. Un bien-être fou, dans des situations périlleuses.

Au réveil, j'étais en lévitation, pleine de chaleur.

Mais qui était cet homme ? Après longue réflexion j'ai compris qu'il s'agissait d'un ancien flirt avec un ancien légionnaire, beau comme un Dieu. Relation très brève parce que je me suis vite sentie en risque d'être sous emprise. J'étais comme une loque entre ses bras, comme perdue et enfin trouvée 

Je ne me rappelle jamais de mes rêves.

Et des rêves dans un même lieu, que vous reconnaissez de rêves précédents, et où "l'action" continue son cours...vous en faites ?

il y a 1 minute, Talon 1 a dit :

Je ne me rappelle jamais de mes rêves.

Tu ne connais pas ta chance !

Comme @Talon 1 , je ne souviens pas de mes rêves ou je n'en fait pas  . Depuis longtemps . 

Dans 90% de mes rêves, je cherche quelque chose ou quelqu’un. Sans jamais trouver. C’est lourd...

Mes rêves,  ou thématiques de rêve sont assez récurrent.

J'ai souvent des missions à accomplir (genre film d'action) pas seule d'ailleurs,  et puis y'a les méchants d'un côté et nous qui ne devons pas nous faire repérer. 

Le dernier était assez cocasse,  un peu futuriste, avec des vaisseaux spaciaux et des extraterrestres.

Ou sinon je suis à un point A et je doit suivre une route (en voiture par ex) pour me rendre à un point B. Mais il arrive toujours quelques complications. 

Parfois je rêve que je retourne dans mon ancienne école d'ingénieur , genre pour terminer de suivre un cours 

Etc... etc... 

il y a 15 minutes, Mite_Railleuse a dit :

Dans 90% de mes rêves, je cherche quelque chose ou quelqu’un. Sans jamais trouver. C’est lourd...

J'ai entendu dire que tous les personnages ou personnes qui apparaissent ou dont on est conscient qu'ils existent ( celui ou celle que tu cherches ) , seraient une partie de soi , quelque chose de soi . 

Ne te courrais-tu pas après ? par hasard 

il y a 3 minutes, eriu a dit :

J'ai entendu dire que tous les personnages ou personnes qui apparaissent ou dont on est conscient qu'ils existent ( celui ou celle que tu cherches ) , seraient une partie de soi , quelque chose de soi . 

Ne te courrais-tu pas après ? par hasard 

Je ne cours pas après, je les cherche. Et ça ressemble un peu à un jeu de piste. Mais en moins ludique...

à l’instant, Mite_Railleuse a dit :

Je ne cours pas après, je les cherche. Et ça ressemble un peu à un jeu de piste. Mais en moins ludique...

Pardon , tu te cherches .

ps: après je n'y connais rien  

les rêves dont je me souviens sont le plus souvent des cauchemars où je dois à tout prix sauver la vie de mes enfants en situations très périlleuses , tsunami , séisme , tornade ....

il y a une heure, Petitpois a dit :

Et des rêves dans un même lieu, que vous reconnaissez de rêves précédents, et où "l'action" continue son cours...vous en faites ?

oui, et même dans une même nuit, je replonge dedans et je reprends l'histoire. C'est rare, c'est mieux de ne pas pouvoir le faire.

C'est impossible de raconter mes cauchemars. Peut-être un quand même, soft. je suis dans une pièce et il y a une fenêtre haute, un rectangle, comme une sorte de vasistas. Quelqu'un est là assis sur le rebord avec les jambes à l'intérieur et il se balance, il rit aux éclats, il laisse tomber tout le haut de son corps de plus en plus loin dans le vide. Et je suis complètement terrorisée. Je hurle, je supplie, je pleure, rien n'y fait, transparente, comme si je n''étais pas là. Arrive un moment où je vois les jambes commencer à glisser, il s'est balancé trop fort, trop loin,  il va tomber, s'écraser, 20 mètres plus bas. Je me réveille en panique, en pleurs, essoufflée. 

J'ai ruminé ce cauchemar plusieurs jours, pourtant j'en ai parlé à la personne concernée rapidement, mais l'angoisse (qui était en réalité déjà bien implantée) est restée longtemps.

Souvent, mes rêves se situent dans un même lieu, inconnu mais précédemment vu en rêve/cauchemar.

Et dans mon rêve même, je me dis (dans mon rêve) que je connais déjà cet endroit et, suivant qu'il ait été un lieu de cauchemar ou de simple rêve, je me dis que "ça va être hard" ou "ça va aller.

il y a 5 minutes, Petitpois a dit :

Et dans mon rêve même, je me dis (dans mon rêve) que je connais déjà cet endroit et, suivant qu'il ait été un lieu de cauchemar ou de simple rêve, je me dis que "ça va être hard" ou "ça va aller.

Oui, le "ça va pas le faire"...  Parfois c'est pas un lieu, c'est juste une image, c'est figé, n'importe, ou une odeur, un son, et là, je sais que ça va pas le faire, ensuite c'est du "sans images", y a aucune image, ce sont les nuits les plus violentes.  

il y a 43 minutes, January a dit :

Oui, le "ça va pas le faire"...  Parfois c'est pas un lieu, c'est juste une image, c'est figé, n'importe, ou une odeur, un son, et là, je sais que ça va pas le faire, ensuite c'est du "sans images", y a aucune image, ce sont les nuits les plus violentes.  

Qu'est ce que tu appelles "du sans image" ?...juste les mauvaises sensations (odeur, son..) ?

Oui, ressentis, tous.  Pas évident de parler de ça. Un ressenti qui est toujours là, toujours : l'étouffement, c'est comme se noyer à l'intérieur je ne sais pas l'expliquer, et parfois c'est plus un étranglement. Parfois je me défends et je me blesse, ça me réveille. Si je ne me défends pas, je me réveille quand même au moment de mourir, et je pense qu'à ce moment-là, j'arrête réellement de respirer, une apnée, j'en suis sûre. Je lâche en fait dans le rêve, je me laisse mourir et j'arrête de respirer réellement, c'est ce qui me réveille je pense. 

Quand je me suis blessée je me soigne et voilà. Quand c'est la deuxième option c'est plus difficile, parce-que je suis déçue et je culpabilise, parce-que ça commence à tourner dans la tête, ça peut durer plusieurs jours et plusieurs nuits. 

J'adore ceux où je suis en train de voyager ou de nager  sur des rivières claires au milieu de la nature. Ceux où je découvre tout plein de pièces de monnaie sur mon chemin. Ceux où je monte sur scène.

Je déteste ceux où je fais des randonnées exténuantes sur les pentes raides de paysages accidentés: quand je me réveille, j'ai mal au dos et je sens la fatigue et la douleur jusque dans mon rêve! Ceux où l'on m'a volé mes vêtements et dans lesquels je dois me balader nue en public! 

 Je dois dire aussi que, même à la retraite, il m'arrive encore, de refaire des rentrées scolaires en rêve ou d'aller enseigner à l'école! 

il y a 3 minutes, January a dit :

Oui, ressentis, tous.  Pas évident de parler de ça. Un ressenti qui est toujours là, toujours : l'étouffement, c'est comme se noyer à l'intérieur je ne sais pas l'expliquer, et parfois c'est plus un étranglement. Parfois je me défends et je me blesse, ça me réveille. Si je ne me défends pas, je me réveille quand même au moment de mourir, et je pense qu'à ce moment-là, j'arrête réellement de respirer, une apnée, j'en suis sûre. Je lâche en fait dans le rêve, je me laisse mourir et j'arrête de respirer réellement, c'est ce qui me réveille je pense. 

Quand je me suis blessée je me soigne et voilà. Quand c'est la deuxième option c'est plus difficile, parce-que je suis déçue et je culpabilise, parce-que ça commence à tourner dans la tête, ça peut durer plusieurs jours et plusieurs nuits. 

Wouf ! Pas drôle en effet ! Même insupportable ! Au point de se blesser...   Quelle horreur ! 

il y a 12 minutes, January a dit :

Oui, ressentis, tous.  Pas évident de parler de ça. Un ressenti qui est toujours là, toujours : l'étouffement, c'est comme se noyer à l'intérieur je ne sais pas l'expliquer, et parfois c'est plus un étranglement. Parfois je me défends et je me blesse, ça me réveille. Si je ne me défends pas, je me réveille quand même au moment de mourir, et je pense qu'à ce moment-là, j'arrête réellement de respirer, une apnée, j'en suis sûre. Je lâche en fait dans le rêve, je me laisse mourir et j'arrête de respirer réellement, c'est ce qui me réveille je pense. 

Quand je me suis blessée je me soigne et voilà. Quand c'est la deuxième option c'est plus difficile, parce-que je suis déçue et je culpabilise, parce-que ça commence à tourner dans la tête, ça peut durer plusieurs jours et plusieurs nuits. 

Tu as pensé à aller consulter pour apnées du sommeil?