Consommation de drogues

Bonjour,

Je m'appelle Juliette, j'ai 19 ans et j'ai testé il y a 3 semaines les drogues dures.

Je ne m'attendais absolument pas à faire une expérience de ce genre, qui n'est pas habituelle. Les drogues dures sont très mal vu, et effectivement, utilisé a mauvais hessien ce n'est pas le meilleur à faire.

La première drogue que j'ai testé a été la 3MMC. J'en ai pris 2 traces et je n'est absolument rien ressenti. La seconde fois, ç a été la MD, ou j'ai eu des hallucination ou je croyais voir un visage et en fait c'était des vêtement. Je transpirait abondamment, et avait super chaud. Je recherchais le contact avec les autres, j'avais la mâchoire serrer...

Depuis 3 semaine je vais en soirée et after techno. C'est vraiment incroyable comme ambiance, mais c'est connu pour trafiquer des drogues dures et en consommer pas mal. Je fais quand même attention a ne pas dépasser mes limites, car je ne souhaite pas qu'il m'arrive un trip ou autre problème comme crise cardiaque, perte de connaissance, black out..

mes proches ( 2 ou 3 amis, ma famille n'est pas au courant) m'ont quasiment obligé a arrêté car ça bousille le cerveau.

Je me suis séparé de mon copain il y a deux semaine. Ma première conso de drogue était la semaine d'avant. On se voyait vivre ensemble etc.. et à un moment donné j'ai ressenti de l'attirance et du désir pour un autre gars. Il est dans mon entreprise. On a passé une soirée a 2, et je ne vais pas mentir que j'aurai aimé que ça aille plus loin. Mais je suis contre la tromperie etc.. donc je lui est dit se qu'on avait fait, il n'était vraiment pas content. 

Mon désir pour le gars était de plus en plus présent, lorsque j'étais avec mon copain je pensais à la soirée qu'on avait faite. et 3 jour après j'ai décidé de rompre. Je n'avait aucune ampathie, car il pleurait comme pas possible, tremblais et et tout, et je ne ressentait rien. 

J'ai l'impression que ma première expérience avec la drogue, m'a ouvert les yeux sur certaine chose et m'a permis de prendre une décision dans un certain sens, que je ne me sentais pas capable de faire.

Je ne sais pas si je dois arrêté ou pas

Je ne suis pas certain qu'il y est vraiment un lien de cause a effet entre ta consomation et tes histoires de coeur, c est juste que ce sont deux evenements proches.  

Ce n est pas en 3 semaines que tu vas te detruire, mais par contre si continues tu vas y laisser ton argent, ta santé, tes relations et tes projets.

Je te conseilles de rechercher des temoignages de gens qui sont passés par la pour te rencarder, j'ai pu en lire un sur reddit US il y a quelques temps qui faisait froid dans le dos, mais malheuresement pas trop le temps de chercher la.

il y a 33 minutes, jujude a dit :

Bonjour,

Je m'appelle Juliette, j'ai 19 ans et j'ai testé il y a 3 semaines les drogues dures.

Je ne m'attendais absolument pas à faire une expérience de ce genre, qui n'est pas habituelle. Les drogues dures sont très mal vu, et effectivement, utilisé a mauvais hessien ce n'est pas le meilleur à faire.

La première drogue que j'ai testé a été la 3MMC. J'en ai pris 2 traces et je n'est absolument rien ressenti. La seconde fois, ç a été la MD, ou j'ai eu des hallucination ou je croyais voir un visage et en fait c'était des vêtement. Je transpirait abondamment, et avait super chaud. Je recherchais le contact avec les autres, j'avais la mâchoire serrer...

Depuis 3 semaine je vais en soirée et after techno. C'est vraiment incroyable comme ambiance, mais c'est connu pour trafiquer des drogues dures et en consommer pas mal. Je fais quand même attention a ne pas dépasser mes limites, car je ne souhaite pas qu'il m'arrive un trip ou autre problème comme crise cardiaque, perte de connaissance, black out..

 

mes proches ( 2 ou 3 amis, ma famille n'est pas au courant) m'ont quasiment obligé a arrêté car ça bousille le cerveau.

Je me suis séparé de mon copain il y a deux semaine. Ma première conso de drogue était la semaine d'avant. On se voyait vivre ensemble etc.. et à un moment donné j'ai ressenti de l'attirance et du désir pour un autre gars. Il est dans mon entreprise. On a passé une soirée a 2, et je ne vais pas mentir que j'aurai aimé que ça aille plus loin. Mais je suis contre la tromperie etc.. donc je lui est dit se qu'on avait fait, il n'était vraiment pas content. 

Mon désir pour le gars était de plus en plus présent, lorsque j'étais avec mon copain je pensais à la soirée qu'on avait faite. et 3 jour après j'ai décidé de rompre. Je n'avait aucune ampathie, car il pleurait comme pas possible, tremblais et et tout, et je ne ressentait rien. 

J'ai l'impression que ma première expérience avec la drogue, m'a ouvert les yeux sur certaine chose et m'a permis de prendre une décision dans un certain sens, que je ne me sentais pas capable de faire.

 

Je ne sais pas si je dois arrêté ou pas

Vaut mieux lire ça que d'être aveugle.

A 19 ans, tu te mets aux drogues dures, et tu demandes si tu dois arrêter ou pas?

Si tu veux bousiller ta santé et ta vie, continue, tu es sur la bonne voie!

Je peux vous suggérer ce site et peut être d'aller discuter sur le forum.

https://www.addictaide.fr

il y a une heure, jujude a dit :

Je fais quand même attention a ne pas dépasser mes limites,

Quelles limites?

Arrête de suite va, tant que c'est possible...

Il y a 1 heure, Sweet trouble a dit :

Je ne suis pas certain qu'il y est vraiment un lien de cause a effet entre ta consomation et tes histoires de coeur, c est juste que ce sont deux evenements proches.  

Certaines drogues rendent très "open" lors de leurs prises (ça inclue la cocaïne qui n'est pas spécialement classée dans les drogues de chemsex) où certains couchent avec tout le monde.
Donc ça peut avoir un lien.

il y a 7 minutes, Jim69 a dit :

Certaines drogues rendent très "open" lors de leurs prises (ça inclue la cocaïne qui n'est pas spécialement classé dans les chemsexs) où certains couchent avec tout le monde.
Donc ça peut avoir un lien.

Mais on le sais bien ca, sauf que les effets ne durent pas une semaine. 

à l’instant, Sweet trouble a dit :

Mais on le sais bien ca, sauf que les effets ne durent pas une semaine. 

Ah ben après t'être fait troncher un soir dans le fond de la cours, même si t'es plus sous les effets de la drogue, il se peut que tu te poses des questions sur ce que tu vis avec ton ou ta partenaire.
Mais bon tu peux aussi prendre l'option "je ne me rappelle pas, tout va bien". Mais tout le monde n'en est pas capable.

C’est toi qui vois...

AVANT / APRÈS

Plus que des écrits!!

@jujude je suis d'accord avec tout ce qui t'a été écrit au dessus. C'est bon, t'as essayé, maintenant stop ! On croit qu'on "connait ses limites" et un "beau" matin on se retrouve à poil dans un fossé, ou à l'hosto. Ou tout simplement on n'envisage plus une soirée sans ce genre de merdes pour s'amuser... Pas cool 

Il y a 5 heures, jujude a dit :

Je ne sais pas si je dois arrêté ou pas

D’après toi ?

Parce que tu peux imaginer une seule seconde que sur un forum ou ailleurs -hormis des consommateurs assidus ou des dealers- que l’on puisse t’encourager à te camer, nanmé sérieux ! 

Il y a 17 heures, jujude a dit :

Je ne sais pas si je dois arrêter ou pas

bonjour,

inutile de vous faire la morale ... la seule chose que j'ai à vous dire ( moi qui ai côtoyé des adeptes des drogues dures  ) c'est que se poser la question est déjà une réponse en soi .

bien sûr que vous devez arrêter cette saloperie ( c'est un terme bien faible pour qualifier ce que c'est ) ... ce n'est JAMAIS récréatif, cela ne résout RIEN et ça vous bousille en moins de temps qu'il faut pour le dire .

penser que vous pouvez contrôler votre consommation est une ineptie , il n'y a pas de limite que l'on connaisse et que l'on soit capable de ne pas dépasser ... c'est le caractère addictif qui prévaut et plus vous avancez, plus il faut aller au delà .

ce n'est pas une question de "morale" ( l'alcool et le tabac sont aussi des drogues ) mais une question de vie ...ou de mort , de respect de soi ou de déchéance ( et croyez moi sur parole, j'en ai vu des "épaves" ) .

quelles que soit les "bonnes" raisons ( que vous croyez ) ... la drogue ce n'est QUE mauvaise raison .

vous aurez sans doute du mal à vous en défaire aussi , il existe des professionnels qui savent que faire et comment le faire , n'hésitez donc pas à y avoir recours .

0 800 23 13 13 ... accueil sans jugement et conseils ( il y aussi quelques associations qui officient dans ce créneau ) .

bon courage .

Bonjour, déjà ne culpabilise pas la pire drogue dure est légale : l’alcool.

Cependant, il faut que tu te fasse aider : aller voir un.e psychologue pour en parler ET un.e psychiatre pour te sevrer. Si dès la 1ere séance , tu sens qu’ils ne te conviennent pas, n’hésite pas à en changer.

Bonne journée à toi ! 

Il y a 14 heures, Elisa* a dit :

D’après toi ?

Parce que tu peux imaginer une seule seconde que sur un forum ou ailleurs -hormis des consommateurs assidus ou des dealers- que l’on puisse t’encourager à te camer, nanmé sérieux ! 

Surtout que : 

Faire la promotion de la drogue, que ce soit de son usage ou de son trafic, est punissable de 5 ans de prison et 75 000 € d’amende (article L3421-4 du code de la santé publique). Cette infraction se décline en deux types d’actes distincts.

La provocation à l’usage ou au trafic

La loi punit les personnes qui cherchent à inciter d’autres personnes à utiliser des stupéfiants ou à en faire le trafic. Cette provocation est sanctionnée, y compris si elle n’a pas eu l’effet escompté (les personnes visées n’ont pas répondu favorablement) ou si elle portait sur des produits qui ne sont pas des stupéfiants mais qui ont été présentés comme ayant le même type d’effets.

La présentation sous un jour favorable

Par ailleurs, il est interdit de présenter sous un jour favorable l’usage ou le trafic de stupéfiants. Cela concerne aussi bien les articles de presse que les discours ou les représentations (images) idéalisées de la drogue. Cette incrimination peut faire obstacle à la liberté d’expression. Les intentions de l’auteur, la forme et le contexte de ces infractions départageront les situations où la justice considère que l’infraction est constituée de celles où elle ne l’est pas. Par exemple, les œuvres relevant de la création artistique ne relèvent généralement pas de cette incrimination.