La religion, outil suprême d’aliénation : Karl Marx avait-il raison ?

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

> "La misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre cette misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Elle est l’opium du peuple."



Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?


---

1. La religion : une illusion nécessaire à l’exploitation

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort, elle impose aussi la soumission à l’autorité terrestre. Toutes les grandes institutions religieuses ont historiquement soutenu les régimes despotiques, les inégalités sociales et la résignation des peuples :

Le christianisme a sanctifié les monarchies, condamné les révolutions, et continue aujourd’hui à freiner les avancées progressistes (avortement, droits des femmes, homosexualité).

L’islam a justifié pendant des siècles des structures autoritaires et patriarcales, où l’individu n’a de valeur que par sa soumission à une loi divine imposée.

Le judaïsme, l’hindouisme et les autres religions ont tous, à leur manière, contribué à entretenir des systèmes de castes, de privilèges et d’oppression.


Aucun système religieux n’a jamais permis une véritable égalité : il n’y a que des illusions de justice divine pour maintenir l’ordre social existant.


---

2. La religion, instrument de domestication des masses

Si Marx voyait la religion comme un opium, c’est parce qu’elle sert à endormir la révolte. Elle détourne l’attention des vrais problèmes en proposant des explications mystiques aux souffrances bien réelles de l’homme. Au lieu de voir leur misère comme le résultat d’un système économique injuste, les croyants sont encouragés à penser qu’elle fait partie d’un "plan divin".

Les religions prêchent toutes la soumission :

Soumission à un dieu invisible, dont les "volontés" sont toujours interprétées par une caste dominante.

Soumission aux lois divines, qui ne sont en réalité que des lois humaines maquillées en commandements sacrés.

Soumission à l’idée qu’il faut souffrir sur Terre pour être récompensé après la mort.


Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."



La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.


---

3. La fin de la religion : condition de la véritable liberté

Le marxisme ne se contente pas de critiquer la religion, il pose la nécessité de son dépassement. Pour qu’un individu soit pleinement libre, il doit se libérer des chaînes mentales imposées par la foi. Tant que l’homme croit qu’un "dieu" guide son destin, il ne pourra jamais s’émanciper et prendre le contrôle de sa propre vie.

L’histoire a montré que la sécularisation des sociétés allait de pair avec le progrès humain. Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire. Là où la religion domine encore, on observe oppression, superstition et stagnation sociale.

L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire. L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions. Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous.


---

4. Questions pour le débat :

1. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?


2. Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?


3. La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?


4. Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

il y a 8 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

bof , y a pas que la religion comme instrument de domination sociale  ; la politique et toute sa cohorte idéologique c'est pas mal non plus , ils en tiennent une sacré couche eux aussi 

il y a 12 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?

ouai bref LA RELIGION serait une sorte de pare feux quoi , une sorte de "sifflet" installé sur la cocote minute qui fait pshhhhhhhhhhhhhhht quand y a trop de pression , une pression exercer par les pouvoirs politiques et économique , les réligions étant à la solde de ce pouvoir , on connait parfaitement la cohusion entre le pouvoir religieux et les pouvoirs politique ...depuis toujours d'ailleurs , c'est pas nouveau . 

il y a 19 minutes, Kyoshiro02 a dit :

? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?

non . chasse le naturel il reviendra au galop , c'est instinctif chez l'être humain , aussitôt tu aura dissout une religion HOP une autre se faufilera et profitera du vide pour retrouver son terrain favori à svaoir l'absolution des pêchés ......... regarde c'est un peu le cas avec l'écologisme ..... on en a pas fini avec nos antiques religions dépassés que dèja une autre pointe son nez et veut absolument nous absoudre de nos "pêchés" de pollution , ils ont même trouvés un DIEU et des apôtres ....... gaia et compagnie .  NON crois moi , ça ne sert à rien dé'liminer les religions , chasse le naturel de l'homme il reveint au galop ......karl Marx machin truc a loupé un épisode ....il est mort trot tôt ce couillon .

il y a 27 minutes, Kyoshiro02 a dit :

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort,

elon musk LUI nous promet l'immortalité ..... je ne sais pas si on va y gagné au change ..... 

il y a 28 minutes, Kyoshiro02 a dit :

La religion, instrument de domestication des masses

la politique aussi . 

il y a 29 minutes, Kyoshiro02 a dit :

"Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."

logique , si non ça servirait à quoi de dominer ?

il y a 30 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."



La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.

OUAI en attendant c'est chez eux qu'est apparu tonton adolph , les chiens font pas des chats , et à force de se bourrer le moux d'idéologie on acouche du nazisme .

il y a 34 minutes, Kyoshiro02 a dit :

La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.

Le nazisme n'a pas ete mauvais non plus ...... enfin en tant qu'outil machin truc pour maintenir une domination . c'est juste la date de préemption qui change , l'un est de courte durée , l'autre un peu plus long . 

il y a 37 minutes, Kyoshiro02 a dit :

La fin de la religion : condition de la véritable liberté

QU'est ce que la VRAI liberté ? jme demande .

il y a 38 minutes, Kyoshiro02 a dit :

. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?

Parce que le berger sait reconnaitre ses moutons , le pouvoir sont des chiens .

Jean 10:14 / "Je suis le bon berger , je connais mes brebis" 

il y a 42 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?

Le monde ne sera jamais sans religion , c'est juste qu'elles changeront de gueule et de soutane c tout .

il y a 44 minutes, Kyoshiro02 a dit :

La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?

ELLE nous relie  , parce que religion = relier .

il y a 45 minutes, Kyoshiro02 a dit :

Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

En changeant de religion , genre religion new age ...... comme par exemple le scientisme ou autres "isme" avec effet ostentatoire et une pérdominance à l'obsession de vouloir prophétiser et parfaire la monde ..

mais le meilleur moyen reste d'en inventer des nouvelles , tout un art .

il y a une heure, Kyoshiro02 a dit :

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

> "La misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre cette misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Elle est l’opium du peuple."



Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?


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1. La religion : une illusion nécessaire à l’exploitation

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort, elle impose aussi la soumission à l’autorité terrestre. Toutes les grandes institutions religieuses ont historiquement soutenu les régimes despotiques, les inégalités sociales et la résignation des peuples :

Le christianisme a sanctifié les monarchies, condamné les révolutions, et continue aujourd’hui à freiner les avancées progressistes (avortement, droits des femmes, homosexualité).

L’islam a justifié pendant des siècles des structures autoritaires et patriarcales, où l’individu n’a de valeur que par sa soumission à une loi divine imposée.

Le judaïsme, l’hindouisme et les autres religions ont tous, à leur manière, contribué à entretenir des systèmes de castes, de privilèges et d’oppression.


Aucun système religieux n’a jamais permis une véritable égalité : il n’y a que des illusions de justice divine pour maintenir l’ordre social existant.


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2. La religion, instrument de domestication des masses

Si Marx voyait la religion comme un opium, c’est parce qu’elle sert à endormir la révolte. Elle détourne l’attention des vrais problèmes en proposant des explications mystiques aux souffrances bien réelles de l’homme. Au lieu de voir leur misère comme le résultat d’un système économique injuste, les croyants sont encouragés à penser qu’elle fait partie d’un "plan divin".

Les religions prêchent toutes la soumission :

Soumission à un dieu invisible, dont les "volontés" sont toujours interprétées par une caste dominante.

Soumission aux lois divines, qui ne sont en réalité que des lois humaines maquillées en commandements sacrés.

Soumission à l’idée qu’il faut souffrir sur Terre pour être récompensé après la mort.


Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."



La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.


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3. La fin de la religion : condition de la véritable liberté

Le marxisme ne se contente pas de critiquer la religion, il pose la nécessité de son dépassement. Pour qu’un individu soit pleinement libre, il doit se libérer des chaînes mentales imposées par la foi. Tant que l’homme croit qu’un "dieu" guide son destin, il ne pourra jamais s’émanciper et prendre le contrôle de sa propre vie.

L’histoire a montré que la sécularisation des sociétés allait de pair avec le progrès humain. Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire. Là où la religion domine encore, on observe oppression, superstition et stagnation sociale.

L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire. L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions. Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous.


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4. Questions pour le débat :

1. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?


2. Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?


3. La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?


4. Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

Et le paradoxe c'est que Marx, si sévère envers les religions, en a lui-même inventé une... pas meilleure que les autres. OK, c'est pas une "vraie" religion, mais n'empêche que ça y ressemble fortement. Lutter contre les religions, c'est un peu comme se battre contre les moulins à vent : c'est largement une perte de temps. Mais il est bon de s'en tenir à distance.

Je remets ici ce que j'avais déjà écrit sur un fil du même genre :

Citation

Chez Marx, la Religion est la conscience erronée du monde. Il faut bien comprendre que cette conscience erronée n'est pas réductible aux théismes. Le capitalisme produit une conscience erronée du monde, le fétichisme de la marchandise et l'humanisme abstrait.

Il faut aussi comprendre que ce n'est pas à la Religion que Marx s'attaque, les disciples de Hegel font ça très bien sans lui. Marx est un matérialiste. Ce qui l'intéresse n'est pas l'effet mais la cause qui l'a produite, raison pour laquelle la lutte contre la religion est donc par ricochet la lutte contre ce monde, dont la religion est l’arôme spirituel.

L'Utopie (dans le sens qu'en donne Ernst Bloch) à laquelle Marx appelle est l'achèvement de la Religion naturelle, par la transformation du monde et la Révolution. C'est une forme de théologie de la libération, qu'il faudrait renommer ici anthropologie de la libération.

Il y a 4 heures, Gouderien a dit :

Et le paradoxe c'est que Marx, si sévère envers les religions, en a lui-même inventé une... pas meilleure que les autres. OK, c'est pas une "vraie" religion, mais n'empêche que ça y ressemble fortement.

Tout à fait, Marx est par ses écrits à l’origine d’une bible de l’égalité, prétendument sociale entre les hommes et Staline le grand ordonnateur de cette croyance, fut le plus grand assassin existant de tous les temps.

Alexandre Soljenitsyne, ce russe victime des geôles  de Staline constatant…

"…Nous avions placé trop d’espoirs dans les transformations politico-sociales, et il se révèle qu’on nous enlève ce que nous avons de plus précieux : notre vie intérieure.

A l’Est c’est la foire du parti qui la foule au pied, à l’Ouest la foire du commerce : ce qui est effrayant, ce n’est même pas le fait du monde éclaté, c’est que les principaux morceaux en soient atteints d’une maladie analogue.
Extrait du discours de Soljenitsyne en 1978 s’adressant aux étudiants de l’université d’Harvard"
 

Il y a 6 heures, Kyoshiro02 a dit :

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

> "La misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre cette misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Elle est l’opium du peuple."



Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?


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1. La religion : une illusion nécessaire à l’exploitation

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort, elle impose aussi la soumission à l’autorité terrestre. Toutes les grandes institutions religieuses ont historiquement soutenu les régimes despotiques, les inégalités sociales et la résignation des peuples :

Le christianisme a sanctifié les monarchies, condamné les révolutions, et continue aujourd’hui à freiner les avancées progressistes (avortement, droits des femmes, homosexualité).

L’islam a justifié pendant des siècles des structures autoritaires et patriarcales, où l’individu n’a de valeur que par sa soumission à une loi divine imposée.

Le judaïsme, l’hindouisme et les autres religions ont tous, à leur manière, contribué à entretenir des systèmes de castes, de privilèges et d’oppression.


Aucun système religieux n’a jamais permis une véritable égalité : il n’y a que des illusions de justice divine pour maintenir l’ordre social existant.


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2. La religion, instrument de domestication des masses

Si Marx voyait la religion comme un opium, c’est parce qu’elle sert à endormir la révolte. Elle détourne l’attention des vrais problèmes en proposant des explications mystiques aux souffrances bien réelles de l’homme. Au lieu de voir leur misère comme le résultat d’un système économique injuste, les croyants sont encouragés à penser qu’elle fait partie d’un "plan divin".

Les religions prêchent toutes la soumission :

Soumission à un dieu invisible, dont les "volontés" sont toujours interprétées par une caste dominante.

Soumission aux lois divines, qui ne sont en réalité que des lois humaines maquillées en commandements sacrés.

Soumission à l’idée qu’il faut souffrir sur Terre pour être récompensé après la mort.


Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."



La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.


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3. La fin de la religion : condition de la véritable liberté

Le marxisme ne se contente pas de critiquer la religion, il pose la nécessité de son dépassement. Pour qu’un individu soit pleinement libre, il doit se libérer des chaînes mentales imposées par la foi. Tant que l’homme croit qu’un "dieu" guide son destin, il ne pourra jamais s’émanciper et prendre le contrôle de sa propre vie.

L’histoire a montré que la sécularisation des sociétés allait de pair avec le progrès humain. Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire. Là où la religion domine encore, on observe oppression, superstition et stagnation sociale.

L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire. L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions. Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous.


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4. Questions pour le débat :

1. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?


2. Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?


3. La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?


4. Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

Sur ca il avait raison. 

"La religion" (mais il en existe plusieurs), ou la religiosité, n'est pas qu'un phénomène social, culturel, elle peut aussi représenter un phénomène individuel, avec des croyances propres à soi, issues de sa propre réflexion, de sa propre vision du monde. Interdire aux gens d'avoir leurs propres convictions par ceux qui ne les partageraient pas (sans même les connaître vraiment parfois, d'autant qu'elles sont extrêmement diversifiées), imposer un athéisme radical (ou une irréligiosité radicale), est aussi tyrannique et liberticide qu'imposer une religiosité déraisonnable. L'apologie d'une forme de pensée unique.

De mon point de vue, la religion est un système donc oui comme tous les systèmes, il peut devenir ou être un outil d'aliénation, comme la politique citée plus haut, les réseaux sociaux aussi. Bref tous les systèmes.

Mais la religion utilise un domaine bien particulier celui des croyances, de la spiritualité. Est ce qu'on peut faire disparaitre la religion sans faire disparaitre la spiritualité ? Est ce qu'un monde sans spiritualité serait vivable ? Je pense que non.

Il y a 9 heures, Gouderien a dit :

Et le paradoxe c'est que Marx, si sévère envers les religions, en a lui-même inventé une... pas meilleure que les autres. OK, c'est pas une "vraie" religion, mais n'empêche que ça y ressemble fortement. Lutter contre les religions, c'est un peu comme se battre contre les moulins à vent : c'est largement une perte de temps. Mais il est bon de s'en tenir à distance.

C'est ce que j'ai toujours pensé, le marxisme est aussi l'opium du peuple!

il y a 38 minutes, Atipique a dit :

C'est ce que j'ai toujours pensé, le marxisme est aussi l'opium du peuple!

toute les doctrines de quelques nature qu'ils soient , politique religieux philosophique ou scientiste sont un opium du peuple ; c'est juste qu'il faut  les consommer avec modération et porter un regard critique sur toute les choses dogmatisantes . 

La religion c’est depassé, l’outil suprême d’aliénation c’est peut-etre l’écologie aujourd’hui, avec des travers similaires à la religion (le dénuement c’est bien…)

Il y a 11 heures, Kyoshiro02 a dit :

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

> "La misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre cette misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Elle est l’opium du peuple."
Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?
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1. La religion : une illusion nécessaire à l’exploitation

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort, elle impose aussi la soumission à l’autorité terrestre. Toutes les grandes institutions religieuses ont historiquement soutenu les régimes despotiques, les inégalités sociales et la résignation des peuples :

Le christianisme a sanctifié les monarchies, condamné les révolutions, et continue aujourd’hui à freiner les avancées progressistes (avortement, droits des femmes, homosexualité).

L’islam a justifié pendant des siècles des structures autoritaires et patriarcales, où l’individu n’a de valeur que par sa soumission à une loi divine imposée.

Le judaïsme, l’hindouisme et les autres religions ont tous, à leur manière, contribué à entretenir des systèmes de castes, de privilèges et d’oppression.
Aucun système religieux n’a jamais permis une véritable égalité : il n’y a que des illusions de justice divine pour maintenir l’ordre social existant.
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2. La religion, instrument de domestication des masses

Si Marx voyait la religion comme un opium, c’est parce qu’elle sert à endormir la révolte. Elle détourne l’attention des vrais problèmes en proposant des explications mystiques aux souffrances bien réelles de l’homme. Au lieu de voir leur misère comme le résultat d’un système économique injuste, les croyants sont encouragés à penser qu’elle fait partie d’un "plan divin".

Les religions prêchent toutes la soumission :

Soumission à un dieu invisible, dont les "volontés" sont toujours interprétées par une caste dominante.

Soumission aux lois divines, qui ne sont en réalité que des lois humaines maquillées en commandements sacrés.
Soumission à l’idée qu’il faut souffrir sur Terre pour être récompensé après la mort.
Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."
La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.
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3. La fin de la religion : condition de la véritable liberté

Le marxisme ne se contente pas de critiquer la religion, il pose la nécessité de son dépassement. Pour qu’un individu soit pleinement libre, il doit se libérer des chaînes mentales imposées par la foi. Tant que l’homme croit qu’un "dieu" guide son destin, il ne pourra jamais s’émanciper et prendre le contrôle de sa propre vie.

L’histoire a montré que la sécularisation des sociétés allait de pair avec le progrès humain. Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire. Là où la religion domine encore, on observe oppression, superstition et stagnation sociale.

L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire. L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions. Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous.
....
4. Questions pour le débat :

1. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?
2. Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?
3. La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?
4. Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

Marx n'est pas une référence de la condition humaine.

La religion est ce qu'on en fait.

''Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire." Le cas de la France?

''Là où la religion domine , on observe oppression, superstition et stagnation sociale'' N'est ce pas plutôt le pouvoir donné aux hommes supposés de religion, n'est ce pas le pouvoir donné à ceux qui ''expliquent'' la religion suivant la politique ou encore d'idéologies tronquées suivant les besoins du maintien du pouvoir pour mieux gouverner 

''L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire" Pourquoi éliminer ? Chacun étant libre d'envisager le monde tel qu'il le souhaite: l'important étant de connaitre les limites de la liberté des autres...

''L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions'' Quelle religion interdit l'éducation, la science...? Oui, la logique doit remplacer l'obscurantisme , les cases, l'aliénation, les dogmes...rien n'est figé comme l'humain, la connaissance de ce que cachent l'essence des religions  est quelque chose d'interessant, par contre...

''Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous'' J'en doute, de par mon expérience humaine . Affranchir ? ça veut dire quoi ''éliminer?'' ''jeter''? ....

1.Le pouvoir l'a utilisé et continu , comme tellement d'appâts.

2.Un monde sans religion : l'illusion, l'Homme inventerait une ''divinité'' à servir. Et je doute que cela le rende meilleur.

3.C'est à l'homme d'évoluer , non pas à la religion. 

4. ''Combattre'' : est ce le mot juste ? ,l'humain a besoin d'apprendre à ''être'' à ''vivre'' , à ''exister'' sans ce concept irrationnel que ''l'autre'' est ''l'obstacle''.

La spiritualité aide à comprendre, se connaitre, définir les limites existentielles ...une longue histoire individuelle qui indiquerait (...) la connexion à l'histoire universelle  (mais...^^)

Le socialisme & le communisme   sont tout aussi dangereux , voire plus !!        

Il y a 14 heures, Kyoshiro02 a dit :

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

> "La misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre cette misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Elle est l’opium du peuple."



Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?


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1. La religion : une illusion nécessaire à l’exploitation

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort, elle impose aussi la soumission à l’autorité terrestre. Toutes les grandes institutions religieuses ont historiquement soutenu les régimes despotiques, les inégalités sociales et la résignation des peuples :

Le christianisme a sanctifié les monarchies, condamné les révolutions, et continue aujourd’hui à freiner les avancées progressistes (avortement, droits des femmes, homosexualité).

L’islam a justifié pendant des siècles des structures autoritaires et patriarcales, où l’individu n’a de valeur que par sa soumission à une loi divine imposée.

Le judaïsme, l’hindouisme et les autres religions ont tous, à leur manière, contribué à entretenir des systèmes de castes, de privilèges et d’oppression.


Aucun système religieux n’a jamais permis une véritable égalité : il n’y a que des illusions de justice divine pour maintenir l’ordre social existant.


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2. La religion, instrument de domestication des masses

Si Marx voyait la religion comme un opium, c’est parce qu’elle sert à endormir la révolte. Elle détourne l’attention des vrais problèmes en proposant des explications mystiques aux souffrances bien réelles de l’homme. Au lieu de voir leur misère comme le résultat d’un système économique injuste, les croyants sont encouragés à penser qu’elle fait partie d’un "plan divin".

Les religions prêchent toutes la soumission :

Soumission à un dieu invisible, dont les "volontés" sont toujours interprétées par une caste dominante.

Soumission aux lois divines, qui ne sont en réalité que des lois humaines maquillées en commandements sacrés.

Soumission à l’idée qu’il faut souffrir sur Terre pour être récompensé après la mort.


Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."



La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.


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3. La fin de la religion : condition de la véritable liberté

Le marxisme ne se contente pas de critiquer la religion, il pose la nécessité de son dépassement. Pour qu’un individu soit pleinement libre, il doit se libérer des chaînes mentales imposées par la foi. Tant que l’homme croit qu’un "dieu" guide son destin, il ne pourra jamais s’émanciper et prendre le contrôle de sa propre vie.

L’histoire a montré que la sécularisation des sociétés allait de pair avec le progrès humain. Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire. Là où la religion domine encore, on observe oppression, superstition et stagnation sociale.

L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire. L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions. Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous.


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4. Questions pour le débat :

1. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?


2. Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?


3. La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?


4. Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

Déjà vous avez de la chance vous vivez dans un pays laïc ... le Président n'est pas adoubé comme les rois par le Pape !

Qu'on ai quelques ministres et édiles qui sont imprégnés de religion et enquiquinent les concitoyens et surtout concitoyennes on est au moins assurés qu'ils décampent au bout de 5 ans environ en moyenne et non en place a vie comme sous la Royauté .... Après à nous de voter pour le bon cheval !

Que Dieu( ) nous préserve d'une dictature c'est tout  ce que je souhaite aux français .....

Il y a 16 heures, Kyoshiro02 a dit :

Karl Marx n’a pas simplement critiqué la religion, il l’a dénoncée comme un instrument de domination sociale et un obstacle majeur à l’émancipation humaine. Il écrivait :

> "La misère religieuse est à la fois l’expression de la misère réelle et la protestation contre cette misère réelle. La religion est le soupir de la créature opprimée, l’âme d’un monde sans cœur, de même qu’elle est l’esprit d’une époque sans esprit. Elle est l’opium du peuple."



Autrement dit, la religion est un mensonge socialement entretenu pour maintenir les masses sous contrôle, les empêchant de voir la véritable source de leur exploitation : le système économique et politique qui les écrase. Aujourd’hui encore, la religion continue de jouer ce rôle de pacificateur illusoire. Marx avait-il raison ? La religion est-elle l’ennemi à abattre pour libérer définitivement l’humanité ?


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1. La religion : une illusion nécessaire à l’exploitation

La religion ne se contente pas de promettre un paradis après la mort, elle impose aussi la soumission à l’autorité terrestre. Toutes les grandes institutions religieuses ont historiquement soutenu les régimes despotiques, les inégalités sociales et la résignation des peuples :

Le christianisme a sanctifié les monarchies, condamné les révolutions, et continue aujourd’hui à freiner les avancées progressistes (avortement, droits des femmes, homosexualité).

L’islam a justifié pendant des siècles des structures autoritaires et patriarcales, où l’individu n’a de valeur que par sa soumission à une loi divine imposée.

Le judaïsme, l’hindouisme et les autres religions ont tous, à leur manière, contribué à entretenir des systèmes de castes, de privilèges et d’oppression.


Aucun système religieux n’a jamais permis une véritable égalité : il n’y a que des illusions de justice divine pour maintenir l’ordre social existant.


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2. La religion, instrument de domestication des masses

Si Marx voyait la religion comme un opium, c’est parce qu’elle sert à endormir la révolte. Elle détourne l’attention des vrais problèmes en proposant des explications mystiques aux souffrances bien réelles de l’homme. Au lieu de voir leur misère comme le résultat d’un système économique injuste, les croyants sont encouragés à penser qu’elle fait partie d’un "plan divin".

Les religions prêchent toutes la soumission :

Soumission à un dieu invisible, dont les "volontés" sont toujours interprétées par une caste dominante.

Soumission aux lois divines, qui ne sont en réalité que des lois humaines maquillées en commandements sacrés.

Soumission à l’idée qu’il faut souffrir sur Terre pour être récompensé après la mort.


Marx et Engels écrivaient dans L’Idéologie allemande :

> "Les idées dominantes d’une époque n’ont jamais été que les idées de la classe dominante."



La religion est l’un des outils les plus efficaces pour maintenir cette domination.


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3. La fin de la religion : condition de la véritable liberté

Le marxisme ne se contente pas de critiquer la religion, il pose la nécessité de son dépassement. Pour qu’un individu soit pleinement libre, il doit se libérer des chaînes mentales imposées par la foi. Tant que l’homme croit qu’un "dieu" guide son destin, il ne pourra jamais s’émanciper et prendre le contrôle de sa propre vie.

L’histoire a montré que la sécularisation des sociétés allait de pair avec le progrès humain. Plus un pays est laïque, plus il est démocratique et égalitaire. Là où la religion domine encore, on observe oppression, superstition et stagnation sociale.

L’élimination de la religion ne doit donc pas être un simple souhait, mais un objectif actif de toute politique révolutionnaire. L’éducation, la science et la raison doivent remplacer les dogmes et les illusions. Seule une société affranchie de la foi peut enfin construire un avenir juste et équitable pour tous.


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4. Questions pour le débat :

1. Si la religion n’est pas un instrument d’aliénation, pourquoi a-t-elle toujours été du côté du pouvoir ?


2. Un monde sans religion ne serait-il pas plus rationnel et plus juste ?


3. La religion peut-elle réellement évoluer pour devenir autre chose qu’un outil de domination ?


4. Comment combattre efficacement l’influence religieuse dans la société moderne ?

La religion est tout dabord un message de sagesse..On évite les actes criminels!!

Religion, message de sagesse.... Le hamas a du loupé quelques sourates. Lui et pas mal d'autres cinglés.

Il y a 1 heure, Ptitissus a dit :

La religion est tout dabord un message de sagesse..On évite les actes criminels!!

En tout cas est censée être un message de sagesse, de bienveillance et d'amour. Hélas, nombreux en détournent le message pour commettre maintes abominations...

On va quand-même pas se mettre à dos le Boss suprême supervisant universellement le secteur de la distribution des opiacés,  au seul nom de vos conneries philosophico-idéologiques d'essence communisto-bolchevique, ainsi au simple titre de notre volonté de continuer à éternellement s'approvisionner auprès de lui dans l'au-delà, sinon cela nous amènerait dans une situation qui serait la parfaite définition de l'Enfer même ...

Il y a 18 heures, Gouderien a dit :

Et le paradoxe c'est que Marx, si sévère envers les religions, en a lui-même inventé une... pas meilleure que les autres. OK, c'est pas une "vraie" religion, mais n'empêche que ça y ressemble fortement. Lutter contre les religions, c'est un peu comme se battre contre les moulins à vent : c'est largement une perte de temps. Mais il est bon de s'en tenir à distance.

Oh si si...pour les soviétiques à la "belle époque",  début des années 80 ( enfin pour certains)  c'était une religion.  Surtout pour les membres du komsomol, particulièrement  bien endoctrinés ;

j'en ai connus qui allaient défiler et se recueillir devant le cercueil de Lenine dans le mausolée de la place rouge...le terme utilisé était "проверить себя", qu'on peut traduire dans ce contexte par "faire son examen de conscience"...

Il y a 1 heure, chanou 34 a dit :

Oh si si...pour les soviétiques à la "belle époque",  début des années 80 ( enfin pour certains)  c'était une religion.  Surtout pour les membres du komsomol, particulièrement  bien endoctrinés ;

j'en ai connus qui allaient défiler et se recueillir devant le cercueil de Lenine dans le mausolée de la place rouge...le terme utilisé était "проверить себя", qu'on peut traduire dans ce contexte par "faire son examen de conscience"...

Ils se confessaient d'ailleurs en public, ou plutôt en petit comité; c'est du moins ce que j'ai vu dans un film de Eisenstein, et lu dans pas mal de bouquins.