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Le néo-féminisme est un féminisme qui accuse le genre masculin tout entier.
Invité a posté un sujet dans Société
Depuis le temps que je dis que le nouveau féminisme est anti-homme... Une preuve de plus.. Pour l'essayiste Pacal Bruckner, "le grand féminisme, celui dans lequel j’ai été élevé, celui d’Élisabeth Badinter, de Françoise Giroud, de Simone de Beauvoir, était un féminisme de réconciliation : il demandait aux hommes de s’arracher à une virilité toxique, aux femmes de s’arracher à la soumission, et ensemble de créer un monde nouveau et de partager des valeurs communes. Le néo-féminisme est un féminisme qui accuse le genre masculin tout entier. On dresse face à face le sexe féminin contre le sexe masculin, et on dit aux femmes : cessez de fréquenter les hommes, cessez de les approcher, car ils sont méchants par nature, et à moins de les rééduquer il n’y a rien à attendre d’eux." "Est-ce que les excès favorisent le progrès de la cause ?" Pour autant, pense-t-il qu’on peut faire une révolution, comme celle des femmes, sans "casser des œufs" ? En demandant les choses poliment, les femmes les obtiennent-elles plus ? Le philosophe répond par une autre question : "Est-ce que les excès favorisent le progrès de la cause ? Je ne le pense pas. Et d’ailleurs je ne suis pas le seul à le dire, d’innombrables féministes s’insurgent contre ces dérives. Car ce n’est pas la justice qui gagne comme ça, c’est le lynchage. On désigne un homme, souvent impuissant, et on dit : il ne mérite plus de vivre ou d’apparaître sur la place publique, même quand cet homme n’est pas légalement poursuivi par la justice. C’est une dérive très dangereuse, y compris pour le mouvement féministe lui-même." https://www.franceinter.fr/emissions/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien/l-invite-de-8h20-le-grand-entretien-22-octobre-2020 Qu'en pensez-vous ? -
Je viens d'écouter le remake de femme des années 80 de Sardou .A l'entendre tout ce que les femmes des "années 80 ont voulu ,maintenant ,elles l'ont" .Qu"en pensez-vous :quels sont les combats féministes actuels ?Ne pensez vous pas qu'on s'endort sur nos lauriers ?
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Suède : un festival de musique sans hommes confirmé à l'été 2018
Invité a posté un sujet dans Société
Suède : un festival de musique sans hommes confirmé à l'été 2018 Par AFP agence Le figaro.fr Publié le 20/11/2017 à 10:10 Un moyen de lutter efficacement contre les agressions sexuelles et viols dans les manifestations musicales ? Statement, qui se tiendra du 31 août au 1er septembre 2018 à Göteborg, sera réservé exclusivement «aux femmes, aux personnes transsexuelles et non-binaires». Comment lutter contre les agressions sexuelles et viols qui, hélas, ont lieu régulièrement lors des grands rendez-vous musicaux que sont les festivals? Emma Knyckare, une humoriste suédoise de 30 ans, lançait au début du mois de septembre sur Kickstarter, une demande de financement participatif pour la création d'un festival «sûr pour tout le monde», sans hommes. Cele faisait plusieurs mois que l'idée germait dans la tête de la jeune femme. Ce dimanche, après avoir récupéré sur Kickstarter près de 50.000 euros, elle a annoncé sur Instagram la tenue de ce «Statement festival» à la fin de l'été 2018, à Göteborg, dans l'ouest du Pays, le nouvel «archipel du cool» du pays Scandinave. Indignée par le nombre d'agressions sexuelles et de viols commis lors des festivals, l'idée de ce festival pas comme les autres lui est venue après l'annulation de l'édition 2018 du plus grand festival de musique de Suède, Bråvalla, à la suite d'une série de plaintes pour viols et agressions sexuelles déposées lors des précédentes éditions. En l'espace de deux jours, la police avait constaté pas moins de cinq viols et de quinze agressions sexuelles. Sans compter 30 à 40 plaintes diverses. «Un espace sûr pour les femmes» Le festival, intitulé «Statement» , a pour ambition de «créer un espace sûr pour les femmes, les personnes non-binaires et transsexuelles qui veulent participer à un festival et être en sécurité», est-il expliqué sur le site internet. «Ce qu'on fait, c'est proposer une zone franche où on peut aller, faire la fête, boire des bières sans avoir besoin de regarder derrière son épaule», a dit Emma Knyckare à la radio publique suédoise. Le site internet de l'événement a déjà anticipé les critiques vis-à-vis de cette initiative. «Sur le long terme, notre but est de fermer le Statement Festival, est-il expliqué dans la partie FAQ du site, Notre souhait est qu'un tel festival ne soit pas nécessaire. Malheureusement la société continue de prouver le contraire. Nous ne considérons cependant pas ce festival comme la solution à ces problèmes d'agressions sexuelles - c'est une réponse à cela». Reste un problème de taille. Puisque le festival sera ouvert aux hommes dont le genre ressenti n'est pas celui de leur naissance et aux transsexuels, un problème de distinction se fait jour. Comment déterminer en effet un homme «cisgenre» d'un autre, qui assume, lui, sa masculinité? «C'est quelque chose que nous n'avons pas encore décidé», est-il précisé. --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Comme la Suède est le pays où le féminisme et la séparation des sexes sont le plus en avance en Europe.... on peut se poser la question de ce qui attend les hommes dans les prochaines décennies dans nos sociétés... Progressivement écartés de la vie des femmes ?- 140 réponses
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La fameuse cérémonie des Golden Globes qui a vu se dérouler une pantalonnade assez ridicule témoigne des dérives actuelles du féminisme qu’en son temps, Élisabeth Badinter, dans son ouvrage Fausse route avait qualifié de « féminisme victimaire ». Il est devenu guerrier avec la guerre des sexes déclenchée par l’affaire Weinstein. Il vise à installer au premier plan un féminisme androphobe assumé et qui ne recule pas devant l’utilisation de la pensée magique. Le « patriarcat » est présenté comme une malédiction universelle, qui structure et organise toutes les sociétés humaines. L’heure n’est plus à la revendication d’une place égalitaire dans la société moderne, mais à une forme d’émancipation millénariste pour libérer non seulement les femmes mais, au-delà de l’espèce humaine, l’ensemble du règne vivant, de l’emprise du mâle humain. [...] Les femmes, nous disent ces extrémistes, sont victimes « depuis la nuit des temps » d’un véritable complot visant à les maintenir sous le joug. Et pour cela on utilise de plus en plus des arguments ou des théories complètement irrationnelles qui peuvent parfois se rattacher à l’obscurantisme le plus trivial. On en relèvera trois. Le patriarcat du steak Tout d’abord celle qui n’hésite pas à jeter par-dessus bord la théorie de l’évolution et à récupérer pour son compte celle de Trofim Lyssenko, le généticien de Staline. [...] Si les femmes sont plus petites que les hommes dans notre espèce, comme chez 90 % des mammifères, ce n’est pas dû aux mécanismes de l’évolution, mais au fait que « depuis la nuit des temps » les hommes se sont accaparé la bonne bouffe, ne laissant que des rogatons à leurs conjointes. Par conséquent, ainsi affamées les femmes deviennent toutes maigres et toutes petites, et mettent au monde des garçons costauds et des filles toutes malingres. Ce qui devrait être un triste canular a reçu l’approbation de l’université au travers d’une soutenance de thèse dont le jury était présidé par Françoise Héritier, récemment disparue, applaudissant ces calembredaines. On invitera à la lecture de quelques uns des délires et à l’une des réponses circonstanciées publiées par des scientifiques atterrés. L’écriture inclusive Il y a ensuite la fameuse écriture inclusive. Le principe en est simple, la langue française qui au contraire de beaucoup d’autres n’a pas de genre neutre, utilise alternativement le genre masculin ou le genre féminin pour l’exprimer. Et c’est ainsi qu’une sentinelle peut être un homme. Ah oui, mais non, vous dit-on, la langue française est affreusement patriarcale et sexiste puisque, lorsqu’on est en présence de plusieurs mots de genres différents, les accords s’effectuent sur le masculin. Mais cette convention de grammaire qui n’exprime qu’une commodité vous est présentée comme une agression atroce visant à l’infériorisation de la femme. On va alors essayer de vous imposer un graphisme grotesque, illisible et incompréhensible. Et en tout cas dont la lecture à voix haute est absolument impossible, alors que c’est quand même un des objectifs de l’écriture. Bon courage au.à le.la lecteur.rice confronté.e à cet exercice. [...] De Noam Chomsky à Steven Pinker, les spécialistes de la linguistique cognitive s’arrachent les cheveux, Claude Hagège, immense savant français, dit avec mesure et courtoisie ce qu’il faut en penser. L’amnésie traumatique ou le danger des faux souvenirs Il y a, enfin, le délire de la théorie de l’amnésie traumatique. Qui prétend que la survenance d’un traumatisme peut affecter la mémoire de l’événement qui ressurgira ainsi parfois des dizaines d’années plus tard. Un certain nombre d’études ont été menées grâce aux progrès considérables des sciences cognitives dotées aujourd’hui des outils comme l’IRM. Aucun scientifique ne peut prendre ces thèses au sérieux. Et ce d’autant plus que la question était particulièrement sensible aux États-Unis, qui ont connu il y a près de 30 ans maintenant ce que l’on a appelé « la guerre des souvenirs ». Un certain nombre de pratiques sectaires ont permis de populariser cette théorie en France, et à des gourous sans scrupule de gagner de l’argent. La pratique des souvenirs induits, qui consiste à convaincre que les problèmes que l’on rencontre dans sa vie sont dus à un traumatisme, en général un viol dont on ne se souvient pas, a provoqué un nombre très important de tragédies dans des familles. [...] https://www.causeur.fr/theories-feministes-absurdes-golden-globes-149031
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Hello tout le monde, Devant ce vent de révolte dirigé en arrière plan par des féministes qui n'hésitent pas à se servir du moindre fait-divers contre les hommes pour les casser... N'y a-t-il aucun équivalent masculin à ce mouvement pour les contrer ?
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Se positionnant à contre-courant du mouvement de dénonciations publiques des inconduites sexuelles et des gestes déplacés envers les femmes, le collectif, qui regroupe une centaine de comédiennes, d'écrivaines, de chercheuses ou de journalistes, affirme rejeter le « puritanisme » apparu dans la foulée des accusations de harcèlement et d'agression sexuelle portées par une quarantaine de femmes contre le producteur américain Harvey Weinstein. « Le viol est un crime. Mais la drague insistante ou maladroite n'est pas un délit ni la galanterie une agression machiste », écrivent les signataires de la lettre, parmi lesquelles on retrouve, outre Catherine Deneuve, l’auteure Catherine Millet, l’éditrice Joëlle Losfeld, l’actrice Ingrid Caven et la journaliste Élisabeth Lévy. « Délation et justice expéditive » Sans détour, les auteures de la lettre dénoncent les « campagnes de délations » et la « justice expéditive » qui ont découlé du mouvement de dénonciation apparu dans le monde à la suite des révélations, dans plusieurs pays, de femmes connues qui ont affirmé avoir été agressées sexuellement par des personnages publics, généralement en position de pouvoir. Selon le collectif, les mouvements de type #MoiAussi ou #BalanceTonPorc, en France, où des milliers de femmes ont dénoncé des agressions sexuelles présumées et des comportements qu’elles jugent déplacés en pointant des individus publiquement, ont engendré des dérives inquiétantes. « Comme un climat de société totalitaire » Dans leur texte intitulé « Nous défendons une liberté d’importuner, indispensable à la liberté sexuelle », les auteures déplorent que des hommes soient « sanctionnés dans l'exercice de leur métier, contraints à la démission, alors qu'ils n'ont eu pour seul tort que d'avoir touché un genou, tenté de voler un baiser, parlé de choses intimes lors d'un dîner professionnel ou d'avoir envoyé des messages à connotation sexuelle à une femme chez qui l'attirance n'était pas réciproque ». « En face, les hommes sont sommés de battre leur coulpe et de dénicher, au fin fond de leur conscience rétrospective, un "comportement déplacé" qu'ils auraient pu avoir voici dix, vingt ou trente ans, et dont ils devraient se repentir », peut-on lire dans la tribune publiée dans les pages du Monde. L'art censuré Selon ces femmes, la prise de conscience collective contre la violence sexuelle est légitime et devait être faite, mais, écrivent-elles, cet éveil s'est transformé en une forme de dogme qui évacue toute critique ou remise en question. « Cette libération de la parole se retourne aujourd'hui en son contraire : on nous intime de parler comme il faut, de taire ce qui fâche, et celles qui refusent de se plier à de telles injonctions sont regardées comme des traîtresses, des complices! », s'insurgent les 100 signataires. À ce chapitre, elles déplorent de nombreux cas récents de censure d'oeuvres d'art, de films, de livres et de peintures, sous prétexte que leurs auteurs auraient eu dans le passé des comportements jugés inacceptables. Elles dénoncent aussi le fait qu'elles soient désormais l'objet de pressions du milieu pour que leurs personnages féminins soient plus féministes, que les personnages masculins soient moins sexistes et de faire en sorte que les « traumatismes subis par les personnages féminins soient rendus plus évidents ». Citant le philosophe Ruwen Ogien, elles réclament le droit d'offenser, une liberté selon elles indispensable à la création artistique. Pas de liberté sexuelle sans « liberté d'importuner » Cet empressement à « envoyer les porcs à l’abattoir » ne sert pas la cause des femmes, selon les signataires de la lettre, car « loin d’aider les femmes à s’autonomiser [il] sert en réalité les intérêts des ennemis de la liberté sexuelle, des extrémistes religieux, des pires réactionnaires et de ceux qui estiment […] que les femmes sont des êtres à part, des enfants à visage d’adulte, réclamant d’être protégées », déplorent-elles. Selon elle, sans « liberté d'importuner », il ne peut y avoir de liberté sexuelle. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1076959/collectif-femmes-liberte-importuner-hommes-deneuve-porc-moiaussi
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A longueur d'années , de topics, de messages, les femmes et les féministes se plaignent des conditions de vie des femmes en France. Fort bien de critiquer et de relever ce qui ne va pas....... Par contre, peu ou pas de propositions pour une société différente, un autre modèle, car déconstruire ce qui est existant, rien de plus facile, mais il faut avoir l'honnêteté de proposer autre chose à la place. A quelques semaines des élections présidentielles, puis législatives, où sont les propositions féministes ? féminines ? quel autre société en France ? Quel projet politique portée par les femmes ? Une candidate ? Où sont les projets alternatifs ? lQuoi changer ? comment ? par qui ? On aimerait bien vous entendre sur votre vision d'une autre société, vu que l'actuelle défavorise les femmes à tous les niveaux...
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Julien Lepers : il dénonce son éviction de Questions pour un champion avec humour Public.frPublic23 décembre 2015Julien Lepers contre-attaque et dénonce son éviction de Questions pour un champion avec humour. La semaine dernière, Télé Star annonçait que France 3 avait décidé d’écarter Julien Lepers de la présentation de Questions pour un champion après 27 ans de bons et loyaux services. Selon le magazine télé, la direction de France 3 souhaiterait rajeunir et féminiser son antenne. Si pour l’heure rien n’a encore été officialisé par France 3, il semble inéluctable que Julien Lepers passe ses derniers instants à la tête du jeu de France 3. Le journaliste Renaud Revel (L'Express) croit même savoir que Julien Lepers s’est vu signifier la fin de son contrat au 20 février prochain . Une situation que Julien Lepers semble avoir accepté mais qui ne l’empêche pas d’ironiser. Sur Twitter, pour dénoncer une situation qu’il ne comprend pas, il a posté une photo de lui en femme (en NKM plus exactement, dont on a appris l’éviction du parti Les Républicains le même jour que celle de Julien Lepers de France . Féminisons !!! ... Bises Bon Noël à tous !!! Vous l’aurez compris, alors que France 3 explique le remplacement de son animateur emblématique par une baisse d’audience, Julien Lepers démontre qu’il n’y a pas de baisse d’audience. Qu’il est toujours l’homme de la situation. Mais plutôt que d’aller au clash, il préfère exprimer son mécontentement et son incompréhension par l’humour. ++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Encore une belle victoire des féministes, on évince un annimateur car....c'est un homme et qu'il faut, au nom de la parité et autres "principes" mettre les femmes en avant, quitte à supprimer des hommes! A qui le tour ? Champagne ? Qu'en pensez-vous ?
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Une simple question pour tester les limites de compréhension intellectuelle des forumeurs bien pensants. Je pense que par rapport à un simple voile, beaucoup ne réalisent pas l'ampleur de l'enjeu qui est simplement de savoir si l'islam et les musulmans pourront un jour devenir une religion comme les autres, et les musulmans des citoyens comme les autres. Je m'insurge contre le qualificatif de réactionnaire face à ceux qui dénoncent le voile islamique : la réalité lorsqu'on fait de la politique c'est le fait social, et le fait social commence par les moeurs, les habitudes culturelles, les traditions, les coutumes. Ceux qui dénoncent ces traditions, coutumes, et autres habitudes sont ceux qui sont dans la réaction, absolument pas les autres qui ne font qu'accepter un héritage culturel que leur ont laissé leurs aïeux.
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¿Aujourd'hui le mot féministe sonne comme une grossièreté¿ Juliette Demey et Sarah Lévy 26/08/10 à 11h15 Le 26 août 1970 marque l'acte fondateur de ce qui deviendra le Mouvement de libération des femmes. Quarante ans plus tard, les combats restent nombreux. Certains cheveux ont blanchi, mais la détermination n'a pas faibli. Pour célébrer les quarante ans du Mouvement de libération des femmes (MLF), des hommes et des femmes se rassembleront ce matin sur l'esplanade des Droits de l'homme, à Paris. Outre l'anniversaire, les manifestants réclament que l'endroit soit rebaptisé « place des Droits des femmes et des hommes ». Un clin d'¿il ? Pas seulement. Pour l'écrivain Cathy Bernheim, le rendez-vous a un goût spécial : il y a quarante ans, le 26 août 1970, elle était l'une des dix femmes qui brandissaient la banderole proclamant : « Un homme sur deux est une femme », sur les Champs-Elysées. Sous l'Arc de Triomphe, elles avaient déposé une gerbe « à la femme du soldat inconnu », avant d'être interpellées. Ce 26 août, « pour la première fois, la volonté politique des femmes de se faire entendre apparaît sur la place publique », explique Cathy Bernheim aujourd'hui. [ Lire la suite de l'Article.. ] Source: France Soir
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De mon point de vue, le féminisme attaque à tort le machisme, le considérant comme une oppression de la femme. L'oppression de la femme est de refuser d'envisager que la femme ait des aspirations et de refuser l'existence de sa volonté. Or le machisme n'est pas cela. Il consiste à considérer que la volonté de l'homme a la priorité sur le volonté de la femme. Dans une telle situation, la femme peut faire valoir ses aspirations auprès de l'homme, et avoir ses volontés. En mettant son homme en avant, la femme se place sous sa protection. C'est là qu'on peut faire un parallèle avec le politique : les citoyens se soumettent à l'état pour obtenir sa protection. Mais bien entendu l'état peut imposer une coercition à l'encontre de l'intérêt du peuple. Le même problème peut se poser avec le machisme : l'homme peut imposer trop de coercition, faisant valoir uniquement son intérêt. Si le machisme peut être utilisé pour dissimuler une oppression, il n'est pas l'oppression. Je ne crois pas qu'on puisse s'ingérer dans un couple basé sur le machisme, parce que une telle construction du couple est un choix, un arrangement le plus souvent inconscient passé entre l'homme et la femme. De la même façon, il existe des couples où la volonté de la femme est prioritaire. De la même façon, s'ingérer dans ces couples n'est pas légitime. Le féminisme pose comme idéal obligatoire une relation égalitaire entre l'homme et la femme. C'est aller à l'encontre du choix des amoureux, avec un paradoxe d'imposer autoritairement une relation démocratique entre l'homme et la femme. D'autre part, le féminisme se dit politique, mais propose de mettre des femmes politiques au pouvoir, c'est-à-dire en laissant la domination de l'état. Un féminisme cohérent serait favorable à l'anarchisme, ou en tout cas à une démocratisation des institutions, par la participation directe aux décisions, par référendum et par la révocation possible des élus etc. Enfin, le féminisme peut servir à dissimuler des ambitions de faire passer la volonté de la femme en premier, ce qui est bien sûr possible, mais devrait dépendre du choix des partenaires, pas d'une norme autoritaire. Il est légitime qu'il existe des couples machistes, des couples démocratiques, et des couples où la volonté de la femme est prioritaire. Le problème du féminisme est de juger immoral le premier type, dans une perspective anti-autoritaire polarisée et de ne pas être cohérent dans ses actions politiques avec le principe démocratique. Je pense même que c'est contre productif pour l'émancipation de la femme. Et vous, pensez-vous qu'on doivent forcer les couples à être démocratiques ?
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L' avènement des mouvements féministes est beaucoup plus occultes qu' on se l' imagine . Certes les magnats de la finance ( banque - industriel ) , se cachaient derrière la naissance de certains mouvements féministes , pour ensuite pouvoir profiter d' une nouvelle manne financière . Mais en réalité , une force occulte maléfique stimulait les commanditaires de ses mouvements . Le but fabriquer progressivement la société pornographique que nous connaissons actuellement . J'aime les femmes. Tous les hommes aiment les femmes. Je veux leur bonheur. Mais avec vos conneries féministes, la majorité des gens qui dorment dans les rues (même en hiver) aujourd'hui sont des femmes et leurs enfants, Bravo ! Au moins avant, elles étaient en sécurité, n'étaient pas obliger de se "louer" pour survivre dans la spirale du libéralisme économique. Et elles ne subtituaient pas l'éducation de leurs enfants à d'autres femmes (nounous, babysitter etc...). Si elles aviaent un mari violent elles pouvaient toujours jouer de leurs charmes pour trouver un autre homme célibataire gentil (même riche). C'est vrai qu'il y avait quelques détails injuste (vote et études notamment). Mais elles auraient pu s'épanouir après l'éducation des enfants et l'entretien de la maison à travers des assos, bénévolat, des études, l'art, la philosophie, la recherche etc... Le mouvement féministe a été financé par des gens (banques-industriels) qui voyaient une part de marché et de consommateurs à exploiter (plus de la moitié de la population, c'est énorme !), et voilà... aujourd'hui on y est. Les femmes sont les plus grosses consammatrices et les entreprises exploitent la nature profonde de la femme qui est d'attirer l'homme pour la reproduction. Et maintenant la femme pense qu'il est "naturel" de consommer et d'acheter : Beauté, vêtements, cosmétique, régimes etc... La femme et l'homme ne seront jamais pareil, parce qu'ils ne le sont pas ! Ils se complètent comme le ying et le yang ! L'autorité et la force de l'homme - L'Amour, la tendresse et la douceur de la femme. C'est comme vouloir comparer et mettre sur un pied d'égalité les pommes et les oranges, ça n'a aucun sens. Vous avez vendu les femmes au capitalisme. Vous pouvez avoir honte de vous à continuer cette gigantesque arnaque. Pour tous les militant(e)s : Pensez-y sérieusement.
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Ci-dessous une analyse "rafraichissante" sur les femmes et le féminisme..OUF! ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ mercredi 5 septembre 2012 - par Catherine Marx Quand le féminisme vire mal... ... et devient un nouvel outil politique de contrôle social. Critiquer le féminisme n'est pas chose aisée. Car quand on pense "féminisme" viennent immédiatement à l'esprit des combats nobles dont ont découlé des avancées majeures pour la condition des femmes : le droit de vote, la contraception, l'avortement, la libération sexuelle, le droit au travail sans autorisation maritale, le droit à l'autonomie financière... On est donc suspecté de se faire l'allié d'un machisme répugnant, même si on est soi-même une femme. Car une femme en désaccord avec le féminisme ne peut être - pour ses représentantes et sympathisants - qu'aliénée, victime de la domination masculine, voire même être taxée de nuire à ses semblables. Eh bien, on a tort. D'abord, parce qu'il n'existe pas qu'un seul féminisme, mais plusieurs courants de pensée dont les positionnements sur des thématiques comme, par exemple, le port du voile, le travail du sexe ou la maternité sont très variables. Ensuite, parce qu'une pensée unique est toujours nocive, le signe de consciences anesthésiées, empêtrées dans une doctrine quasi religieuse qui ne supporte pas les contradictions, qui voudrait museler celles et ceux qui ont un avis divergent et qui, au final, empêche de penser autrement que rond. On s'est récemment félicité - dans les milieux féministes traditionnels - de ce que notre gouvernement ait recréé le ministère des Droits des femmes, initialement instauré par Valéry Giscard d'Estaing en 1974. Je le déplore quant à moi. Cela ne peut signifier que deux choses : soit nous sommes des sous-citoyennes pour lesquelles les droits de l'Homme ne s'appliquent pas, soit nous valons mieux que la gent masculine et devons bénéficier de droits supérieurs aux leurs au seul prétexte que nous soyons de sexe féminin. Dans les deux cas, le féminisme trahit l'engagement de ses pionnières qui refusaient qu'une place leur soit assignée en fonction de leur sexe... Et ce n'est malheureusement qu'une des manifestations multiples de sa dérive. Ainsi, les violences conjugales sont déclarées "violences faites aux femmes", comme si les hommes en étaient systématiquement les instigateurs et jamais les victimes. Aucun des spots passés à la télévision ou à la radio, aucune des affiches publicitaires n'a mis en scène un homme victime de violences psychologiques ou physiques de la part de sa compagne... S'insinue ainsi dans la pensée collective l'image toute-puissante de la femme victime par essence et celle du mâle prédateur et effrayant. La réalité qu'on tait volontairement, c'est que les violences conjugales sont un problème de couple avant d'être un problème de genre. Je vous encourage à lire (pour anglophones) cette étude sur les violences domestiques effectuée par des universitaires de Colombie britannique en 2004. Il est surprenant de constater à quel point il nous est difficile d'accepter que des femmes soient tortionnaires et pire, que leur nombre ne soit pas si inférieur que ça à celui des hommes... Preuve que le discours victimaire de certaines féministes, abondamment relayé par les médias, fonctionne très bien... Pour le harcèlement sexuel, même topo. Nous sommes dépeintes tels des êtres faibles, des mineures dont le seul salut reposerait sur un recours en justice, un peu comme un enfant irait appeler un parent à l'aide dès qu'on le chahute dans la cours de récréation... L'existence d'un délit de harcèlement sur le lieu de travail n'est pas suffisant aux yeux des féministes, non. Il faut qu'il y ait une qualification d'ordre "sexuel" parce qu'on soutient que la domination des femmes s'exerce à travers leur sexualité et qu'il est bien pire de se voir proposer un rencard avec insistance que de subir toute autre forme de pression psychologique. Ce qu'on parvient très bien à inscrire dans la psyché des femmes en tenant ces propos, c'est que leur sexualité est une sphère qui les rendrait particulièrement vulnérables. Et hop, un bon coup de balai sur la libération sexuelle ! Eh oui. Elle se meurt de cette contradiction notoire : prétendre d'un côté que la sexualité des femmes doit pouvoir s'exprimer comme celles des hommes et ensuite soutenir que les avances et les sous-entendus grivois les atteignent spécifiquement parce qu'elles sont femmes, qu'ils peuvent les détruire sur le plan psychique, qu'ils sont plus dangereux à ce titre qu'un "simple" harcèlement moral. Dès lors qu'elles adhèrent à cette vision, les femmes se perçoivent comme des êtres émotionnellement fragiles, des proies sexuelles évoluant dans un environnement hostile. Et effectivement, telles les prédictions de l'astrologue pour ceux qui les consultent, celles des féministes se réaliseront très souvent : elles seront anéanties par cette forme - qu'on a voulue spécifique - de harcèlement. Exit la légèreté, exit le répondant cinglant, ne restent que la peur et la plainte aux autorités... Au passage, on ne relève pas l'existence de femmes qui usent et abusent de leurs atours et atouts sexuels pour obtenir de l'avancement (des victimes, elles aussi, de la fameuse domination masculine qui les oblige à troquer du sexe contre de l'argent, les pauvres...). On retrouve d'ailleurs exactement le même cheminement de pensée pour ce qui est de la prostitution, c'est à dire de l'usage que nous faisons de notre sexe dans le cadre de relations sexuelles consenties et tarifées. Au prétexte que l'exploitation existe dans ce domaine comme dans d'autres (exemple : ateliers de travail clandestin), au prétexte que les femmes sont plus nombreuses à exercer ce métier, on qualifie la prostitution d'esclavagisme et de violence faite aux femmes (encore...). Une tribune récente du Nouvel Observateur, intitulée "L'abolition de la prostitution est une chimère", a été généreusement fustigée par de nombreuses féministes. Il n'y a qu'à en taper le titre sur un moteur de recherche pour trouver leurs réactions outrées et méprisantes. Les hommes qui se prostituent ? Sans intérêt. Les femmes qui exercent de leur plein gré et revendiquent leur choix ? Elles sont dans le déni, subissent la dictature patriarcale, sont de pauvres créatures à sauver malgré elles. Les intellectuels et les bourgeois n'auraient pas leur mot à dire, les prostituées volontaires non plus. La thématique est confisquée par celles et ceux qui s'octroient le droit d'en débattre, au nom des femmes (!) qui n'ont d'intérêt et de légitimité que lorsqu'elles sont du même avis. Les autres, il convient de les remettre sur le droit chemin ou de les ostraciser... La prostitution, c'est le seul métier qu'on trouve condamnable et indigne s'il n'est pas éxécuté par plaisir et par vocation. Selon cette logique, une femme faisant payer ses prestations sexuelles juste pour subvenir à ses besoins et qui ne se serait jamais imaginée faire ça quand elle était petite trouverait assurément son salut dans un poste d'équarisseuse de poulets. J'en connais, des prostituées, qui ne seraient pas d'accord... Je ne m'appesantirai pas sur la question de l'inégalité des salaires et du fameux plafond de verre (cela fera certainement l'objet d'un prochain article), qui serait - à en croire la majorité bruyante des féministes - le seul fruit de la domination masculine et n'aurait surtout rien à voir avec la maternité (c'est mieux de soutenir la thèse du complot machiste que de risquer de faire baisser la natalité en nous disant la vérité. Avec ses 800 000 naissances annuelles, la France est championne d'Europe de la fertilité et elle s'est donné les moyens financiers de l'être...). Il est temps que s'opère une prise de conscience citoyenne. Nous sommes tous concernés. Une certaine propagande féministe s'évertue jour après jour, avec de plus en plus de force et d'insistance et grâce au soutien des autorités politiques, à nous inscrire dans des rôles sexués (à son discours défendant puisqu'il se targue du contraire, ce qui est très habile...). J'accuse ce féminisme-là d'être devenu un nouvel outil stratégique de contrôle social, je l'accuse de faire régresser la condition féminine, je l'accuse de renforcer le stigmate de la putain, je l'accuse de constituer une entrave à la libération sexuelle des femmes, je l'accuse d'être misandre, de favoriser un regain du machisme et de nuire à l'instauration d'une société au sein de laquelle les rapports de genre seraient paisbles. Je l'accuse de mettre en place les jalons d'une dictature féministe qui pourrait avoir des effets désastreux sur le plan social. C'est ce que j'ai voulu illustrer dans Moralopolis, roman d'anticipation paru aux éditions Tabou, dont l'action se déroule dans la France des années 2050... http://mobile.agoravox.fr/actualites/societe/article/quand-le-feminisme-vire-mal-122156
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je fais parti de ceux qui ne verseront pas une larme lorsque DSK sera mis en prison pour l'ensemble de ses viols, agressions et autres.. car vu le nombre et m^me s'il y a quelques mensonges et extrapolation, il devrait terminer ses jours derrière les verrous ! On ne peut que se souhaiter que justice soit faite! Mais que penser de Tristane Banon ? cela fait des années quelle fait du viol-spectacle sur les plateaux télés, sur les antennes radios, et voilà qu'elle saisie l'aubaine de l'affaire du Sofitel, pour briller ! La justice nous dira ce qu'il s'est réellement passé, mais cette femme est écoeurante dans sa façon d'exploiter sa situation. Quelle s'attaque à DSK sur la fond...normal.. sur la forme la télé passe visiblement avant le tribunal. Ensuite ce qui m'écoeure, c'est quelle fait tout pour couler François Hollande DSK était favori N°1 des socialistes avant l'affaire, maintenant c'est FH..et comme par hasard elle s'en prend à lui. Pourquoi lui ? Aucune explication ne tient debout Officiellement c'est parce qu'il "savait"... mais des dizaines, voir des centaines de personnes savaient à commencer par sa propre mère qui l'a dissuadé de porter plainte en 2003, puis ses amies et collègues savaient... mais Tristane Banon ne s'en prend qu'à FH Tristane Banon que l'on sait proche de L'UMP, qui travaille pour un maire UMP, etc... Tristane Banon à Bac + 5, elle sait ce qu'elle fait ! Je ne crois pas au hasard ! Cette femme fait du viol-politico-spectacle... lamentable ! Et bien évidement elle est soutenue par les féministes, trop contentes d'en découdre avec les hommes. Bien entendu les féministes passent sous silence cette mère qui a demandé à sa fille de ne pas porter plainte, pour ne pas nuire à sa carrière politique !!! Haro sur François Hollande, c'est un homme donc forcément à combattre, la mère elle est épargnée..femme oblige !
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Nous sommes à quelques jours de la journée de la femme, et comme chaque année j'attends avec impatience les revendications des femmes. Mis à part les revendications,les reproches et accusations,on attends toujours le côté constructif et innovant du féminisme. Une société doit être égalitaire en droits, elle doit être juste envers toutes et tous, je pense que nous sommes toutes et tous d'accord là-dessus. Par contre, si les femmes se plaignent de partis politiques, d'entreprises, d'associations, etc trop machos, trop dominés par les hommes, on attend toujours qu'elles prennent enfin l'initiative et nous montrent comment on peut faire différemment et mieux..... A quand un parti politique à l'initiative des femmes ? Avec d'autres propositions, d'autres visions de la société, etc A quand des entreprises à profil plus "féminin" ? Avec là également d'autres visons, d'autres organisations. Il est par exemple curieux qu'aucun mouvement féminin ne propose d'intégrer des crèches directement dans les entreprises afin de permettre aux parents d'être proches de leurs bébés, aux mères d'allaiter si elles le souhaites... Il ne suffit pas de se plaindre, de toujours accuser les hommes de tous les maux des femmes, il faut à présent PROPOSER. Peut-être ce forum va-t'il nous donner quelques idées et pistes... à vous la parole !
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J'ai pu croiser ici quelques ennemis acharnés du féminisme. Pensez-vous que le féminisme, i.e., la lutte pour que les femmes atteigne un jour un statut égal à celui de l'homme est mauvais ? Les féministes occidentales devraient-elles cesser de vouloir s'élever jusqu'à l'égalité sous prétexte qu'il y a bien pire dans d'autres contrées ?
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Elisabeth Badinter déplore qu'« en dehors de Marine Le Pen », plus personne ne défende la laïcité 29/09/2011 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] La philosophe et écrivaine Elisabeth Badinter a estimé, mercredi 28 septembre, dans un entretien accordé au journal Le Monde des religions, qu'"en dehors de Marine Le Pen, plus personne ne défend la laïcité". A la question "quels sont, selon vous, les combats à mener les prochaines années ?", l'épouse de l'ancien garde des Sceaux Robert Badinter répond qu'"en dehors de Marine Le Pen, plus personne ne défend la laïcité. Au sein de la gauche, le combat a été complètement abandonné, si ce n'est par Manuel Valls". Selon elle, "la gauche a laissé s'installer l'équation suivante : défense de la laïcité égale racisme. Cela est tragique." Suite de l'article... Source: Le Monde
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NOUS N'IRONS PAS AU BOIS -- Des hommes disent NON à la prostitution Samedi 17 septembre - 20:52 [/JUSTIFIER] [JUSTIFIER] La prostitution est-elle un « droit de l'homme » ? Une « liberté des femmes » ? Une réalité inévitable pour répondre aux « besoins irrépressibles » des hommes ? NON ! Finissons-en avec cette propagande ! Nous, signataires de ce manifeste, hommes de tous âges, origines et conditions, refusons de vivre notre sexualité au travers de rapports marchands. Pour nous, la sexualité est avant tout une relation humaine, vécue dans l'égalité et le respect de l'autre, de sa liberté et de son désir. Nous vous invitons à agir avec nous et à dire publiquement LA PROSTITUTION : PAS NOUS ! PAS EN NOTRE NOM ! NON à ce marché de la misère qui pousse les plus vulnérables à louer leur bouche ou leur vagin ! NON à la culture machiste qui utilise la sexualité pour dominer et avilir ! NON à des bordels, même homologués par l'État, où des femmes, asservies et exploitées par des proxénètes, sont parquées au service d'hommes ! OUI à la liberté sexuelle ! OUI au désir et au plaisir partagés ! « Libre de se prostituer », entend-on dire. Mais qui « choisit » d'avoir chaque jour plusieurs actes sexuels non désirés avec des inconnus ? Qui est libre dans la prostitution ? Qui a le choix ? Qui recherche son plaisir sans se soucier de l'autre ? Seulement celui qui a le pouvoir de l'argent. La liberté que revendiquent des personnes prostituées est illusoire, car elle est contrainte par des proxénètes, par la drogue, par des violences. Chaque année, le système prostitueur détruit la vie de millions de nouvelles victimes, surtout des femmes et des enfants, souvent parmi les plus pauvres. Tout homme peut s'affirmer sans nier l'autre, et s'assumer sans dominer. Suite de l'article... Source: Encore féministes
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Le féminisme suscite les passions. Certains discours féministes font un mélange entre de nombreux phénomènes qui n'ont pas grand chose à voir : l'épisode d'un fou qui tue une dizaine de femmes, la violence conjugale, les différences de salaires, l'excision, la violence systématique faite aux femmes dans certains pays, etc. Cela crée une haine de hommes et un sentiment de culpabilité chez eux. Pour comprendre, je pense qu'il faut revenir au texte de la Genèse, qui a marqué les gens pendant des siècles. D'après le chapitre 3, toutes les souffrances du monde ont été causées par le péché originel, qui est la désobéissance à Dieu d'avoir voulu accéder à la connaissance. Or le féminisme, c'est un peu cela, à savoir que des femmes, accèdent à la connaissance malgré les normes sociales, et s'émancipent. C'est sans doute de là que vient l'accusation du féminisme d'être un crime contre l'humanité, puisque, si on croit à ce que dit la Genèse, c'est ce genre de "faute" qui entraine tout ce que peut subir l'humanité. Le féminisme nécessite donc une remise en cause de la religion monothéiste. Ce chapitre affirme aussi que c'est à l'homme qu'appartient de nommer les choses : Il est essentiel de noter que le premier reproche supposément fait par Dieu à l'homme est d'avoir écouté sa femme : En d'autres termes, puisque l'homme à écouté la femme et qu'il a voulu accéder à la connaissance librement, il sera puni en étant ignorant, et en trimant toute sa vie, et dans un mépris final retournera à la terre. Avec un tel conditionnement, les hommes peuvent avoir peur d'écouter leur femme et de donner du crédit à sa parole, étant alors menacé de perdre toute connaissance, de souffrir et de finir dans le mépris. Or les hommes sont censés être des durs, ils refusent donc de parler de cette peur et le dialogue est difficile. Certains féministes ne sortent pas de ce schéma, et se contentent de l'inverser, en accusant les hommes de tous les maux de l'humanité. C'est ainsi qu'on accusera un homme chrétien occidental du sort des femmes musulmanes dans des pays lointains, ou bien qu'on considèrera de la même façon les différences de salaires institutionnalisées ou les violences conjugales de certains. On confond ainsi l'homme individu, les normes sociales, les institutions, et l'on confond les responsabilités des hommes entre eux. Si un homme a fait quelque chose, d'emblée c'est tous les hommes qu'on accuse de complicité. C'est un raisonnement de l'unicité du Mal, symétrique à celui dans la Genèse où la femme est tenté par un serpent qui parle, assimilé à Satan. Souvenez-vous Harry Potter. Je pense donc pour un féminisme sensé, il est nécessaire de ne pas tout mélanger, et de constater les schémas religieux au lieu de les inverser. Partagez-vous cette analyse ? Pensez-vous que le féminisme est lié à la déchristianisation des esprits ? L'oppression patriarcale/matriarcale est-elle liée à l'oppression du symbolique (langage parlé et écrit) ?
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Attention, je ne parle pas du féminisme extrémiste, celui qui vise à mette la femme au dessus de l'homme, mais bien celui qui prône l'égalité, voir même pour les plus audacieux l'équité des deux sexes. En effet ce mouvement est une traduction de la tendance globale de notre société à l'uniformisation et au nivellement. Les différences des sexes ont toujours existé, elles sont une des bases de la fondation de notre société, et chacun peut en tirer parti à sa manière. Elles apportent de la diversité et du choix, voir même plus de libertés et de confort qu'un régime équivalent pour tous. Vouloir les gommer, en plus d'être une tâche presque impossible et vouée à l'échec, en devient donc même nocif pour notre société. Quand au motivations apportées, elle sont souvent très floues, ou mal justifiée. La plupart des combattants féministes prônent l'accès aux femmes à certains postes listés par des critères choisis d'eux-mêmes, tout en taisant la volonté inverse et équivalente des hommes à s'intégrer à d'autres branches spécifiques. De plus, les revendications sont souvent le fruit du travail d'un groupe restreint, qui, sous prétexte d'être constitué majoritairement de femmes, se dit représentant de toutes les dites femmes sans jamais leur avoir demandé leur avis. Comment peut-on donc endiguer ce processus avant qu'il n'augmente encore l'ampleur phénoménale qu'il a pris aujourd'hui ? Sachez je ne considérerai même pas les réponses bateau et vides de sens, ne répondant pas à la question, du genre "mais on s'est battu des siècles pour ça" !
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En amour : de l'homme qui possède et de la femme qui appartient
Marc'heg a posté un sujet dans Philosophie
À l'heure de l'indifférenciation des sexes, il est vivifiant de respirer un peu d'air nietzschéen : Malgré toutes les concessions que je suis prêt à faire aux préjugés monogames, je n'admettrai jamais que l'on puisse parler chez l'homme et chez la femme de droits égaux en amour : ces droits n'existent pas. C'est que, par amour, l'homme et la femme entendent chacun quelque chose de différent, - et c'est une des conditions de l'amour chez les deux sexes que l'un ne suppose pas chez l'autre le même sentiment. Ce que la femme entend par amour est assez clair : complet abandon de corps et d'âme (non seulement dévouement), sans égards ni restrictions. Elle songe, au contraire, avec honte et frayeur, à un abandon où se mêleraient des clauses et des restrictions. Dans cette absence de conditions son amour est une véritable foi, et la femme n'a point d'autre foi. -L'homme, lorsqu'il aime une femme, exige d'elle cet amour-là, il est donc, quant à lui-même, tout ce qu'il y a de plus éloigné des hypothèses de l'amour féminin; mais en admettant qu'il y ait aussi des hommes auxquels le besoin d'un abandon complet ne serait pas étranger, eh bien, ces hommes ne seraient pas - des hommes. Un homme qui aime comme une femme devient esclave; une femme, au contraire, qui aime comme une femme devient une femme plus accomplie... La passion de la femme, dans son absolu renoncement à ses droits propres, suppose précisément qu'il n'existe point, de l'autre côté, un sentiment semblable, un pareil besoin de renonciation : car, si tous deux renonçaient à eux-mêmes par amour, il en résulterait - je ne sais quoi, peut-être l'horreur du vide? - La femme veut être prise, acceptée comme propriété, elle veut se fondre dans l'idée de « propriété », de « possession » ; aussi désire-t-elle quelqu'un qui prend, qui ne se donne et ne s'abandonne pas lui-même, qui, au contraire, veut et doit enrichir son « moi » par une adjonction de force, de bonheur, de foi, par quoi la femme se donne elle-même. La femme se donne, l'homme prend, - je pense que l'on ne passera par-dessus ce contraste naturel ni par des contrats sociaux, ni même avec la meilleure volonté de justice : si désirable qu'il puisse être de ne pas toujours avoir devant les yeux ce qu'il y a de dur, de terrible, d'énigmatique et d'immoral dans cet antagonisme. Car l'amour, l'amour complet et grand, figuré dans toute sa plénitude, c'est de la nature et, en tant que nature, quelque chose « d'immoral » en toute éternité. - La fidélité est dès lors comprise dans l'amour de la femme, par définition, elle en est une conséquence; chez l'homme, l'amour peut parfois entraîner la fidélité, soit sous forme de reconnaissance ou comme idiosyncrasie du goût, ce qu'on a appelé « affinité élective », mais elle ne fait pas partie de la nature de son amour, - et cela si peu que l'on peut presque parler d'une antinomie naturelle entre l'amour et la fidélité chez l'homme : lequel amour est un désir de possession et nullement un renoncement et un abandon; or le désir de possession finit chaque fois qu'il y a possession... De fait, c'est le désir subtil et jaloux de l'homme, qui s'avoue rarement et de façon tardive cette « possession », qui fait durer encore son amour; dans ce cas, il est même possible que l'amour grandisse après l'abandon de soi -l'homme se refuse à avouer que la femme n'a plus rien à lui « abandonner ». Nietzsche, Le Gai savoir, 363. -
Ségolène Royal nous dit qu'il existe des hommes féministes .Concrètement c'est quoi ?Comment les hommes féministes élèvent -ils leurs filles ?Ca se traduit par quels actes dans votre sphère publique et privée ?
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http://www.franceinf...5-05-2015-04-25 Hé oui mesdames, votre désir le plus profond c'est d'être dominée...c'est Eliette qui le dit sans sourciller à propos du succès de 50 nuances de Gray. Entendre ça en 2015 c'est triste, très triste. Que Abecassis ait des penchants pour la domination c'est sa vie privée et il n'y a aucun problème à cela mais qu'elle généralise cela à toutes les femmes, pire qu'elle en fasse une "nature" féminine là c'est carrément insultant. "être femme c'est le plaisir de la domination" merci Eliette... Et vous ça vous choque ?
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