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Crise climatique : à quoi la France pourrait-elle ressembler en 2050 ?
Doïna a posté un sujet dans Environnement
Bonjour, Des scientifiques ont examiné des exemples concrets de l'impact que pourraient avoir les émissions de gaz à effet de serre sur la France en 2050. Les changements pourraient être rapides et spectaculaires. Article entier 2050, c'est bientôt : seulement dans 27 ans !- 30 réponses
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« Assistés », « profiteurs », « paresseux »… les clichés sur les pauvres à l’épreuve des faits
Invité a posté un sujet dans France
https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2017/10/17/assistes-profiteurs-paresseux-en-finir-avec-les-cliches-sur-les-pauvres_5201892_4355770.html « Assistés », « profiteurs », « paresseux »… les clichés sur les pauvres à l’épreuve des faits (...) Par Anne-Aël Durand Publié le 17 octobre 2017 à 10h06 - Mis à jour le 13 septembre 2018 à 15h15 Distributions des Restaurants du cœur à Alès, dans le Gard. SYLVAIN THOMAS / AFP Un président de la République qui dénonçait les « fainéants », un dirigeant des Républicains qui fustige le « cancer de l’assistanat », des aides sociales rabotées parce qu’on ne va pas « pleurer pour 5 euros »… le personnel politique n’est pas le dernier à véhiculer des caricatures des personnes en situation de pauvreté — qui concerne un Français sur sept, selon l’Insee. A l’occasion de la présentation du « plan pauvreté » du gouvernement, jeudi 13 septembre, nous avons rassemblé des clichés et idées reçues sur la pauvreté, dont certains ont déjà été évoqués dans de précédents articles du Monde ou des Décodeurs. Cette série, loin d’être exhaustive, s’inspire aussi du travail acompli par l’association ATD Quart Monde. Idée reçue n° 1 : « Les pauvres profitent du système » FAUX Les aides sociales sont un mécanisme de solidarité destiné à porter assistance aux personnes en situation de pauvreté, de dépendance ou de handicap… à condition qu’elles atteignent les personnes concernées. Si des responsables politiques, tel Laurent Wauquiez, dénoncent le « cancer de l’assistanat » ou la fraude aux allocations (qui existe, mais reste limitée, voir idée reçue no 3), la puissance publique s’inquiète plutôt du phénomène inverse : le non-recours aux prestations sociales. Comme le résume un rapport d’information de l’Assemblée nationale, « à quoi bon des organismes de protection sociale s’ils ne parviennent pas à venir en aide à ceux qui en ont besoin ? » Ce non-recours peut être lié à l’ignorance des aides existantes, à la difficulté pour la recevoir (démarches complexes) ou même au choix de ne pas le demander, parfois de crainte d’être stigmatisé. L’Observatoire des non-recours (Odenore) avait publié en 2011 une étude montrant que 50 % des personnes éligibles au revenu de solidarité active (RSA) ne le touchaient pas. Ce taux atteignait 68 % pour le tarif « première nécessité électricité » d’EDF ; entre 50 % et 70 % pour la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) ; 70 % pour l’aide au paiement d’une complémentaire santé (ACS). Soit plus de 10 milliards d’euros non réclamés. Une étude plus récente menée dans deux départements français publie des estimations de 36 % de non-recours au RSA, et entre 21 % et 34 % pour la CMU-C. Idée reçue n° 2 : « Les pauvres sont mieux soignés que les autres grâce à la CMU et à l’AME » FAUX En 2016, plus d’un quart des assurés sociaux (26,5 %) ont renoncé à se faire soigner, en particulier pour les dents ou les yeux, selon une enquête de l’Observatoire des non-recours (Odenore). Les premières raisons invoquées sont un « reste à charge » trop élevé (ce qu’il reste à payer après la Sécurité sociale) ou l’impossibilité d’avancer les frais. Ces chiffres s’expliquent également par le taux élevé de non-recours à la couverture maladie universelle (CMU, actuellement remplacée par la protection universelle maladie, ou PUMA) ou à l’aide à la complémentaire santé. L’Assurance-maladie s’inquiète de cette situation, qui dégrade l’état de santé des personnes concernées et pourrait générer à terme des dépenses supplémentaires pour toute la collectivité. L’organisme a même lancé des opérations spécifiques contre le renoncement aux soins. Quant à l’aide médicale d’Etat (AME), elle est réservée aux étrangers sans papiers, pour un nombre restreint de soins (en particulier vaccin, accouchement, lutte contre le VIH ou la tuberculose). Son coût est régulièrement dénoncé par la droite et l’extrême droite, mais sa suppression risquerait d’augmenter la propagation des affections contagieuses. Lire aussi Idées reçues sur les migrants (3/6) : « Ils viennent en France pour se faire soigner » Idée reçue n° 3 : « La fraude aux prestations sociales est massive » PLUS COMPLIQUÉ Les prestations versées sous conditions de revenus peuvent être détournées par de mauvaises déclarations des revenus ou de la situation familiale. L’ensemble des fraudes constatées par la branche famille de la Sécurité sociale (intentionnelles ou non) atteignait 248 millions d’euros en 2015, dont 62 % concernent le RSA et 21 % les aides au logement, selon le Comité national de lutte contre la fraude. Ces montants ne sont pas négligeables, mais restent minimes par rapport aux dépenses globales : 12,9 milliards d’euros versés pour le RSA et 13,2 milliards pour les APL en 2015. Les chiffres augmentent chaque année, sous l’effet de meilleurs contrôles. La fraude détectée par la Sécurité sociale est ainsi passée de 482 millions d’euros en 2011 à plus d’un milliard d’euros en 2015, dont seulement 60 % pour les prestations. Ces montants sont toutefois sans commune mesure avec ceux de la fraude fiscale : en 2015, les opérations de la direction générale des finances publiques ont permis de « rectifier » 21,2 milliards d’euros, dont 12,2 milliards ont été encaissés. La cellule mise en place par Bercy pour rapatrier les avoirs des particuliers à l’étranger a permis à elle seule de récupérer 2,85 milliards d’euros. Les fraudes aux taxes douanières ont aussi atteint une somme record de 377 millions d’euros. Idée reçue n° 4 : « On vit mieux en cumulant le RSA et les allocations qu’en travaillant au smic » FAUX S’il existe une catégorie inquiétante de travailleurs pauvres qui peinent à joindre les deux bouts, avoir un emploi reste toujours plus avantageux que de toucher les minima sociaux. Le smic net mensuel s’établit à près de 1 150 euros, soit deux fois plus que le montant du RSA pour une personne seule (545 euros). L’association ATD Quart Monde rappelle que la plupart des prestations sociales (APL, allocations familiales, tarifs sociaux du gaz et de l’électricité) continuent à être versées aux personnes gagnant le smic. Elle a réalisé plusieurs simulations en 2016, avec différentes configurations familiales. Résultat, les écarts de revenus entre travailleurs au smic et bénéficiaires du RSA sont au minimum de 300 euros par mois pour un célibataire et peuvent atteindre près de 700 euros pour un couple avec deux enfants. Par ailleurs, pour éviter l’effet de seuil, les personnes qui travaillent à temps partiel ou qui gagnent moins de 1,3 smic peuvent voir les revenus de leur travail complétés par la prime d’activité. Idée reçue n° 5 : « Quand on cherche vraiment du travail, on en trouve » FAUX Les responsables politiques déplorent régulièrement la quantité d’emplois non pourvus en France : 350 000, selon François Rebsamen en 2014 ; 600 000, selon Jean-Christophe Lagarde en 2017. Sans compter les « 1,7 million d’intentions d’embauche » évoqués en 2015 par Pôle emploi. Qu’attendent donc les chômeurs pour occuper tous ces postes vacants ? La réalité n’est pas si simple : en premier lieu, les intentions d’embauche sont des déclarations, qui reflètent les aspirations des entreprises mais pas des postes réellement à pourvoir. Quant aux emplois non pourvus, il s’agit de la photographie à un instant donné d’un flux qui agrège des emplois vacants depuis longtemps et d’autres qui sont disponibles seulement quelques jours. Parmi ces emplois, une grande partie peut être retirée ou pourvue en interne. Enfin, les qualifications et la situation géographique ne correspondent pas toujours au profil des demandeurs d’emploi. Toutes ces considérations permettent de relativiser l’idée d’un vivier d’emplois disponibles. Et dans tous les cas, les chiffres avancés sont loin de répondre au problème structurel du chômage de masse : 3,5 millions de personnes n’ont aucun emploi et plus de 2 millions de salariés exerçaient une activité réduite en France à la fin d’août 2017. Cet article fait partie d’une série d’idées reçues sur la pauvreté, inspirée notamment du travail d’ATD Quart Monde. Idée reçue n° 6 : « Les pauvres s’en sortent bien, parce qu’ils paient tout moins cher » FAUX Si les personnes à faibles ressources peuvent avoir des tarifs réduits sur certaines prestations liées à l’Etat ou aux collectivités (EDF, transport en commun, cantine ou garde d’enfant, entrée dans les musées, etc.), elles paient plus cher que la moyenne pour d’autres biens et services du secteur privé. Le surcoût peut atteindre entre 3 % pour les assurances et 20 % pour les prêts à la consommation, selon une étude du Boston Consulting Group, reprise dans un rapport du Sénat. L’achat en petite quantité fait augmenter les prix unitaires, par exemple dans la téléphonie, où il peut revenir jusqu’à 30 % plus cher d’utiliser des cartes prépayées plutôt qu’un forfait mensuel. Le logement suit également cette logique, puisque les prix au mètre carré sont plus élevés pour les petites surfaces." Ce paradoxe est qualifié par les chercheurs de « pénalité de pauvreté » ou « double peine de la pauvreté ». Cet article fait partie d’une série d’idées reçues sur la pauvreté, inspirée notamment du travail d’ATD Quart Monde. -
2013, l’année du chaos ? 04/01/2013 Le Français moyen pense que ça n’arrivera jamais, comme en 1937 il ne pensait pas que 1940 fut possible. Mais la catastrophe approche, inexorablement, mathématiquement. On peut la humer à distance, comme une bête sauvage aux relents de malheurs, qui se faufilerait dans les sous-bois économiques. Les branches craquent dans la nuit, on l’entend toujours plus près, mais on préfère se blottir au fond du lit, en espérant que tout cela n’est qu’une légende. Et pourtant… Les médias ne peuvent plus cacher la réalité, c’est à cela qu’on voit ce qui se prépare. Nous avions déjà le président Hollande qui annonçait une année 2013 durant laquelle le chômage ne cesserait d’augmenter, ce qui, pour un homme au pouvoir, était une première assez couillue ! Nous avions cet étrange docu-fiction de France 2 qui jouait à nous faire peur : « 2013, le scénario noir »… Et puis, le réveillon à peine digéré, ce dossier paru dans Le Parisien, évidemment repris à la télé (France 3) : les véritables chiffres du chômage enfin dévoilés. Une bombe atomique qui a explosé à l’heure où, personnellement, je sortais mes lentilles du micro-ondes. « 9 Millions de chômeurs en France à ce jour ». Je n’osais pas en croire mes oreilles. Même un dur à cuire du FN n’aurait pas osé ce chiffre de malade. Dire que je passais pour un néo-nazi quand j’annonçais cinq millions de chômeurs dans les dîners en ville… La réalité éclaboussait tout. Aux 3 millions et quelques d’inscrits métropolitains à Pôle Emploi, on ajoutait ceux de l’Outre-mer. On atteignait alors 5 millions et demi de sans emploi ou en activité (très) réduite. Pour une fois inspirés, les journalistes avaient la terrible idée de continuer l’addition maudite. Et vlan, encore 1 300 000 bénéficiaires du RSA ; et vlan, 1 500 000 personnes « en temps partiel subi » qui vivotent au gré de CDD au rabais. Et bang, encore 830 000 « découragés » qui ont abandonné toute démarche. Sale décompte, sale total. Au pourcentage de la population active, cela fait donc… 30 % de sans emplois. Un chiffre ahurissant, digne des heures sombres de la République de Weimar ! Pour corser le tout — j’avais tout juste fini d’avaler mes lentilles —, une jolie présentatrice enfonçait le clou : le secteur automobile français obtenait son pire résultat depuis 1997 avec moins 14 % de vente en 2012. Après six mois de plans sociaux à répétitions, la France peut regarder avec terreur ses voisins s’enfoncer. De l’Espagne à la Grèce, c’est à qui plongera le premier. « Ils » pourront multiplier les réunions de la dernière chance pour sauver l’euro, remonter les cours de la bourse au cric, au bout d’un moment, l’étincelle jaillira. On ne sait pas où, pas quand. Peut-être en mars, peut-être en septembre. En tout cas, la machine infernale de l’immigration (300 à 500 000 personnes qui débarquent chaque année en France) ne va pas ralentir, au contraire. Préparez-vous. Le chaos, c’est demain. L'article... Source: Boulevard Voltaire
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La question qui fâche ; En cette période de fin de fin d'année, allez-vous faire des dons aux associations caritatives, téléthon, restos du cœur, ou autres..? Ou au contraire, en avez-vous assez de toujours d'être sollicité par ces même institutions, qui d’années en année en réclame toujours plus, alors que nos poches se vide à cause de la crise..? Je vous laisse réfléchir, avant d'y répondre..! Merci..!
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Projection-Débat "La crise des Outre-mer"
Paris_Bibliotheques a posté un sujet dans Près de chez vous
Jeudi 20 octobre à 19h à la médiathèque Marguerite Duras (Paris 20e), sera projeté en avant première le documentaire de Gilles Elie-Dit-Cosaque "La liste des courses". Il s'agit de l'histoire de cette liste qui recense 100 produits de première nécessité vendus aux martiniquais 20% plus cher qu'en métropole par la grande distribution. La projection sera suivie d'un débat sur "La crise des Outre-mer de 2009" en présence de : - Daniel Maximin (écrivain, poète et commissaire de l'Année des Outre-mer 2011) - Gilles Elie-Dit-Cosaque - Suzanne Dracius (auteur de "La crise de l'Outre-mer français") - Jean Bourgault (rédacteur à la revue "Les temps modernes") L'entrée est gratuite Pour avoir des informations complémentaires rendez-vous sur la page de la mairie du 20ème arrondissement de Paris : Retour sur la crise des outre-mer de 2009 -
Bonjour tout le monde, je sais que vous n'êtes pas médecin pour la plupart mais peut-être que certains pourront me donner quelques conseils donc voila ma situation :) J'ai commencer à fumer a l'âge de 14ans avec des copains, c'était drôle de cracher de la fumée etc... on se marre bien enfin bref, j'ai réussi à arrêter durant l'été dernier mais j'ai repris au mois d'octobre 2010.(j'ai 16ans et demis, 17 au mois de juillet) Ma consommation s'est élevée à 1 paquet par jour( approximativement en comptant le fait que j'alternai roulées et blondes) jusqu'à il y a environ 3semaines ou j'ai fait un grand pas en avant, j'ai arrêter de fumer chez moi. Ce qui fait qu'à la place des 10-20clopes pas jour, je suis passé à 3-12 maximum et encore 12 étant très très rare.(journée bien rempli avec les potes) mais voilà, malgré la réduction énorme qu'il m'as semblé avoir effectuer, j'ai eu une prise de ventoline de plus en plus fréquente jusqu'à ce que j'ai eu une crise d'asthme(je pense car je n'ai pas souvenir d'en avoir déjà eu, je devais être petit) nocturne survenue Il y a 4-5 jour et une autre avant-hier. Je sais que pour celle survenue il y a 4 jours ou plus, j'avais fumé 3-4cigarettes, des roulées sans filtres. Je voudrais me mettre au sport mais avec la clope c'est pas très bon, ça me racle les bronches, j'ai hyper mal et c'est pas agréable du coup, l'endurance est pas la et l'arrêt du tabac, c'est vraiment galère donc, la question finale est. Est-ce que vous savez pourquoi mon asthme s'aggrave malgré la réduction du tabac? Et deuxième question, comment regagner du souffle et de bons poumons.(question bête que je vais détailler) Pour la deuxième question, il s'agit de comment regagner son souffle en gardant ma consommation de tabac actuelle, je ne suis aps sur d'arriver à arrêter de suite mais il me semble important au moins, de bien respirer, la sensation de la crise est vraiment désagréable(on a l'impression qu'on vas mourir d'asphyxie si c'est le thermes qui convient) Un dernier détails, la ventoline fonctionne de moins en moins bien de semaines en semaines et la méthode dite "miracle" (injection qui permet d'avoir un dégout du tabac) n'a l'air d'être connue de personne donc si vous avez quelques conseils, je suis preneur! Merci beaucoup et bonne continuation!