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Bonjour, La CGT chômeurs a extrait du site de France Travail toutes les offres d’emploi des secteurs de l’industrie, de la santé et des services à la personne, dans onze villes cibles. Sur les 1844 offres trouvées, 55 % sont illégales si on se fie au Code du travail. Il y a une différence avec l’étude de France Travail qui a choisi aléatoirement dans toute sa base de données 2500 offres vérifiées par un de leurs agents et 2500 offres de partenaires. Résultat : 7 % d’offres illégales sur leur site, ce qui est déjà trop, d'autant que ce chiffre est faussé puisque en réalité 80 % de leurs offres proviennent de partenaires extérieurs, et non pas seulement 50 %. Il est indiqué dans le Code du travail que toutes les offres doivent être le strict reflet du contrat de travail qui sera signé et ne pas comporter de mention susceptible d’induire en erreur. Ce n’est pas le cas de la majorité des annonces publiées. Par exemple, indiquer qu’une offre de CDD peut déboucher sur un CDI est illégal parce que cela ne correspond pas à la réalité du contrat signé. Sinon, il s’agirait d’une période d’essai d’un CDI. Il y a aussi des offres littéralement bidon, qui n’existent pas. Elles sont sur le site de France Travail, mais en cliquant sur le lien pour aller sur le site du partenaire, il est indiqué que l’offre a déjà été pourvue, mais n’a pas été retirée du site. Et enfin il y a aussi des offres frauduleuses. Ce sont des annonces déposées par des entreprises privées avec pour objectif que les précaires postulent. C’est surtout le fait d’entreprises de travail temporaire qui proposent des contrats allant par exemple jusqu’à 18 mois. Mais quand on les contacte, on se rend compte que le poste n’est que pour quelques jours. Cela crée du désespoir chez les personnes précaires. Nous avons eu des témoignages de privés d’emploi qui nous expliquent que ça fait des mois qu’elles postulent à des offres sur le site de France Travail, mais que les employeurs ne répondent jamais. « Qu’est-ce que je peux faire ? », nous demande-t-on. On sait qu’il y a plus de dépressions et de tentatives de suicides chez les personnes privées d’emploi. Ces offres illégales contribuent fortement à accentuer ces sentiments. Article entier : https://www.humanite.fr/social-et-economie/assurance-chomage/plus-de-50-des-annonces-demploi-sur-le-site-france-travail-sont-bidon-alerte-la-cgt-chomeurs
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Bonjour tout le monde! Déjà merci d'avance de me lire, alors voilà: je suis actuellement en réorientation, je me donne 1 an pour trouver ce que je veux vraiment faire (je travaille et épargne en attendant), sauf que je ne sais pas ce que j'aimerais faire . Enfin...j'ai pleins d'idées, mais aucune ne me semble être LA bonne idée et j'arrête pas de me dire que je passe sûrement à côté de pleins de métier que je ne connais pas. Du coup, je m'étais dis que ça pourrait être une bonne idée de demander aux gens ce qu'ils font dans la vie, comment ils ont fait pour en arriver là (parcours, études?) et de m'expliquer grosso modo en quoi consiste leur job. J'aurai bien aimé le faire "dans la vraie vie", mais j'avais peur d'aborder des gens dans la rue, je me suis dis qu'ils se sentiraient gêné et/ou me trouveraient bizarre de poser cette question à des inconnus. Je me suis donc reporter sur la solution du forum qui pourra j'espère m'aider . Merci beaucoup pour ceux qui prendront le temps de répondre, j'espère découvrir pleins de métiers dont je ne soupçonne même pas l'existence . Bonne soirée!
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Cheveux frisés, crépus, blond, roux ou crâne chauve… Le 28 mars, l’Assemblée nationale examinera un texte qui vise à sanctionner la discrimination capillaire, notamment dans le monde du travail. Quelle est l’ampleur du phénomène ? Sarah Lemoine : C’est difficile à évaluer car en France, il n’existe pas d’étude ou de statistiques sur le sujet. En revanche, "la discrimination capillaire existe, il y en a de toutes sortes, c’est incontestable", affirme le sociologue Jean François Amadieu. Selon lui, les études sociologiques montrent que dans l’imaginaire collectif, les personnes qui ont "des cheveux texturés et relâchés, sont associées à des personnes moins sérieuses, moins rigoureuses, plus brouillonnes, comparées à celles qui ont des cheveux plus lisses et coiffés", quelle que soit la couleur de la peau. Et c’est cela qui conduit aux discriminations, notamment dans l’accès à l’emploi. https://www.francetvinfo.fr/replay-radio/c-est-mon-boulot/la-proposition-de-loi-contre-la-discrimination-capillaire-bientot-a-l-assemblee_6400330.html
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Bonjour, Les chiffres, cette année encore, sont accablants. Depuis 2016, la CGT chômeurs épluche les offres mises en ligne par Pôle emploi, pour s’assurer de leur conformité. La dernière enquête, publiée ce jeudi, montre que 61,1 % de ces dernières seraient illégales. « C’est un problème politique, assure Pierre Garnodier, secrétaire général du syndicat. Le gouvernement s’appuie sur le nombre soi-disant élevé d’offres proposées pour justifier la pression mise sur les privés d’emploi qui ne trouvent pas de travail. Mais, ce que nous montrons, c’est que la majorité de ces offres sont illégales. » Les équipes du syndicat ont passé près de 1 200 annonces au tamis d’une grille d’analyse comprenant plus d’une dizaine de critères : existence d’un lien Internet valable renvoyant à l’offre d’emploi, mentions discriminatoires, annonces conformes à la réalité, mentions susceptibles d’induire le demandeur en erreur, etc. Des agences d'intérim qui annoncent des durées de travail fallacieuses... Article entier : https://www.humanite.fr/social-et-economie/assurance-chomage-2/le-scandale-des-offres-bidons-61-des-offres-demploi-de-france-travail-sont-illegales
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Bonjour, c/c partiel actu orange de ce jour, et ce n'est que le début....... https://actu.orange.fr/france/une-entreprise-s-apprete-a-licencier-217-salaries-pour-les-remplacer-par-une-intelligence-artificielle-magic-CNT0000027oXYd.html Belle après midi à tous. C'est un plan social inédit en France. L'entreprise Onclusive basée dans les Hauts-de-Seine, spécialisée dans la rédaction de revues de presse, s'apprête à supprimer 217 emplois pour les remplacer par une intelligence artificielle.
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Bonjour à toute la communauté, J'aurai besoin de votre aide… Je recherche des personnes en situation de reconversion professionnelle en ce moment et qui pourrait répondre à mon étude. Voici le lien : https://enquete.univ-reims.fr/limesurvey/index.php/196821?lang=fr Je suis en master de psychologie sociale à Reims et mes recherches portent sur la façon dont les personnes en situation de changement professionnel gèrent leur identité pro, càd. comment font-elles pour faire le deuil de leur ancienne identité pro avant formation/reconversion et comment réussissent-elles à intégrer la nouvelle identité liée à leur nouveau métier, nouvelles qualifications/compétences. Alors si vous êtes-vous même en situation de reconversion pro et que vous souhaitez m'aider, je vous invite à cliquer sur le lien (ci-dessus). En répondant au questionnaire (qui est anonyme et de quelques minutes seulement), vous participerez à faire avancer les sciences sociales sur la question, problématique qui devient de plus en plus saillante dans notre société actuelle où le marché du travail de spécialise sans cesse. En plus, vous me serez d'une aide précieuse puisque plus j'aurai de participants plus cette étude aura un impact et permettra à la psychologie de s'ouvrir pleinement sur la question (il existe à l'heure actuelle que peu d'études en la matière en psycho sociale - paradoxalement). PS : Si vous connaissez des personnes autour de vous dans cette situation et qui pourraient répondre à cette étude, je vous serai gré de leur partager le lien du questionnaire. MERCI à ∞
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Ghosting, processus interminables, questions déplacées… Certains recruteurs mettent à mal la patience des candidats, au risque de les décourager dans leur quête du job idéal, et d'altérer leur estime d'eux-mêmes. «Quel animal seriez-vous ?», «Quel est votre pire défaut ?» ou encore «Où vous voyez-vous dans 10 ans ?» Difficile d'échapper aux questions désarmantes qui fusent parfois lors d'un entretien d'embauche. Suite : https://madame.lefigaro.fr/business/coaching-carriere/vous-pesez-combien-ca-vous-derange-si-on-vous-appelle-mamie-ces-recruteurs-qui-vont-trop-loin-20230313
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A partir de 50 ans , tu es bon pour la casse pour le marché du travail .
Prendresoindesoi a posté un sujet dans Emploi
A partir de 50 ans , tu ne trouves pas de travail en France . Trop vieux pour les employeurs , ou trop expérimentés , trop chères , etc , ou trop ceci comme la pub de la vache qui rit en son temps , pour ceux qui se souviennent . C'est ceux qui en parlent le plus , qui ne vivent pas la situation . S'ils veulent nous faire travailler plus longtemps , ils vont faire comment ?- 60 réponses
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onjour, il y a quelques jours, pour pouvoir travailler quelques mois cet été (jusque mi septembre)j'ai reçu la convocation pour passer la visite médicale du travail dans un centre de médecine du travail. C'est pour un simple emploi de remplacement dans une agence d'assurance. Je m'y suis rendu, et j'ai été reçue accueil, ou ils m'ont fait patienter quelques minutes avant de m'appeler. Puis une infirmière me reçoie, me pose quelque petites question rapidement , puis me demande ma convocation que je n'avais pas, alors elle est aller voir dans ses papiers pour vérifier que c'était bien à moi de passer. Après quelques minutes , elle me dit que le médecin va ma recevoir, et que je dois me rendre dans une cabine et me déshabiller en attendant. Elle à demandé de me mettre en sous vêtement, et de retirer mes chaussettes, même si je n'en avais pas, car c'est l'été et j'en porte que très rarement pendant cette période. Ma copine elle m'a dit avoir du les enlever. Pour en revenir a mon anecdote , j'ai attendu quelques minutes, puis le docteur est venu, il m'a d'abord interrogée, , m'a ensuite mesurer et peser. Il m'a ensuite fait enlever mon soutien gorge, et m'a ausculté, et palper les seins. Puis il a procéder à une verification la colonne vertebrale, et fait faire des exercice, le tout sans rien. C'était gênant, est ce normal ? Est ce que ça vous est deja arrivé durant vos visites médicales récente ?
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Avec la réforme du contrat de travail, un employeur pourra désormais licencier tout salarié sans motif valable moyennant une indemnité dérisoire. Un cadeau au patronat qui se traduira par la multiplication des recours pour discrimination et harcèlement. ... L’ordonnance relative à la prévisibilité et à la sécurisation des relations de travail, préparée par le gouvernement, crée subrepticement un CPE-CNE généralisé, sans passer par la création de nouveaux contrats dérogatoires mais en modifiant en profondeur le droit commun du licenciement. C’est donc tous les salariés, jeunes ou non, de toutes les entreprises, petites ou grandes, qui sont concernés. D’abord, le gouvernement s’emploie à éviter qu’un salarié puisse contester son licenciement, en réduisant à un an le délai de l’action en justice. Ce délai est passé en l’espace de dix années de trente à deux ans, et désormais à un an, soit un délai inférieur aux délais du droit des contrats classique ou du droit de la consommation. La finalité est claire : compter sur le désarroi du salarié. En outre, avant de saisir le juge dans ce délai réduit, le salarié licencié devra préalablement demander à l’employeur de s’expliquer sur les motifs de la rupture, faute de quoi il perdra en pratique le droit de contester la légitimité des motifs de licenciement. Enfin, si le juge est saisi et s’il reconnaît le caractère abusif du licenciement, son pouvoir de sanction est désormais strictement encadré par un barème : quelle que soit sa situation personnelle ou professionnelle, le salarié ayant moins de deux ans d’ancienneté ne pourra se voir octroyer qu’une indemnité comprise entre un et deux mois de salaire. Indemnité que le juge peut minorer au regard des indemnités légales de licenciement. En d’autres termes, et sans même parler de la généralisation du contrat de chantier, ce CDI aux allures de CDD, un employeur pourra licencier tout salarié sans motif valable moyennant le paiement d’une indemnité équivalente à celle qui était prévue pour le CPE et pour le CNE. Qu’on ne s’y trompe pas. C’est une remise en cause complète du droit du contrat de travail. Le contrôle des motifs de la rupture visait à rééquilibrer un contrat fortement inégalitaire. Or, la motivation du licenciement perd ici tout son intérêt : peu importe le débat sur les motifs puisque l’employeur peut provisionner le coût de sa violation. C’est une exigence de longue date du patronat qui est ici entendue : le contrôle du juge n’est pas en soi un problème, tant qu’il est loisible à l’employeur de connaître à l’avance le coût de la rupture du contrat de travail et d’autant plus lorsque ce coût est faible. Et il l’est, les planchers et plafonds d’indemnisation s’avèrent bien plus faibles que ceux prévus dans la loi Macron de 2015, censurée sur ce point par le Conseil constitutionnel. C’est une régression sans précédent du droit du travail français. Une régression purement corporatiste et idéologique, le Premier ministre ayant lui-même reconnu dans sa conférence de presse, qu’on ne pourrait en attendre le moindre effet sur l’emploi. Les optimistes pourront espérer que la réforme soit partiellement paralysée par la jurisprudence de la Cour de cassation qui a multiplié, sans fondement textuel, les hypothèses de nullité du licenciement. Certes, mais l’orientation très pro-entreprises de la Chambre sociale de la Cour de cassation pourrait annihiler ce contre-feu. Les pessimistes considéreront que, par le jeu de cette indemnisation prédéfinie, le droit français se rapproche du droit américain fondé, au moins dans son principe, sur la libre rupture du contrat de travail. Or, la principale conséquence de ce système réside dans la multiplication des recours fondés sur la discrimination. Il est fort probable qu’il en soit de même en France, où le terreau judiciaire et sociétal est prêt, d’autant plus que la sanction des discriminations - c’est également le cas du harcèlement - n’est pas soumise au barème. http://www.liberation.fr/debats/2017/09/05/et-emmanuel-macron-inventa-le-cpe-pour-tous_1594336 ---------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------- Avec ses ordonnances Travail, Macron a réussi à nous refourguer… le CPE pour tous Les ordonnances voulues par Emmanuel Macron pour réformer le code du travail facilitent sensiblement le licenciement d'un salarié en CDI ayant moins de deux ans d'ancienneté. Et les indemnités prévues ne sont pas lourdes. Finalement, Marianne a calculé que cela revient au même que le fameux CPE que la rue avait fait enterrer. En pire, même… ... Deux ans de CDI précaire… Deux ans, donc, Deux ans durant lesquels le salarié qui signe désormais un CDI saura que son employeur peut le virer du jour au lendemain et, en cas de condamnation pour licenciement abusif aux prud'hommes, sans devoir lui verser plus de deux mois de salaire en dommages et intérêts. Ce n'est qu'après ces deux ans que le plancher passe à trois mois de salaire, les plafonds augmentant progressivement. Les ordonnances prévoient donc bien deux années à part, deux ans d'un CDI particulièrement précaire, qui résonnent dans l'histoire sociale récente du pays : c'était la durée du fameux CPE. ... Un licenciement abusif coûte le même prix qu'une rupture de CPE Qu'en est-il depuis le 24 septembre ? Eh bien l'employeur peut de nouveau prévoir de virer un salarié sans raison puisque, grâce au plafonnement des indemnités prud'homales, il sait désormais exactement quelle somme provisionner si le salarié se retourne contre lui. Et en-dessous de deux ans d'ancienneté, les conditions sont particulièrement favorables. Devinez par exemple combien cela représenterait pour notre smicard viré au bout de 18 mois ? 2.960 euros. Maximum. Soit presque exactement ce que prévoyait l'indemnité du CPE. Et encore, dans le nouveau système, faut-il que l'employé ait la ressource d'attaquer son employeur devant les prud'hommes, que ceux-ci lui donnent raison, et qu'ils lui accordent l'indemnité maximum ! Autant dire que tout le monde ne sera pas concerné… Avec le CPE, au moins, la somme était assurée au salarié, sans démarche judiciaire. Alors, bien sûr, avant d'aller éventuellement aux prud'hommes, le salarié d'aujourd'hui touchera une indemnité légale de licenciement. C'est celle-là que le gouvernement a augmentée de 25% (dans la limite des 10 premières années d'ancienneté) pour faire passer la pilule de ses ordonnances. Elle se monte désormais à 25% de mois de salaire par année d’ancienneté et se déclenche au bout de 8 mois d'ancienneté. Concrètement, donc, notre smicard viré après 18 mois dans l'entreprise touchera 370 euros. Mieux que le CPE, qui ne donnait pas droit à cette indemnité de licenciement ? Même pas, puisque celui-ci prévoyait en revanche une allocation forfaitaire de 490 euros par mois pendant deux mois. Soit 980 euros. Finalement, le salarié d'aujourd'hui viré comme un malpropre touchera de facto moins que s'il avait signé un CPE. Ce n'est que s'il se retourne vers les prud'hommes qu'il pourra espérer toucher autant, dans le meilleur des cas. L'employeur gagnant sur tous les fronts Vous l'aurez compris, le calcul est surtout gagnant pour l'employeur. Car un dernier détail différencie les deux systèmes. Quand Dominique de Villepin a mis le CPE sur la table, son gouvernement a tout de même reconnu qu'il s'agissait d'une précarisation du salarié en prévoyant que l'employeur qui l'utiliserait verserait aussi 2% du salaire brut aux Assedic. Soit, pour un smicard, 710 euros sur deux ans. Alors que dans le système actuel, le CDI reste classique et n'impose pas ce versement supplémentaire. Les 370 euros d'indemnité légale de licenciement versés à notre smicard coûtent donc deux fois moins cher à l'employeur que les Assedic du CPE. Dans le même temps, il aura provisionné une somme équivalente en vue du licenciement sauf que cette fois, il n'est même pas sûr d'avoir à la payer si le salarié se décourage avant d'aller aux prud'hommes. Finalement, l'argument qui avait mobilisé en 2006, à savoir que "le CPE équivaut à une période d'essai de deux ans", vaut aujourd'hui pour les ordonnances Travail. En pire, même, puisque cette fois le dispositif ne concerne pas seulement les moins de 26 ans (comme c'était le cas du CPE) mais tous les nouveaux CDI signés ! On en connaît qui seraient descendus pour moins que ça dans la rue. Le CPE a en effet été la première mobilisation de nombreux jeunes socialistes aujourd'hui trentenaires… Au nombre desquels figurait, comme l'a rappelé un article du JDD début juillet, un certain Stéphane Séjourné, qui organisait les assemblées générales anti-CPE à la fac de Poitiers. C'est là qu'il a rencontré un certain Sacha Houlié, alors lycéen, qui se vante encore aujourd'hui d'avoir été "à la pointe du mouvement contre le CPE". Lequel était le colocataire du président de l'Unef Pierre Person, qui a connu son premier engagement politique à 16 ans… dans les manifestations contre le CPE. Dix ans plus tard, deux sont députés La République en marche, Séjourné est conseiller d'Emmanuel Macron à l'Elysée, et tous s'apprêtent donc, lors du vote de ratification des ordonnances à l'Assemblée, à donner valeur de loi à un CPE pour tous. https://www.marianne.net/societe/avec-ses-ordonnances-travail-macron-reussi-nous-refourguer-le-cpe-pour-tous
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Hello le monde... Que pensez-vous, en toute honnêteté de la phrase: "il faut faire de la place aux migrants, oui, mais comment ?!"
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Macron à un jeune chômeur : «Je traverse la rue et je vous trouve un emploi»
micro-onde a posté un sujet dans Politique
lire la suite de l'article complètement déconnecté des réalités le gars -
La France est-elle réellement un pays de fainéants ? Jeudi 25 octobre - 20:06 La France est-elle réellement un pays de fainéants ? Selon Marc Ladreit de Lacharrière, patron de l'agence de notation Fitch, la France est le pays de l'OCDE où l'on travaille le moins, à cause des 35 heures, des RTT et de l'âge de la retraite. Vrai ou faux ? Faux. Marc Ladreit de Lacharrièe s'appuie sur la durée légale (ou conventionnelle) du travail en France : 35 heures. Mais ce n'est pas le reflet de la réalité. Il faut plutôt s'appuyer sur la durée effective du travail, celle déclarée par les salariés. En France, ce sont les résultats de l'Enquête Emploi, et en Europe, de l'Enquête sur les forces de travail. Et ces chiffres bousculent quelque peu les idées reçues sur les salariés français "tire-au-flanc". Avec un peu plus de 41 heures de travail effectif par semaine pour un temps plein, le salarié français travaille certes moins qu'un Américain, mais presqu'autant qu'un Allemand (un peu moins de 42 heures), et plus qu'un Danois (moins de 39 heures). "L'Europe continentale a des durées annuelles de travail assez faibles par rapport aux pays anglo-saxons qui ont notamment moins de congés [...] Mais on n'est pas parmi les pays qui travaillent le moins", corrige Christine Erhel, chercheuse au Centre d'étude de l'emploi. La France se situe dans la moyenne des pays européens et de l'OCDE (voir le document ci-dessous), mais pas en bas de tableau. Allons plus loin en intégrant les temps partiels : cela permet d'avoir une photographie encore plus fidèle de la distribution du travail. En France, les temps partiels ont une durée moyenne plus longue que dans les autres pays européens : 23 heures en moyenne dans l'Hexagone, contre 18 heures en Allemagne. En prenant en compte les temps pleins et les temps partiels, la durée effective moyenne du travail en France s'établit à 38 heures, c'est-à-dire au-dessus de la moyenne européenne. En Allemagne : 35 heures et 30 minutes, 30h30 aux Pays-Bas. La France a donc une distribution plus égalitaire de la durée du travail, selon Christine Erhel : "On a plus de gens qui travaillent un peu moins longtemps, mais qui sont à temps plein, et moins de gens à temps partiel. Suite de l'article... Source: France Info
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Salut tout le monde, aller depuis le temps que je n'ai pas participer à ce forum je reviens ici où il fait bon vivre. je viens afin d'avoir vos avis et conseil et encore plus de professionnel si ils sont présents. j'ai 32 ans et subit depuis 6 mois une névralgie cervico-brachiale droite et à cela à réveiller une discopathie existante. en historique, je suis arriver il y a 3 ans ici pour la naissance de mon enfant et j'ai eu un poste d'aide soignant en maison de retraite, super tout ce passe bien et paf mon dos... après 6 mois d'arrêt (vive les délais des praticiens) on découvre une seconde hernie discale L4-L5 - L5-S1. la première sans soucis stable, la seconde il faut opérer mais même les chirurgiens ne veulent pas trop à cause de mon âge... il a fallut que j'aille à bordeaux pour qu'un chirurgien fax Poitiers pour qu'ils m'opère. 1 semaine après rendez-vous et opération 2 mois après. 1 jours d'hospitalisation... arrêt morphine en 3 semaines et fin d'arrêt 25 jours après super. bref j'ai perdu mon emploi (c'était un cdd) et la médecine de travail ne veux plus que je travail en aide soignant. je me rend compte qu'il manque des directeurs de centre de loisirs et colos. mon domaine depuis toujours, je part en formation et j'obtiens un boulot. ce boulot se transforme en contrat de pro 3 mois après... tout va bien mais en octobre dernier je suis bloqué, simplement deux torticolis gauche et droite. ce qu'il se passe c'est que le soucis perdure à droite et j'ai des pertes de sensations, fourmillement dans les doigts de ma main droite.... inquiet scanner et radio, névralgie cervico-brachiale observée. le soucis c'est que ça perdure alors que j'ai plus de contractures.... bah après 2 mois de soucis mon dos trinque de nouveau. vu mon opération l'année précédante, scanner et direction irm. hernie opérée l'année précédante rien à signaler. la seconde débordement bref ça va pas mais le terme hernie est pas employée donc on peu rien faire. kiné McKenzie me fait rien infiltrations me fait rien je suis sous morphinique et on à augmenter depuis 2 mois. résultat : - perte de mon emploi, - perte de confiance - soucis de finances - on voit pas l'avenir - personne capable de m'aider au niveau santé. Bon ce message est assez morose mais j'aimerais vos avis. j'ai fait une demande de dossier mdph mais incapable de répondre je sais pas quoi écrire. au résultat j'en ai marre à mon âge de subir ces soucis de santé et d'avoir perdu 2 cdi et la stabilité que cela engage.
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Bonjour les Ffriens, Il faut que je pose la question, que je trouve des pistes, des solutions, sinon j'vais rentrer à l'asile psychiatrique !! :D Alors je vous explique rapidement la situation, j'ai 22 ans, je suis actuellement assistante commerciale, depuis juin 2010, (depuis mes 18 ans, je bosse comme secrétaire, ou secrétaire médicale...) et là j'arrive à saturation, on est 3, et on a du taf pour 2, c'est à dire que j'me fais chier ... :gurp: Souvent j'ai rien à faire pendant plusieurs heures dans la journée, et ça me pèse vraiment ! (Si vous lisez ce topic, c'est qu'il vous interesse un minimum, donc les reflexions du genre, j'ai de la chance de pouvoir glander on évite, parce que moi j'aime pas glander, si j'suis au taf, c'est pour bosser, et être polyvalente ...). :cool: Bref, se rajoute à ça, l'ambiance qui se dégrade, donc en résumé, j'en ai marre. Je voudrais changer de boulot, je voudrais être relativement autonome, si possible bosser chez moi, à la limite (en rêve) choisir mes horaires, mais bon je sais que tout cela n'est pas possible, on est pas au pays des bisounours. J'ai déjà 2-3 idées sur ce que je voudrais faire, mais rien de précis, et surtout rien de certain, car comme je n'ai jamais rien fait d'autre, je ne peux pas réellement savoir si tel ou tel métier va me plaire. Bon donc j'ai pensé à : VDI en sextoy, ou en lingerie ... Bosser dans l'évènementiel, dans un agence déjà créer, parce que je ne vois pas me mettre à mon compte ! Ou alors rester dans le secrétariat, mais à domicile, mais faire tout, mise sous pli, standard, gestion de plein de truc quoi ... Par contre, et vous allez me dire, mais qu'elle est chiante celle là, elle veut plein de truc, que les truc agréable, sans les inconvénients, oui ben c'est pas faux, mais après c'est tous ce dont on rêve non ?! :D Je veux pas prendre trop de risque, mon homme est déjà en création d'entreprise, donc je veux assurer le coup au cas où, on ne sait jamais, quand on a une entreprise, ça peut (je prie pour que ça n'arrive pas) se casser la gueule ! Voilà, bon si vous avez des idées, d'emploi, ou de comment je pourrais trouver ma voie, aideeeeeeeeeeeeeez moi !! Nan j'vais pas m'pendre promis !! :D
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Salut à tous, Alors voilà, j'ai commencé hier à travailler dans un Leclerc en tant qu'employé de rayon surgelés...bon franchement, sa me motive pas...d'autant que l'ambiance est désagréable pour moi, des collègues qui me calculent pas, aucun bonjour, parle derrière mon dos...beaucoup tire une gueule de 15km de long :smile2: j'en rigole mais moralement sa me donne plus trop l'envie d'y travailler déjà au bout de 2 jours...d'autant qu'au rayon surgelés on est que 2 et que la semaine prochaine l'autre employé qui y travaille depuis des années pars en vacance....donc moi un débutant tout seul, et surcharge de travaille...:gurp: Le problème, c'est qu'avant, fin Juillet, j'avais postulé dans un Intermarché...et le responsable, viens juste de m'appeler et j'ai un entretien demain à 18h... Je suis perdu, je ne sais pas quoi faire, aller à l'entretien ? D'un côté, j'ai envie de bosser ailleurs, car chez Leclerc je suis pas à l'aise...mais, si inter me prend et que chez eux c'est pire....c'est risqué...je suis perdu... A l'aide please !
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salut tout le monde. :) alors voici ma question "simple" du jour; pourquoi est ce que ya autant de gens au chomage? autrement pourquoi les patrons n'embauchent pas plus? et pourquoi si peu de gens deviennent entrepreuneurs? les tentatives de reponses qui me viennent a l'esprit sont: >>> la plupart des chomeurs sont des feignants qui veulent profiter. >>> la plupart des employeurs sont des cupides qui veulent exploiter. >>> les charges sont trop lourdes pour permettre de recruter. >>> la concurrence est trop forte pour proposer des offres interessantes. bref a votre avis pourquoi la vie professionnelle est aussi dure alors que c'est un condition INCONTOURNABLE et VITALE pour la grande majorite d'entre nous?
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Bonjour, je me pose une question a propos des compléments de salaire de pôle emploi. Auparavant j'ai effectué un bac en apprentissage et maintenant j'ai retrouvé un emploi a mi-temps, je vais effectuer moins de 110h dans le mois, mais j'ai constater sur plusieurs site qu'il fallait que mon salaire a mi-temps soit inférieur a 70% par rapport a mon ancien salaire. Or le mien est supérieur. je me demandait si je pouvais quand même en bénéficier, car j'étais en apprentissage auparavant et je ne trouve pas cela logique que je ne puisse pas en bénéficier sachant que les salaires d'apprenties ne sont pas élevés. Est ce que quelqu'un est passer par la même situation que moi. Merci d'avance tout le monde
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« J'ai travaillé dans un bar à hôtesses du centre-ville » Lundi 18 Avril - 07:53 C'est la journée de sensibilisation à la prostitution étudiante Cindy venait d'obtenir sa licence à Montpellier et rêvait d'entrer dans une école privée. Il lui fallait 5 000 €. « Dans le journal, j'ai vu une offre d'emploi de serveuse. » Elle franchit la porte blindée d'un bar à hôtesses du centre-ville. Elle y travaillera six mois en 2009, à raison de douze heures par jour, déclarée vingt heures par mois. « Il fallait discuter avec les clients, les inciter à boire du champagne. On était un peu dénudées. Mon salaire, c'était surtout les commissions. Sur une bouteille à 160 €, j'en gagnais 30. Je buvais avec le client, j'étais saoule dès l'ouverture à 15 h. Puis la patronne m'a expliqué les magouilles : vider les verres dès que le client avait le dos tourné. » Suite de l'article... Source: 20minutes.fr
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Bonjour, je suis étudiant en Histoire de l'art et Archéologie à Dijon, et je recherche actuellement un job d'été afin de pouvoir financer mes études et de m'occuper durant ces longues vacances. J'aimerais donc savoir ou je pourrais postuler sachant que j'ai déjà demandé à Carrefour, à Monoprix ... J'ai déjà une expérience professionnelle d'un mois dans le domaine du secrétariat. Je sais que je m'y prend tard, je pensais avoir trouvé quelque chose mais ça ne se fera finalement pas ... Merci !
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Je ne comprends pas ce qu'ils ont dans la tete "l'Europe" ils veulent acceuillir des migrants en masse ,sachant que si ils commencent ça ne s'arretera plus! Il est tres TRES difficile aujourd'hui d'avoir un appartement,en Hlm il faut parfois attendre 2ans (experience personnelle). Alors une question simple ou vont dormir ces personnes? et je ne parle meme pas de l'emploi En plus pour avoir les sous pour l'europe un trafic horrible s'organise certains vont jusqu'a vendre leur propre enfants c'est vraiment horrible !
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Source lemonde.fr. Suite de l'article ici : http://www.lemonde.fr/emploi/article/2014/02/25/frustree-la-jeunesse-francaise-reve-d-en-decoudre_4372879_1698637.html
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bonjour, je voudrais avoir une petite confirmation sur les diplôme que l'on peut voir sur des annonces en Belgique A1 et A2 et leur correspondance avec les diplôme français. A2 correspond au bac ? A1 correspond au diplome de l'enseignement supérieur BTS, Licence, Master?
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Le temps est écoulé : si les Etats accordent encore quelque importance à l'objectif de limiter la hausse moyenne des températures mondiales à 2°C d'ici la fin du siècle, ils doivent agir dès maintenant en déployant des politiques d'une envergure sans commune mesure avec les initiatives prises jusqu'à présent. Tel est l'un des principaux messages du nouveau rapport sur « l'atténuation du changement climatique » du Groupe d'experts intergouvernemental sur l'évolution du climat (GIEC), dont la synthèse a été publiée, dimanche 13 avril à Berlin. Sept ans après le précédent, il confirme l'échec des politiques publiques mises en œuvre jusqu'à présent. Les émissions mondiales de gaz à effet de serre atteignent des niveaux sans précédent et leur croissance n'a jamais été aussi rapide qu'au cours de la dernière décennie, rappellent les experts. De 2000 à 2010, les émissions ont augmenté de 2,2 % par an contre 0,4 % en moyenne au cours des trois décennies précédentes. L'utilisation accrue du charbon a annulé les progrès réalisés dans le secteur énergétique grâce au développement des renouvelables. A ce rythme, le seuil des 2 °C sera franchi dès 2030. « Le message de la science est clair, avertit l'allemand Ottmar Edenhofer, un des trois vice-présidents de ce troisième volume, pour se mettre à l'abri d'interférences dangereuses avec le système climatique, il faut sortir de la routine habituelle. » Tous les secteurs économiques – énergie, transport, habitat, agriculture… – devront faire leur révolution. Il faudra pour cela réaliser « de rapides progrès dans le domaine de l'efficacité énergétique, parvenir à tripler voire quadrupler l'énergie neutre en carbone produite à partir des énergies renouvelables, du nucléaire, des agrocarburants » sans oublier le développement massif des techniques de séquestration et de stockage du CO2 et des programmes à grande échelle de reforestation pour créer des puits de carbone. Comme en 2007, les experts mettent en garde contre le coût économique de l'inaction. Plus les gouvernements tardent, plus la charge sera lourde pour les générations futures. http://www.lemonde.fr/planete/article/2014/04/13/une-revolution-economique-est-necessaire-pour-limiter-le-rechauffement_4400450_3244.html
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Bonjour aux lecteurs, Je viens ici pour récolter quelques avis de votre part. D'abord, voici le contexte dans lequel je me trouve : - Cela fait quelques jours que je suis en "formation" de téléprospection, de la part du patron lui-même, à mon domicile. - Il m'a (fortement) proposé de m'inscrire au statut d'auto-entrepreneuse, pour moins cotiser, et limiter la paperasse. - Il n'y aurait donc pas de contrat, et pas non plus de salaire de base d'ailleurs ..... - J'appelle 3heures par jour, et devrait APPAREMMENT réussir à caler 1RDV par heure (ce qui me promettrait un bon revenu, certes.......) Mais voilà [ma situation] : Ayant, comme beaucoup, fortement besoin d'un emploi, j'ai tenté le coup. Mon aise au téléphone s'est améliorée, mais je suis (très) loin du RDV/heure (je n'en ai pris que 2 depuis le commencement). J'ai alors expliqué au patron que je ne comptais pas poursuivre l'activité, aucun salaire de base ne m'étant assuré, et du fait que j'aurai meilleur temps de chercher un autre emploi, pour lequel je ne consacrerait pas 3h d'appels dans le vent le temps de ma "progression". Mais il me soutient que tout le monde est capable de faire ce nombre de RDV, après 1 ou 2 semaines de persévérance, et qu'ensuite le salaire pourra être intéressant. Seulement [interrogations...] : - Le statut d'auto-entrepreneur justifie-t-il le fait qu'aucun salaire de base ne me soit versé de la part du "patron" ? - Est-ce normal que je l'on ne me propose une paye qu'à partir du CA, alors que je consacre tout de même des heures d'appels ? - N'est-ce pas tout de même craignos de travailler sans contrat de travail pour justifier une place dans laquelle je me sentirai mieux dans mes baskets : celle de salarié ? : avoir une durée de travail purement définie, etc; etc. - Tout ça est-il normal lorsque l'on fait de la téléprospection à domicile, ou plutôt lorsque l'on est "autoentrepreneur" (..que par le statut ... : ce qui me paraît encore bizarre...)... De tout manière je pense mettre fin à tout ça si mes 3h de demain ne sont pas fructueuses : ma paye n'évoluant donc pas. Après, peut-être est-ce normal de n'avoir aucun salaire de base ?? Par ailleurs, le patron essaye tellement de me convaincre de perséverer etc, pour ne compter que sur mes réussites, puisqu'il n'y a pas de salaire de base etc. , que je trouve ça louche : suis-je la seule pigeonne qui lui prête mes efforts, selon moi "pour la Gloire" ?? En plus, malgré mon évolution, et pour justifier mon manque de RDV (voulant que je persévère), il me trouve encore "pas assez dynamique" (blabla.....), alors que je suis franchement au taquet, et que le contact avec les interlocuteurs passe très bien, etc. Qu'en pensez-vous ?? Merci beaucoup de votre lecture :) Excellente journée, pleine de soleil, donc de bonne humeur :) SANDY.