Rechercher dans la communauté
Affichage des résultats pour les étiquettes 'maladie'.
12 résultats trouvés
-
Une piste pour optimiser le temps des médecins. Un rapport de la Cour des comptes propose que les salariés puissent déclarer directement leurs arrêts de travail, quand ces derniers sont de très courte durée. Dans cette publication en date du lundi 13 mai, consultée par Les Échos, elle recommande aux politiques d'« explorer » l'idée de supprimer les certificats médicaux d'arrêts de travail. (...) Parmi des mesures de régulation, pour éviter l'envolée des arrêts de travail, la Cour suggère la mise en place d'un délai de carence « d'ordre public » d'un ou deux jours. (...) Source et suite de l'article
- 10 réponses
-
Bonjour, Au moins un millier de médecins visés, voire plus. Depuis l’été dernier, la Caisse d’assurances maladie (CPAM) s’attaque aux praticiens qui prescriraient « trop » d’arrêts de travail. A chaque fois, la procédure s’appuie sur des statistiques comparatives réalisées par rapport à une moyenne régionale dans des « communes semblables ». Le docteur Luc Griesmann en fait partie : lettres, menaces, sanctions, contrôles… Il témoigne sur cette situation qui pourrait l’amener à tout plaquer. "Les arrêts de travail font partie de ma thérapeutique. Je traite des patients, pas des machines, et j’essaie toujours d’en délivrer le nombre qu’il faut." explique-t-il. "Quand j’entends parler certains politiques d’arrêts de travail de complaisance, ça remet en cause à la fois ma compétence de médecin et mon honnêteté professionnelle.". Article entier : https://www.20minutes.fr/sante/4072536-20240126-epingle-avoir-delivre-trop-arrets-maladie-medecin-generaliste-colere?xtor=RSS-176
- 26 réponses
-
- 1
-
- médecin
- généraliste
-
(et 3 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bon aller je poste la vidéo de LCI et je confirme rapidement j'ai lu l'étude originale, c'est tout simplement aussi scandaleux que flippant. Lien Direct Vers La Vidéo J'ajoute uniquement ce commentaire, je pense que si les autorités chinoises ont autorisé la publication de cette étude c'est pour faire passer un message clair à ses adversaires politiques, notamment américains, qu'au cas où le régime chinois serait menacé d'une chute lors d'une guerre économique, conventionnelle, ou autre, ils ont toujours l'option de l'arme biologique ultime pour tout faire péter. Une destruction mutuelle assurée encore potentiellement plus mortelle et destructrice qu'une guerre nucléaire.
- 25 réponses
-
Ce sujet a un rapport avec la droite et le libéralisme mais on en parlera plus tard s'il y en a que ça intéresse. Voilà, supposons que vous ayez un cancer du foie, fatal dans la majorité des cas, et que quelqu'un qui prétend pouvoir vous soigner et voire même guérir demande en échange la moitié de votre richesse, rien à un sdf et 45 milliards € à Bill Gates. Qu'en pensez vous ? Je n'en dirai pas plus pour permettre un éventuel débat.
-
oui, bon, le titre est un peu pourri... dsl ^^' bref, je sais pas si vous trainez sur les sites anglophones athées, mais dessus, on voit de plus en plus des messages du genre "la religion, c'est une psychose. une maladie qu'il faut soigner". mes sources, le groupe privé de "atheist republic" qui contiens pas mal d'athées militants américains qui disent ce genre de choses (j'ai l'impression de faire un amalgame genre "islamo bobo gauchiste" XD, mais si je précise militant, et américain, c'est parceque les athées militants sont pas mal chieurs en vrai je trouve, et que les athées américains sont encore plus chiants que les athées que je croise en France) le site atheist republic (avec les mêmes gens que le groupe) le site 9gag, ou il y a toujours du trashtalk sur les images parlant de religion et la tendance se propage en france avec la page "je n'ai pas d'amis imaginaire",... bref ^^ qu'en pensez vous? est ce que, pour vous, la religion est une maladie mentale?
-
En vouloir toujours plus, est-ce une maladie ? Les personnes qui en veulent toujours plus sont-ils malades ? ex : - ceux qui amassent toujours plus d'argent ou de biens. - ceux qui prolongent leur vie grâce à certaines techniques. - etc
-
L'Ecume des jours publié en 1947 Boris Vian (1920-1959) : il fut une des figures marquantes du Saint-Germain-des-Prés d'après-guerre. Il avait une grande passion pour le jazz et il jouait de la trompette. Il a publié de nombreux romans sous le pseudonyme de Vernon Sullivan. Il a également traduit de nombreux romans américains. Il mourut à 39 ans. Auteur: Boris Vian Editeur: Livre de Poche Genre: roman Nombre de Pages: 315 p. Synopsis [/TAB]L'Ecume des jours : ce titre léger et lumineux annonce une histoire d'amour drôle ou grinçante et inoubliable, composée par un écrivain de vingt-six ans. C'est un conte de l'époque du jazz et de la science-fiction, à la fois comique et poignant, heureux et tragique, merveilleux et fantastique, féerique et déchirant. Dans cette œuvre d'une modernité insolente, l'une des plus célèbres du Xxe siècle et livre-culte depuis plus de trente ans, Duke Ellington croise le dessin animé, Sartre devient une marionnette burlesque, le cauchemar va jusqu'au bout du désespoir. Mais seules deux choses demeurent éternelles et triomphantes : le bonheur ineffable de l'amour absolu et la musique des noirs américains... (Decitre.fr) Notre Avis L'intrigue commence comme un conte et se termine en tragédie. Pour raconter cette merveilleuse histoire d'amour, Boris Vian a créé un langage unique, à l'image de l'univers dans lequel évolue les personnages. Un récit touchant, très poétique, avec le jazz en musique de fond. Selon Raymond Queneau, c'est "le plus poignant des romans d'amour contemporains". Un extrait : [TAB]Colin, debout au coin de la place, attendait Chloé. La place était ronde et il y avait une église, des pigeons, un square, des bancs, et, devant, des autos et des autobus, sur du macadam. Le soleil aussi attendait Chloé, mais lui pouvait s'amuser à faire des ombres, à faire germer des graines de haricot sauvage dans les interstices adéquats, à pousser des volets et rendre honteux un réverbère allumé pour raison d'inconscience de la part d'un cépédéiste.
-
Bonjour, Le bateau de l'enfer, la tragédie des esclaves du Zong 29 novembre 1781. Le bateau négrier Zong se dirige vers la Jamaïque, son voyage touche à sa fin. Voilà douze semaines, il a quitté la côte ouest de l'Afrique, et navigue depuis avec à son bord 417 esclaves entassés, ce qui représente une importante surcharge par rapport au nombre d'individus autorisé (plus du double, presque le triple en fait). Les ressources en eau sont en passe de s'épuiser. Pour couronner le tout, survient la maladie : des fièvres, des diarrhées, de la dysenterie et des accès de variole. Dans cette situation, le capitaine du bateau prend une grave décision, en se disant que les esclaves vont mourir de toute manière. En vue de mettre un terme à ses propres pertes, il décide que tous les esclaves malades, si bien ceux sans espoir de guérison que ceux légèrement infectés, seront jetés par-dessus bord. C'est que le voyage est assuré ! Cependant, et le capitaine est le premier à le savoir : l'assurance ne le dédommagera pas pour des esclaves malades ou même morts de maladie. Elle accordera par contre une indemnisation à hauteur de trente livres pour ceux noyés dans le but d'épargner le reste de la cargaison. L'ordre est donné : 54 Africains sont enchaînés ensemble, puis impitoyablement jetés par-dessus bord comme de simples marchandises gâtées. 78 autres sont noyés de la sorte les deux jours qui suivent. Entre temps, le navire a atteint les Caraïbes, et 132 personnes en tout ont été assassinées. De retour en Angleterre, les négriers du Zong vont réclamer leurs indemnités : ils revendiquent une compensation pour la valeur totale de chaque esclave perdu. Une réclamation qui serait honorée si un certain Equiano, un affranchi résident désormais en Angleterre, n'avait eu vent de la tragédie, puis alerté de ses amis abolitionnistes. La cour est instruite de l'affaire. En premier lieu, les jurés plaident en faveur des navigateurs. Considérant que la loi permet de tuer des animaux pour la sécurité d'un bateau, ils concluent qu'il n'y a pas de raison de ne pas faire de même dans cette situation avec des esclaves, qui ne représentent pour eux que des marchandises ordinaires. La compagnie d'assurance fait appel, et l'affaire est rejugée. Cette fois, la cour en décide tout autrement : les Africains à bord sont des êtres humains, ce qui remet tout en cause. ***************************************************************************************************************************************************** Lors d'un autre voyage, sur un autre navire, advint un accident similaire. En 1812, sur La Rodeur, se produisit un accès d'ophtalmie, une infection provoquant un aveuglement provisoire. Esclaves et équipage en furent l'un comme l'autre affligés. Mais le capitaine crut qu'il s'agissait d'une cécité permanente. En se disant que des esclaves aveugles seraient de toute façon invendables, et sans oublier ce que pourrait faire l'assurance pour le dédommager, il envoya sans ciller 39 esclaves à l'eau, les vouant à une mort inévitable. Source (+ Le Point pour quelques détails) Les navires du marché de la honte : Comme il s'agit d'un navire de commerce banal, il n'y a pas de modification particulière à prendre en compte. Pas besoin d'un bateau neuf, on considère même que déjà usagé, il suffira pour l'usage auquel il est destiné. Cela peut même être une fin de carrière pour un navire aux formes offrant une bonne capacité de transport ou offrant une bonne vitesse. Cependant, il faut qu'il puisse entasser dans sa cale les esclaves qu'il entend transporter. Il faut donc avoir un entrepont. Au besoin, il sera nécessaire de le construire, ou de rajouter des gaillards. La cargaison comprend en premier lieu 400 à 450 barriques, nécessaires pour plusieurs centaines de personnes pour une durée de 2 mois de mer au moins. On compte environ 3 litres d'eau par homme et par jour. En admettant un navire de 45 marins et 600 esclaves, c'est un peu plus de 145 000 litres qu'il faut stocker pour 75 jours de mer. On imagine l'importance qu'aura le tonnelier à bord et celle des travaux de manutention journalière. D'autant que l'eau se conserve mal, à bord. Challe le raconte : « ...au bout de 2 mois que cette eau est embarquée… elle devient rousse et tellement puante qu'il faut se boucher le nez. Elle reste 9 à 10 jours dans cet état ; après cela, elle s'éclaircit peu à peu, mais en s'éclaircissant elle conserve un goût très fade qui reste 8 ou 6 jours à se dissiper. Elle reste dans sa nouvelle pureté 3 semaines ou 20 jours. Sa rousseur la reprend, mais moins forte que la première fois. Il s'y engendre pour lors des vers gros comme la plus grosse paille vers la racine du blé. Ces vers sont d'un blanc grisâtre, le nez noir et ont de petites queues longues comme les 2/3 de leur corps, et le tout d'un bon travers de doigt. On passe cette eau et le linge les retient. Cela dure environ 8 jours. Ces vers meurent dans l'eau qui devient blanchâtre, à peu près comme du petit-lait. Cette eau se répure peu à peu, et redevient belle et claire, sans aucune mauvaise odeur ni dégoût que celui d'être remplie de petits vers un peu longs qu'on voit remuer comme des anguilles. Ils sont blancs, extrêmement vifs et si menus et si déliés qu'ils passent à travers tout et ne sont pas retenus par la plus fine mousseline pliés en 8 doubles, c’est-à-dire, 16 lits l'un sur l'autre… Voilà ce que les marins appellent les 3 maladies de l'eau… » Ensuite, c'est 18 mois de biscuits, soit 160 quintaux ; 20 barils de farine. En plus, on chargera 10 barils de bœuf, 10 quarts de lard, huile, beurre, morue, des légumes. Le vin, sur la base de 1,25 litre par marin et par jour, comprendra 2,5 tonneaux pour les officiers et 10 pour les marins. À côté de cela, pour une cargaison de 450 Noirs, on embarquera pour les nourrir 30 tonneaux de fèves, 100 quintaux de riz et 30 quintaux de gruau de Hollande. Selon la taille du navire, on embarquera aussi des animaux vivants, volailles, moutons, voire vaches, principalement destinés, dans l'ordre, aux officiers puis à l'équipage.
-
Bonjour, Je crois que je suis déprimé depuis mon enfance. Alors que j'essaye d'être enthousiaste, sociable, proactif dans ma vie pro et perso, je retombe dans une sorte "d'obscurité". Pourtant, je n'ai rien de grave qui puisse me causer tant de peine. J'ai des problèmes comme tout le monde mais rien qui me tourmente. Je suis dépressif sans raison, pourtant rien dans mon vocabulaire le laisse penser. J'ai même plutôt une certaine estime de moi-même. Mais je parle avec une voix basse ou en tout cas pas très "éclaircie". Alors que je souhaite sourire continuellement, mon visage me donne un air dépressif. Il m'arrive de rigoler quand je vois des sketchs mais tout de suite mes lèvres retombe ainsi . Sur les photos de moi petit, jusqu’à l'âge de 3 ans, j'étais tout le temps souriant, j'étais farceur. A 4 ans, j'ai eu ma circoncision au Maroc (mes parents sont musulmans) et j'ai vu des photos de moi pleurer, triste, renfermé. Mon frère, qui a 2 ans et demis de moins que moi, et qui a fait sa circoncision le même jour que moi, avait l'air normal sur les photos, comme s'il ne s'était rien passé. Je pense qu'il était vraiment très petit pour comprendre quoi que ce soit et aujourd'hui il a dans la vingtaine et est hyper sociable, a plein d'ami, alors que moi, je n'en ai plus qu'un véritable et encore, on ne vit pas dans la même ville. Comment se sera quand ça sera le cas? Je me souviens, après être rentré du Maroc, me dire cette phrase l'air étonné : "tiens, ça fait 4 ans que j'existe sur cette planète!" Aucun enfant ne se pose ce genre d'exclamation! Toute ma jeunesse, j'ai tiré la gueule sans raison et j'ai perdu petit à petit mes amis camarade de classe. Il s'éloignait. Aujourd'hui, je suis étudiant dans une région ou personne me connait pour une période de 6 mois (après je suis en stage) et j'ai essayé d'être enjoué, souriant, heureux. Je sortais en soirée. ça a duré 2 mois. Petit à petit, mes camarades de classe ont cessé de m’appeler pour des soirées et moi, j'ai arrêté de sortir. Il n'y a aucun froid mais voilà, les faits sont là. Je suis en face d'un problème que je n'arrive pas à résoudre malgré ma bonne volonté. Cette dépression m'empêche d'être proactif dans mes études: je ne travaille pas comme il le faudrait, j'en fais très peu, je "zone" sur Internet, je n'arrive pas à aller en salle de sport alors que je sais que c'est bon pour moi et que je dois perdre du poids mais voilà, je ne bouge pas. J'ai peur que ça porte préjudice à ma vie dans le monde du travail. Aujourd'hui, je suis allé a la boulangerie a coté de ma fac et je me suis installé au milieu de mes camarades de classe au nombre de 8, qui eux aussi était entrain de manger. Et bien croyez-le ou non, ils ont formé naturellement, au bout de 5 min, 2 groupes de 4 entrain de discuter de choses et d'autres et entrain de manger et moi, j'étais au milieu entrain de manger mon sandwich, j'étais sidéré. Leur corps étaient incliné de telle façon qu'ils étaient presque dos à moi. Et pourtant, aucun ne me déteste et je n'ai rien fait pour. Je n'ai pas parlé à un seul instant, je n'ai fait que manger mon sandwich et je suis allé ensuite en salle de td pour bosser mes cours. Je n'ai pas de problème avec ma famille, pas de gens qui me détestent, pas de soucis particulier. Je suis en bonne santé, plus ou moins. J'ai l'impression que ma dépression vient de ma circoncision (au vue des photos de famille que j'ai regardé) et que le problème est resté depuis. Pourtant, je ne suis pas contre la circoncision. Je n'ai aucun problème avec cela. Si on m'avait circoncis à l'âge d'1 ans comme mes frères, est-ce que cela aurait changé quelque chose? je me le demande. Est-ce que le problème vient de là ou est-ce que je me trompe de piste? Je suis allé voir 2 psy, un hypnotiseur, rien n'y fait. Et quand je suis allé voir ces professionnels, je pouvais aller mieux 2 jours et ensuite je revenais à ma dépression. Je me vois comme un enfant, et pas comme un adulte. Rien n'avoir avec mon comportement mais plutôt avec ma façon de voir les choses. Je vois des gens qui ont des postes à responsabilités, qui sont connu ou pas et je suis sidéré quand je vois qu'ils sont né la même année que moi ou qu'ils sont plus jeune que moi (alors que je leur donnerais 10 ans de plus que moi). Ma perception est bloqué à l'âge de l'enfant et ma dépression me retient. Je cherche à débloquer ce qui ne va pas pour enfin vivre ma vie.
- 7 réponses
-
- circoncision
- dépression
-
(et 5 en plus)
Étiqueté avec :
-
Bonjour, Ci-dessous les dix maladies considérées les plus horribles du monde... Les 10 maladies les plus horribles !!! Eléphantiasis Hypertrichosis Maladie de la peau bleu (facile) Pica Les lignes de Blaschko Cornes cutanées Infection de bactéries Calcinose Syndrome d’Ehlers-Danlos Lewandowsky-Lutz dysplasie
-
Un sondage montre l'acceptation massive de l'euthanasie en France Samedi 30 octobre - 11:29 A l'Hôtel-Dieu de Lyon, en 2009. AFP/FRED DUFOUR L'immense majorité des Français se déclare favorable à une loi sur l'euthanasie dans certains cas, comme une de maladie incurable, selon un sondage CSA publié, samedi 30 octobre, dans Sud-Ouest. Selon cette enquête, 94% des personnes interrogées se disent pour une telle loi. En 2001, ils étaient 88%. Suite de l'article... Source: lemonde.fr
- 210 réponses
-
- euthanasie
- France
- (et 4 en plus)
-
Règles et rapports sexuels douloureux? Lundi 23 mars - 11:08 Encore taboue, cette maladie au nom barbare toucherait une femme sur trois! Douleurs, stérilité, risques de complications, elle nécessite une prise en charge globale. La Clinique Cecil, à Lausanne, vient de créer une consultation pluridisciplinaire entièrement dédiée à ce problème «Dès le début, j'ai eu des règles très douloureuses et abondantes. Ces problèmes ont disparu à partir du moment où j'ai commencé à prendre la pilule, à 17 ans, pour réapparaître cinq ans plus tard! On m'a alors diagnostiqué une endométriose, à un stade déjà avancé: les ovaires et les trompes étaient touchés.» Présidente de l'association Endosuisse, Laure Sandoz est passée plusieurs fois sur le billard, elle a même perdu un rein à cause de cette maladie au nom barbare et, pourtant, extrêmement courante. Geneviève Comby Suite de l'article... Source: Le Matin
- 11 réponses